Georges Couthon

ridiculisée par les « jaloux et revanchards ». Robespierre se ridiculise lui même, aidé en cela par Catherine Théot, une illuminée qui grossit l’affaire en voyant en Robespierre un nouveau messie. Robespierre n’est pourtant pas seul : Saint Just et Couthon le soutiendront jusqu’à la fin ; Mais « l’incorruptible et ses deux séides » deviennent isolés au sein du Comité de Salut Public. Les sujets de discorde et de jalousie ne se ressentent pas uniquement entre le Comité de Salut Public et le Comité

pas les excès des "Enragés". Il frappe successivement à gauche les hébertistes, à droite les "Indulgents", parmi lesquels Danton et Desmoulins (mars-avril 1794). Les facs supions abattues, Robespierre demeure seul au pouvoir avec ses fidèles: Couthon, Saint-Just, son frère Augustin. Déiste, il crée le culte de l'Etre suprême, ce qui irrite les athées de la Convention. En juin, il fait voter la terrible loi du 22 prairial an II qui ouvre l'ère de la grande Terreur : les têtes tombent "comme des

d’écrire les deux premières lettres de son nom. Quelques heures plus tard tout est fini. L’après-midi du 28 juillet, sous les acclamations de la foule, il est guillotiné place de la Révolution (Place de la Concorde), avec son frère Augustin, Saint-Just, Couthon et dix-sept autres de ses partisans. Les jours suivants, quatre-vingt de ses partisans sont exécutés. Note : Une partie de ce récit provient du livre « La Révolution Française » d’André Castelot (Librairie Académique Perrin). Définitions : Girondins :

Convention et invectivé de toutes parts quand un des représentants «  à mauvaise conscience » Louchet, qui était proche de Fouché, demanda le décret d'accusation contre lui. La proposition fut voté à main levée et Robespierre arrêté avec Saint-Just et Couthon. Augustin Robespierre et Lebas se joignirent aux groupe et furent emmenés par les gendarmes. Mais aucune prison n'accepta le groupe et ils se retrouvèrent alors tous libre à l'Hôtel de ville de Paris. La commune de Paris avait fait sonner le tascin

convention à témoin de ces dissensions le 8 thermidor an II, mais ne parvient pas à imposer ses vues. Le lendemain, empêché de parler par ses ennemis, alliés pour la circonstance aux modérés de la Plaine, il est arrêté avec son frère Augustin et ses amis Couthon, Saint-Just et Le Bas. La Commune entre alors en insurrection et le fait libérer, mais il perd du temps, et la Convention le met hors-la-loi. Dans la nuit, une colonne armée s'empare de l'hôtel de ville, où il se trouve avec ses partisans, et il

: Une coalition allant des membres du Comité de salut public aux conventionnels modérés décide le 9 thermidor an II (27 juillet) de mettre fin aux excès de Robespierre ; il est arrêté. Il est guillotiné le 10 thermidor avec ses amis Saint-Just et Couthon . Sources utilisées : photo : historywiz.com , texte : « Mourre » dictionnaire encyclopédique d’histoire (Bordas), dictionnaire « Le Petit Larousse illustré », « Histoire-Géographie, 4ème » (Hatier).

la Convention et est insulté de toutes parts quand un certain Louchet, homme qui ne fût pas très connu, demanda le décret d’accusation contre Robespierre. La proposition est votée à main levée et Robespierre arrêté en compagnie de Saint-Just et de Couthon, le peuple est avec Louchet. Augustin de Robespierre, le petit frère à Maximilien, et Le Bas se joignent volontairement à eux et le groupe est emmené par les gendarmes. Toutefois aucune prison n'accepte d'enfermer les prisonniers qui se retrouvent

Convention à témoin de ces dissensions le 8 thermidor an II, mais ne parvient pas à imposer ses vues. Le lendemain, empêché de parler par ses ennemis, alliés pour la circonstance aux modérés de la Plaine, il est arrêté avec son frère Augustin et ses amis Couthon, Saint-Just et Le Bas. La Commune entre alors en insurrection et le fait libérer, mais il perd du temps, et la Convention le met hors-la-loi.Dans la nuit, une colonne armée s'empare de l'hôtel de ville, où il se trouve avec ses partisans, et il est

Le lendemain , il est arrêté avec son frère Augustin et ses amis St-Just , Le bas , Couthon . La commune le fait libérer mais la convention le fait hors la loi . Le 28 juillet 1794 ( 10 Thermidor an II ), il est guillotiné avec ses partisans , sous les acclamations de la foule . Sa mort marque la fin de la Terreur et les libertés sont rétablies. Exécution de Robespierre, Saint-Just, Couthon et Dumas par le bourreau Sanson le 10 thermidor an II (28 juillet 1794) . B.N

et Billaud-Varenne qui ont eu à répondre avec Vadier et André Amar du Comité de sûreté générale, de nombreux crimes et actes de barbarie, ce qui valut aux trois premiers une condamnation à la déportation en l’an III. Le 5 avril 1794, exécution de George Danton et Roger de Lisle. On y voit Robespierre condamnant l'athéisme et mettant en place le culte de l'Etre Suprême ! (passage comique de cette époque !). Fin de la Terreur ou grande Terreur ou le 27 juillet 1794, Robespierre est hué à la tribune