Georges de Scudéry

D'une manière générale, ce salon est fréquenté, dans le courant de son existence, par : - le duc d'Enghien (futur "Grand Condé", le vainqueur de Rocroi en 1643) - le duc de la Rochefoucauld - le duc de Montausier - l'écrivain Voiture - Georges de Scudéry et sa soeur Madeleine - Sarasin - Godeau - Ménage - Benserade - Scarron (le (1er) mari de Mme de Maintenon) - de temps en temps, Corneille - sur la fin, mesdames de Sévigné et La Fayette - et j'en passe... Tous se donnent des noms romanesques

joignirent des écrivains comme Malherbe, le Cavalier Marin, Racan, Vaugelas,Conrart, … De 1625 à 1648, les grands seigneurs s'y succédèrent, le duc d'Enghien, Mademoiselle de Bourbon, ....De nouveaux écrivains firent leurs arrivés, Voiture, Georges et Madeleine Scudéry, Sarasin, Mairet, Godeau, Ménage, Cotin, et de temps à autre Pierre Corneille vint y lire une nouvelle pièce. Hélas, l'Hôtel de Rambouillet commença à décliner suite à des évènements successifs (comme le mariage de Julie en 1645, les décès

d'épisodes dissemblables; car c'est le semblable qui, rassasiant vite, fait échouer les tragédies (3). C'est de ces deux passages, assez différents l'un de l'autre, que prend son essor, au seizième siècle en Italie, la querelle sur le roman. Jean-Georges Trissino, le plus influent des représentants des anciens, favorable en outre à une interprétation rigide de la Poétique d'Aristote, affirme en effet dans l'épître dédicatoire à Charles Quint de son poème héroïque L'Italie délivrée des Goths, publié

Saisons", j'ai essayé de selectionner un poème qui correspond à chaque saison. Celui-la inaugure l'anthologie avec le printemps. L'Hiver Le poème qui suit est "L'Hiver". Il a été écrit au XVIIe sciècle par Georges de Scudéry (1601 - 1667), un romancier et dramaturge francais. Georges de Scudéry décrit dans ce poème sa façon de voir l'hiver. Le texte n'est pas très long, ni trop dûr à comprendre, mais il décrit bien la vision de l'auteur et est plaisant à lire. Chant d'Automne "Chant d'Automne"

règle ne fût pas appliquée par chaque auteur. Corneille est un des auteurs qui n’avait pas respecté la règle les trois unités. Dans la pièce Le Cid, Corneille se permet quelques libertés mais ceci ne plaît pas aux dramaturges Jean Mairet et Georges de Scudéry qui l’attaquent. Ceci donne lieu à « la querelle du Cid ». Au long de cet essai, nous nous familiariserons davantage avec la pièce de théâtre Le Cid puis nous nous pencherons sur la querelle elle-même, nous verrons dans quel mesure la règle

Querelle du CidExtrait :Georges de Scudéry , Observations sur le Cid , 1637 Le Cid est une pièce de théâtre de tragi-comédie de Pierre Corneille. Ecrivain du XVIIe siècle, il a une sœur (Madelaine), l’une des plus grands auteurs du XVIIe siècle. Comment il entre en matière ? Quels sont les idées qu’il pratique dans le texte ? Il ne compare pas explicitement le Cid de Corneille par rapport à la pièce de près ou de

« L’amour, cette passion capricieuse, qui ne se satisfait que par elle-même »[1] Bibliographie : Honoré d’Urfé, L’Astrée, Folio classique, 1984 Madeleine et Georges de Scudéry, Artamène ou le Grand Cyrus, extraits, GF Flammarion, 2005 Madeleine de Scudéry, Clélie, histoire romaine, Folio classique, 2006 Madeleine de Scudéry, L’Amour tyrannique, in Œuvres complètes « Théâtre du XVIIème siècle », Bibliothèque de la pléiade, tome 2, p. 531-599 Molière, Les femmes savantes, in Œuvres complètes

Conséquence de ce mépris, ils se propagent librement Les savants : littérature mineure, non codifiée par les anciens, genre bâtard frivole Les romanciers : libres de leurs expérimentations, stratégie d’autodérision dans le discours préfaciel Georges de Scudéry[2] Ibrahim ou l’Illustre Bassa[3] (1642) : préface fondamentale, poétique du roman, épopée en prose I – Le roman de l’âge baroque (premier tiers du 17ème siècle) 4 éléments en commun : - la prolixité : romans fleuves entre 3000 et

psychologiques très fines et nuancées, minutieuses dans la distinction et la définition des sentiments. Cette analyse est souvent figurée, par exemple par des cartes allégoriques. La plus célèbre d'entre elles est la Carte de Tendre, dressée par Mlle de Scudéry*. On peut également citer les cartes de L'Empire de l'Amour, de L'Empire de la Raison, de l'abbé de Pure, ou la carte du royaume des Précieuses de Maulévrier... A cause de l'expérience qu'elles en ont, les précieuses font preuve d'une très grande

VOITURE. (1597/1648) Bourgeois, n’a pas ses entrées dans l’aristocratie. Esprit plein de verve, amuseur, maitrise l’art de la conversation. Excelle dans les salons mondains (il participe au salon de Rambouillet, un des plus importants, avec Mlle de Scudéry, Richelieu, Maleville…). Devient une personnalité incontournable. * Ses caractéristiques. * On veut parler spirituellement, avec raffinement. * Remise à l’honneur des périphrases, des hyperboles, des antithèses, des antiphrases