Gerer Et Proteger Le Groenland

1- Un espace fragile 2- Enjeux géopolitiques et stratégiques 3- Protéger ou exploiter I – L’Antarctique, un milieu contraignant en voie d’intégration 1 - Définition et Présentation de l’Arctique Les « mondes arctiques » couvrent un vaste ensemble de zones continentales, de zones maritimes prises par une banquise permanente ou saisonnière, et d'inlandsis (épaisse calotte de glace recouvrant le Groenland). Ils représentent 25 millions de km2 couverts par les glaces en hiver

Russie. Essentiellement situés au nord du Cercle polaire, ils sont pris par les glaces une grande partie de l'année. La banquise s'étend sur 5 à 6 millions de km² l'été et sur la totalité de l'océan en l'hiver. Elle se situe entre la Norvège et le Groenland par un courant marin qui augmente la température de l'océan qui s’appelle la dérive nord-atlantique. Ce courant joue aussi un rôle dans le climat tempéré d'Europe de l'Ouest. 2. Un milieu contraignant La région Arctique est un monde difficile pour

domaine à la fois continental et maritime • Les « mondes arctiques » couvrent un vaste ensemble de zones continentales, de zones maritimes prises par une banquise permanente ou saisonnière, et d'inlandsis (épaisse calotte de glace recouvrant le Groenland). Ils représentent 25 millions de km2 couverts par les glaces en hiver. • Toutes ces régions font partie du bassin de l'océan glacial Arctique. La ligne de Köppen, l'isotherme 10°C du mois le moins froid, délimite conventionnellement l'Arctique

essentiellement situés au nord du Cercle polaire, et sont pris par les glaces une grande partie de l'année. La banquise s'étend sur 5 à 6 millions de km2 l'été et sur la quasi totalité de l'océan, l'hiver. Elle est stoppée entre la Norvège et le Groenland par un courant marin qui augmente la température de l'océan : la dérive nord-atlantique. Les frontières de la zone arctique sont difficiles à définir car les avis divergent. Certains la limitent au cercle polaire, (66°33'39'' de latitude nord)

le moteur de la croissance [du trafic] ». De quelles ressources s’agit-il ? Les documents ne parlent pas des richesses halieutiques, et pourtant on pêche beaucoup (la morue, le hareng et les crevettes) au large de la Norvège, de l’Islande et du Groenland. Il n’est pas non plus question du potentiel touristique de l’espace arctique, et pourtant ici comme ailleurs, les touristes en quête de dépaysement, de contact avec une nature vierge, sont de plus en plus nombreux à s’offrir le voyage dans une zone

sont recouverts d'eau, on l'appelle donc la planète bleue. Or, 97, 5 % de cette eau est salée : elle est donc impropre à la consommation. Les 2,5 d'eau douce qui restent ne sont pas facilement accessibles : ils se trouvent soit dans les Glaciers du Groenland et de l'Antarctique soit dans des nappes phréatiques souterraines profondes. On estime environ à 40 000 kilomètres cubes d'eau accessibles soit 6000 mètres cubes d'eau par an et pas habitant ce qui est suffisant. Donc l'eau ne devrait pas être un

Thème 4 : Gérer les espaces terrestres Q1 : Les mondes arctiques « une nouvelle frontière sur la planète » ? Etude de cas : Nunavut 1. Où se trouve le territoire du Nunavut ? Arctique canadien 2. Quelle est la capitale du Nunavut ? Quelle impression se dégage des rues de la ville ? Iqaluit, impression de modernité mais aussi d’inachevés 3. Combien d’Inuit peuplent le Nunavut ? 30 000 4. Depuis quand le territoire du Nunavut est-il autonome 

William Barents fin XVIe, ou le danois Vitus Bering dans la première moitié du XVIIIe, et au XXe le norvégien Road Amundsen (1906), l’américain Robert Peary (1909) ou les Français Jean-Baptiste Charcot (début XXe) et Paul-Emile Victor (1948-1953 au Groenland). Cette aventure polaire a été une épopée littéraire sans égale dans l’histoire de l’exploration géographique du monde (cf la passion (nourrie de romanesque, de géographie et d’ethnologie) des Français pour les pôles (singularité géographique française))

international de l’environnement qui se développe et se précise depuis une vingtaine d’années a abandonné la technique sectorielle qui prévalait auparavant et qui consistait à ne lutter que contre certaines formes ou sources de pollution, ou à ne protéger que certaines ressources pour se fonder sur une approche globale, tant au niveau de la protection qu’à celui de la mise en valeur. C’est en ce sens qu’il semble convenir, dans un temps premier, de se pencher de manière objective sur le cadre juridique

extermine. Adieu les mauvaises récoltes et les menaces de famine. L’agriculture produit tant qu’il faut désormais gérer les surplus. Mais la majeure partie de ces produits toxiques se disperse dans l’air, les sols, les plantes, les animaux, les cours d’eau, lesocéans. Ces substances sont-elles nuisibles à l’espèce humaine qu’elles ont délivrée de la faim ? Ces agriculteurs, protégés par leur combinaison jaune, le savent sûrement.Les engrais enfin. Ils ont encore issus de l’industrie pétrolière. Ils