Georg Friedrich Haendel

Malheur à qui n'a plus rien à désirer ! il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède. On jouit moins de ce qu'on obtient que de ce qu'on espère, et l'on n'est heureux qu'avant d'être heureux. En effet, l'homme avide et borné, fait pour tout vouloir et peu obtenir, a reçu du ciel une force consolante qui rapproche de lui tout ce qu'il désire, qui le soumet à son imagination, qui le lui rend présent et sensible, qui le lui livre en quelque sorte, et pour lui rendre cette imaginaire propriété plus

Commencez par vous demander pourquoi on vous pose la question afin de déterminer le problème du sujet. En général, nous considérons que notre premier rapport à l'art est de l'ordre du plaisir esthétique. Ainsi, traditionnellement, nous jugeons des œuvres et nous considérons que c'est au regard du beau qu'il s'agit de le faire. En quoi dans ces conditions, l'art pourrait-il nous apprendre quelque chose ? En effet, une œuvre d'art n'est pas un document historique nous faisant simplement accéder à des

Kant D’un prétendu droit de mentir par humanité Réaction de Kant à deux observations de Benjamin Constant : • « Le principe moral que dire la vérité est un devoir, s’il était pris de manière absolue et isolée, rendrait toute société impossible. » • « Dire la vérité est un devoir. Qu’est-ce qu’un devoir ? L’idée de devoir est inséparable de celle de droit : un devoir est ce qui, dans un être correspond aux droits d’un autre. Là où il n’y a pas droit, il n’y a pas devoir. Dire la vérité

Commentaire du texte de JEAN CABANNE « Le Régime politique français est situé dans le temps, à partir de la révolution de 1789 » (J-C Cabanne, 1981). Cet extrait est tiré du texte « Introduction à l’étude du droit constitutionnel et de la science politique », écrit par J-C Cabanne en 1981. Ce texte a une visée instructive, il relate les traits dominants du Régime politique français après la révolution de 1789.La Constitution d’un pays est l’ensemble des lois fondamentales qui déterminent

Ce qu’il faut retenir - Le solipsisme et l’existence d’autrui (Descartes) : La question portant sur autrui et son existence trouve sa source dans la philosophie cartésienne du cogito posé comme fondement de la philosophie. À partir du moment où le « je » devient la seule certitude, l’idée d’autrui devient problématique. Descartes a besoin de prouver l’existence de Dieu pour s’assurer de l’existence d’autrui (et du monde extérieur). - L’intersubjectivité (Husserl):

Introduction : L’on s’accorde à dire que nous faisons partie du monde et que nous n’y sommes pas seuls : Autrui est là, présent avec nous. D’une manière générale, Autrui peut être défini comme étant toute personne autre que soi, l’ensemble des Hommes en dehors de soi-même. De nombreux philosophes tels que Hegel, Heidegger, Husserl, Descartes, Sartre ont traité de la question d’Autrui, plus précisément de notre rapport à Autrui. Qui est Autrui? Comment l’ego l’appréhende t’il? Quels sont nos rapports

Lycée international 15 février 2011 T-ES3 – Devoir à la maison à rendre le 16 mars au plus tard Vous traiterez, au choix, l’un des deux sujets suivants : 1er sujet (dissertation) Une société juste est-elle une société sans conflits ? 2e sujet (explication de texte) Expliquez le texte suivant : La suppression du crime est sous sa forme primitive vengeance. Selon son contenu, la vengeance est juste, dans la mesure où elle est la loi du talion. Mais, selon sa forme, elle est l’action d’une volonté

fait-il son propre devenir historique ? ». Mais est-ce que l’homme ne subit pas l’histoire ? Et dans le cas échéant, a quoi revient « faire l’histoire » ? Est-ce que nous sommes tous capable d’intervenir dans ce devenir historique ? Selon Georg Wilhelm Friedrich Hegel (philosophe allemand du début XXème siècle), dans son œuvre la raison dans l’histoire, « Le monde de la volonté n’est pas livré au hasard ». Au contraire, « une fin ultime domine tous les événements de la vie des peuples ». Cela signifie

Article « Hegel dans Soi-même comme un autre de Paul Ricœur » Emilio Brito Laval théologique et philosophique, vol. 51, n° 2, 1995, p. 389-404. Pour citer cet article, utiliser l'adresse suivante : http://id.erudit.org/iderudit/400922ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à

qui signifie que l’enthousiasme défini par Kant peut être trompeur, puisque chacun de nous peut transformer tel fait en signe de ce qu’il voudra. Enfin, il existe trois grandes philosophies de l’Histoire : celles d’Emmanuel Kant, de Georg Wilhelm Friedrich Hegel, et Karl Marx. Ces trois analyses de l’Histoire sont différentes, mais ont tout de même un point commun, puisque chacune d’elles annonce le fait que l’Histoire a un sens. Dans Histoire universelle d'un point de vue cosmopolitique, Kant