Germinal Le Voreux

Commentaire composé Partie 7 chapitre 2 Germinal de Zola Ce texte est un extrait de Germinal, écrit par Emile Zola en 1885 et qui est le treizième volume des Rougon-Macquart. Ici, il nous fait la description du sabotage du Voreux par un homme dont le nom n’est pas mentionné. Il adopte une focalisation interne puisqu’il sait ce qu’il pense ou le cas échéant, ce qu’il ne pense pas comme à la ligne 27 avec « l’idée d’aller changer de vêtement ne lui vint même pas ». De plus son statut semble être

le chef de file du naturalisme, est un romancier français, auteur de la célèbre œuvre des Rougont-Macquart, ainsi qu'il a défendu Dreyfus en publiant J'accuse...!. Dans la partieI chapitre1 du roman Germinal, le roman débute in medias res par l'arrivée d'un homme, en pleine nuit, à la fosse du Voreux ; cet homme n'est autre qu'Etienne Lantier, fils de Gervaise Macquart , frère de Claude , de Jacques et de Nana. Il conviendra d'analyser successivement l'incipit, le paysage, le personnage. I -

Peste, Rieux pense à « ceux et celles qu['il a] aimés et perdus », à « l'injustice » et à « la violence » qui peuvent renaître à tout moment. Le malheur peut prendre aussi la forme de la souffrance : dans Germinal, les mineurs souffrent à « taper » sans relâche dans le « trou maudit » du Voreux, « l'échine cassée ». Dans Bel-Ami, de façon plus implicite, Mme de Marelle, amoureuse de Duroy, est contrainte de rester dans l'ombre devant le triomphe d'une autre. C'est La Peste (roman écrit après la

qui ont le même auteur : Emile Zola. Le premier est un extrait de L’Assommoir datant de 1870, tandis que le seconde est un passage de Germinal, partie 1, chapitre 3, datant de 1885. Ces deux extraits de romans décrivent tous deux une scène de la vie quotidienne : Gervaise Macquart va « prendre une prune » avec un ouvrier (texte 1), Etienne Lantier découvre le « Voreux », le plus grand puits d’une mine de charbon. Il s’agit donc ici de deux univers réalistes dans lesquels les personnages vont évoluer

I.- TOUT D'ABORD, GERMINAL : ROMAN MYTHIQUE ET EPIQUE Roman mythique : il faut d'abord définir de façon aussi claire que possible ce qu'on entend par mythe dans un cas comme celui-là : il s'agit d'un système de représentation dans lequel toute une série de convergences d'éléments, qui peuvent être empruntés à une simple vie quotidienne, vont être transformés, métamorphosés, transmutés en éléments symboliques qui vont prendre sens et qui vont permettre une lisibilité du réel comme ensemble de fonctions

écarts • lectures analytiques : qu'est-ce que l'écriture transforme ? Comment ? • GT lectures cursives : autres descriptions qui fonctionnent sur le même principe : l'alambic dans L'Assommoir, la Lison dans La Bête humaine, le Voreux dans Germinal... • 3) Qu'est-ce que le naturalisme ? • apport théorique et « exercices » : site Magister : http://www.site- magister.com/zola.htm • l'arbre généalogique des Rougon-Macquart : http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/e/e1/Zola_-_Arbre_g%C3%A9n

Dans Regain, c’est le village qui est abandonné, comme mort, et Panturle a dû «combattre» contre cette mort lente. Le malheur peut prendre aussi la forme de la souffrance imposée à la classe ouvrière : dans Germinal, les mineurs souffrent à « taper » sans relâche dans ce « trou maudit » du « Voreux », « l’échine cassée ». • Mais, en contrepoint de cet aspect profondément négatif qui pourrait être désespérant, les cinq textes suggèrent, par divers moyens, le renouveau et dépeignent un monde gros d’espérances

caractéristiques du naturalisme que Zola développera avec succès plus tard dans son cycle sur la famille des Rougon-Macquart. Zola en tirera lui-même une pièce de théâtre en 1873. Le Roman expérimental (Essai, 1880) et L’Assomoir (1876), Nana (1879) et Germinal (1885), romans les plus connus des Rougon-Macquart. D'après Le Figaro du 23 janvier 1868 à propos de Thérèse Raquin : "C'est le résidu de toutes les horreurs. Le sujet est simple, le remord s physique de deux amants qui tuent le mari mais qui

Germinal résumé Partie 1 Etienne Lantier, à la recherche de travail, arrive de nuit devant une fosse, le Voreux. Il demande au vieux Bonnemort s’il y a de la place pour un machineur mais celui-ci lui répond que non. Etienne sent bien que la crise frappe cette région et une description misérable de la famille Maheu confirme ses pensées. Il trouve finalement une place grâce à la mort d’une herscheuse. Etienne descend alors dans la fosse accompagné de Maheu, Catherine dont il tombe amoureux et Chaval

envers Catherine à cause de sa jalousie. Il se bat souvent avec Etienne. En échange d’une promotion, il stoppe la grève et va jusqu’à trahir ses camarades en prévenant les gendarmes. Il espère qu’Etienne soit arrêté. Souvarine : Machineur au voreux, il est logé chez Rasseneur dans la chambre voisine d’Etienne. Il devait avoir une trentaine d’année, mince, blond, avec une figure fine encadrée de grands cheveux avec une barbe légère. Il aime échanger avec Etienne. Cependant, il est anarchiste