Georges Duroy Portrait Complet

Dissertation de Français NOTE OBSERVATIONS SIGNATURE Sujet : Préface de Pierre et Jean (1887). « Le réaliste, s’il est un artiste, cherchera, non pas à nous montrer la photographie banale de la vie, mais à nous en donner la vision plus complète, plus saisissante, plus probante que la réalité même. Les grands artistes sont ceux qui imposent à l’humanité leur illusion particulière. » Le sujet porté à l’étude est tiré de la préface du roman naturaliste (psycho-réaliste) Pierre et Jean de Guy

Comédie humaine ». BALZAC expose les principes directeurs de son œuvre dans un important « Avant-Propos de la « Comédie humaine » (1842). Dès la première phrase BALZAC y avoue que c’est sous l’influence de la querelle scientifique entre CUVIER (GEORGES CUVIER – 1769-1832) et GEOFFROY SAINT-HILAIRE ( ÉTIENNE GEOFFROY SAINT-HILAIRE –1772-1844), deux grands savants naturalistes, que l’idée lui est venue de créer une œuvre pareille. Comme cette querelle portait sur la genèse des espèces zoologiques

une découverte personnelle, de son identité. En effet, ce genre favorise par sa forme même l’identification. Ce processus est particulièrement intéressant dans la construction de sa personnalité, et la découverte de celle-ci. Le personnage de Georges Duroy dans Bel-Ami de Maupassant, illustre bien cette idée : jusqu’ou le lecteur va s’identifier à lui ? Au début, il n’apparaît pas comme antipathique, et son ambition s’apparente à une envie de réussir pas complètement absurde

a écrit trois romans à succès : Une vie (1883), qui retrace la destinée d’une jeune aristocrate nor- mande, Jeanne Le Perthuis des Vauds, de son enfance à sa vieillesse; Bel-Ami (1885), qui décrit la réussite sociale fulgu- rante du séducteur Georges Duroy, dans les milieux corrompus 1. Gustave Flaubert (1821-1880) : romancier français, auteur de Madame Bovary et d’autres romans réalistes remplis d’ironie et de pessimisme. Il fut le mentor de Maupassant. Présentation | 5du journalisme, de la finance

notes de bas de page, dossier pédagogique, etc. - utile : ces livres sont des classiques de l’enseignement du français, ils possèdent une valeur scolaire et leur lecture vous permet de mieux maîtriser le programme de français du lycée, de compléter la formation de seconde, d’approfondir la préparation du bac de français. • D’innombrables autres livres rempliraient cette double mission de l’utile et de l’agréable ! Si vous possédez d’autres livres ou si avez d’autres envies (« envies »

la désertion) Héros et antihéros (différences) • Des scènes de spectacle, mais des rôles différents : Gavroche est le spectacle ; Fabrice, Frédéric et Bardamu sont des spectateurs. • Gavroche, une mort en chantant / un sacrifice une mort héroïque (portrait de Gavroche en action), sous les yeux d’un lecteur omniscient + une vision ludique, insouciante et surnaturelle du combat. • Bardamu, la remise en question des valeurs héroïques traditionnelles (reprise ironique du lexique de l’héroïsme, figures

lecture : notes de bas de page, dossier pédagogique, etc. - utile : ces livres sont des classiques de l’enseignement du français, ils possèdent une valeur scolaire et leur lecture vous permet de mieux maîtriser le programme de français du lycée, de compléter la formation de seconde, d’approfondir la préparation du bac de français. D’innombrables autres livres rempliraient cette double mission de l’utile et de l’agréable ! Si vous possédez d’autres livres ou si avez d’autres envies (« envies » suscitées

ambassadeur illustre de France. Si certains aspects du récit sont sans doute romancés ou exagérés, l’essentiel du roman est tiré de faits réels. Le personnage principal et l’auteur ne faisant qu’un, le lecteur est capable de dresser la vision la plus complète et donc réelle de celui-ci, autant par la description du Romain Gary dans le roman que par la tonalité auto-dérisoire de son style. De plus, certains personnages sont présentés comme de vraies personnes par l’auteur, devenant ainsi des êtres bien

pièces qui viennent compléter le puzzle. De plus, les dialogues insérés dans le récit sont également porteurs d'indications sur le personnage. En effet, les mots prononcés, mais aussi le ton (donné grâce aux incises) sont révélateurs de sa personnalité. Enfin, un objet ou un vêtement peuvent être davantage que des « attributs » du personnage : ils sont parfois comme des symboles, ou des images, donnant un éclairage essentiel sur le héros. Flaubert par exemple, lorsqu'il fait le portrait de Charles Bovary

pointillistes. Les objectifs assignés ici à l'entretien sont très vastes, et jugent le travail de toute l'année. Dans ce livre, nous vous donnons quelques exemples des questions qui peuvent vous être posées, mais sans pouvoir vous donner des réponses complètes. III - Évaluation de l'épreuve orale L'examinateur se donne pour principes, dans les appréciations qu'il porte : – d'utiliser toute l'échelle de notation ; – de valoriser les éléments de réussite plutôt que de pénaliser les carences ; – de valoriser