Germinal Le Voreux

comparant Germinal de Zola, le roman du XIX ème siècle et celui du XX que vous avez lus, vous vous interrogerez sur l’évolution du genre à travers les personnages et la vision du monde évoqués par les auteurs. PLAN Introduction Introduction partielle I - L’évolution du genre du roman à travers les personnages a) Nom et origine du personnage * 19ème siècle ( Germinal + Madame Bovary) * 20ème siècle ( L’étranger ) b) l’identité du personnage * 19ème siècle ( Germinal + Madame Bovary)

:29 Septembre 1902 Écrit en : Castrent Maigrat Lancent des briques sur une cabine Livre Émile Zola Découverte par le grand-père de Bonenmort p.101 Températuere peut attaindre 35 C p.87 504 m de profondeur Veine Guillaume p. 62 Fosse : Le Voreux Auteur/Livre p.78 Salaire : environ 9 francs par semaine Maheu Résidence no 16 † Père Toussain p.91 Havreur p.586 Reçoit une balle au coeur p.169 A travaillé à la mine jusqu'à 20 ans Lieux p. 72 Coron Deux-Cent-Quarante 4 immenses

de houille" la maison est garnie de meubles Zola transforme l'espace en emblème de la lutte des classes.Effectivement l'espace des mineurs est sombre,noir ce represente la mort alors que ceuli des bourgois est plutot coloré Les bourgeois dans Germinal sont représenté par plusiers familles:Les Hennebeau composés de Phillipe Hennebeau,il a 48 ans et il est le directeur général desmines de Montsou.Il est orphelin et il a fait l'école des Mines pour devenir ingénieur .Il est l'epoux malheureux d'une

Lecture analytique : Zola, Germinal, incipit, « L’homme de Marchiennes ». Introduction : Le roman raconte l’arrivée d’un homme, Etienne Lantier, dans une mine le Voreux, près de Montsou. En quoi ce texte est-il un incipit ? (Définition de la notion d’incipit) I. Narrateur et personnage 1. Un narrateur objectif Statut du narrateur : Principe naturaliste (souci d’objectivité = ne pas faire intervenir le narrateur) = 3eme pers. du sg + 1 apparition ambiguë « qu’on ne voyait point »

Le Voreux Etienne fit quelques pas, attiré par la machine, dont il voyait maintenant luire les aciers et les cuivres. Elle se trouvait en arrière du puits, à vingt-cinq mètres, dans une salle plus haute, et assise si carrément sur son massif de briques, qu'elle marchait à toute vapeur, de toute sa force de quatre cents chevaux, sans que le mouvement de sa bielle énorme, émergeant et plongeant, avec une douceur huilée, donnât un frisson aux murs. Le machineur, debout à la barre de mise en train

sujet d'énonciation dans cette seconde partie. Conclusion Dans cet extrait de Germinal, Zola, après avoir évoqué le supplice d'un homme, Maheu, choisit de décrire l'étrangeté du puits, en l'assimilant à l'enfer. Ce texte, comme souvent dans le roman, même s'il montre la volonté de l'écrivain de décrire une réalité terrible, comporte aussi une portée symbolique. Cette image laisse présager la fin du Voreux aux yeux du lecteur.

moins fidele de la réalité. L’auteur peut prendre parti, avec pour but d’affirmer un engagement politique,social… 3- Cependant Il n’y a pas d’œuvre purement réaliste. Même chez Zola on trouve des passages épiques et des symboles à l’image du Voreux dans Germinal.

restent assez sombres. Par exemple, dans Germinal, la famille de mineurs dont on raconte l'histoire est presque entièrement détruite à cause des grèves, mais tous ces combats montrent que le monde ouvrier espère un monde plus égalitaire. Avant d'écrire un livre, il se renseigne sur le sujet de son livre en allant sur le terrain. Par exemple, il a vécu un mois avec des mineurs avant d'écrire Germinal. C'est en quelque sorte un "journaliste". II) GERMINAL a) LE RÉSUMÉ Première partie Machineur

GERMINAL Première partie chapitre 4 : La mine infernale De "C'était Maheu..." à "...la pluie des sources." Introduction Le texte que nous allons étudier se trouve au début du chapitre 4 de la 1ère partie, consacrée à l'exposition des personnages et de leur situation. Etienne Lantier est engagé à la mine et y remplace Fleurance, ancienne hercheuse. Il y fait donc un travail de femme. Le texte décrit les conditions de travail des mineurs. Le lieu est vécu comme un monde infernal

conditions de vie déplorables des chevaux mettaient aussi en jeux le bon travail des chevaux. En effet, les chevaux souffraient énormément du manque de lumière. Dans Germinal, ce problème est de nombreuses fois exprimé. C’est notamment Trompette qui en souffre le plus, on remarque qu’il ne s’est jamais habitué à la vie dans le Voreux. Son travail est fait sans goût, il rêve de retourner à la lumière du jour. Bataille également souffre de ce manque de luminosité, mais il s’y est plus ou moins habitué