Georges Delerue

TECHNIQUE Pays : France / Italie Durée : 1h43 Année : 1963 Genre : Comédie dramatique Scénario : Jean-Luc GODARD d’après le roman d’Alberto MORAVIA Directeur de la photographie : Raoul COUTARD Montage : Agnès GUILLEMOT, Lila LAKSHMANAN Musique : Georges DELERUE Coproduction : Rome-Paris Films / Les Films Concordia / Compagnia Cinematografica Champion Distribution : Marceau-Cocinor Interprètes : Brigitte BARDOT (Camille Javal), Jack PALANCE (Jeremy Prokosh), Fritz LANG (lui-même), Michel PICCOLI (Paul

aujourd’hui à la rencontre de 3 compositeurs qui ont chacun à leur façon laissé leur empreinte dans le cinéma hollywoodien : Maurice Jarre, Michel Legrand et Georges Delerue. B – Les principaux compositeurs 5 compositeurs majeurs de la périodes de la Nouvelle Vague : Maurice Jarre (France/Hollywood), Michel Legrand (France/Hollywood), Georges Delerue (France/Hollywood), Pierre Jansen et Antoine Duhamel. Maurice Jarre a remporté 3 oscars et a participé à plus de 160 films. En 1952, il se lance dans

étranger en 1974. Fiche technique : Distribution : Jacqueline Bisset, Jean-Pierre Léaud, Jean-Pierre Aumont, Dani, Nathalie Baye Réalisateur : François Truffaut Scénariste : François Truffaut, Jean-Louis Richard, Suzanne Schiffman Musique : Georges Delerue Image : Pierre-William Glenn Décors : Damien Lanfranchi Son : René Levert, Antoine Bonfanti  Costumes : Monique Dury Photographes : Pierre Zucca Assistants réalisateurs : Suzanne Schiffman, Jean-François Stévenin Production : Marcel Berbert

propre appartement. 7)François Truffaut a décidé d’appeler son personnage principale Pierre Lachenay en référence à son meilleur ami Robert Lachenay. 8)La Peau douce est l'un des dix longs métrages de Truffaut dont la bande originale est signée Georges Delerue, compositeur fétiche de la Nouvelle Vague. 9)Dans certains de ses films comme Les 400 coups et La peau Douce, François Truffaut fait des clins d’oeil à Balzac car il était lui-même un grand admirateur. 

apparaître le plan d’une statue de Neptune à chaque fois que Jerry représente une menace pour la relation entre Camille et Paul. Un leitmotiv musical représente également un fil conducteur dans la relation entre Camille et Paul. Le thème de Georges Delerue, tragique et inquiétant, illustre dès le début l’état d’esprit de Paul. L’intensité de la bande son est soumise aux variations de la distance des personnages. Godard a parfois privilégié l’intelligibilité sonore afin d’illustrer l’aspect inéluctable

LA NUIT AMÉRICAINE Day For Night RÉALISATION : François TRUFFAUT SCÉNARIO : François TRUFFAUT et Jean-Louis RICHARD, Suzanne SCHIFFMAN IMAGE : Pierre-William GLENN MUSIQUE : Georges DELERUE INTERPRÉTATION : François TRUFFAUT, Jean-Pierre AUMONT, Jean-Pierre LÉAUD, Valentina CORTESE, Jacqueline BISET, Nathalie BAYE, Jean-François STEVENIN, Bernard MENEZ, David HARKHAM FRANCE 1973 - 1h15 - Couleur - 35mm I ) SYNOPSIS A Nice, aux studios de la Victorine, Ferrand (François Truffaut) réalise son

mémorisables pour le spectateur. Si leur travail était « bien fait », la mélodie pouvait aider à un lancement commercial et la tentation, pour les réalisateurs, est grande Les duos se multiplient, on parle même de couple cinématographique. Georges Delerue et François Truffaut étaient eux aussi, un couple cinématographique devenu célèbre. De nombreuses musiques composées pour le cinéma, deviennent des mythes, des références pour le grand public. Prenons comme exemple, le film crée par Sergio Leone

lyrique - musique composée par Stéphane Varègues) * Adam, Ève et le troisième sexe * 1959 : Les Bâtisseurs d'empire * Cinémassacre ou les cinquante ans du septième art * 1957 : Le Chevalier de neige (opéra - musique composée par Georges Delerue) Poésies : * 1948 : Barnum's Digest (recueil de dix poèmes) * 1949 : Cantilène en gelée (recueil de poèmes) * 1962 : Je voudrais pas crever (recueil de 23 poèmes publié à titre posthume) * Cent sonnets * 1954 : Le Temps

ou Ben-Hur (1959). En France, Michel Legrand, immense compositeur de Lola (1960), Les Parapluies de Cherbourg (1963), Les Demoiselles de Rochefort (1967), ou encore Un Eté 42 (1971), a marqué les mélomanes, dans un style qui lui est propre. Georges Delerue, avec Hiroshima mon amour (24 - jikan no joji) (1958), Tirez sur le pianiste (1960), Jules et Jim (1961), Le Mépris (1963), La Peau douce (1964), Le Corniaud (1964), Le Cerveau (1968), La Nuit américaine (1973), Le Dernier métro (1980), L'Eté

Introduction Georges Brassens est né dans un quartier populaire du port méditerranéen de Cette — le nom de la ville ne sera orthographié Sète qu’en 1928. Dans la maison familiale, il est entouré de sa mère Elvira[1], de son père Jean-Louis, de sa demi-sœur Simone (née en 1912, du premier mariage de sa mère) et de ses grands-ascendants paternels, Jules et Marguerite. Sa mère, Elvira Dagrosa, dont les ascendants étaient originaires de Marsico Nuovo dans la région de Basilicate en Italie du sud