Germinal Zola Plaidoyer

les goûts. C’est le cas de Zola dans « Germinal ». Ce roman met en scène un jeune homme, Etienne Lantier, qui s’est fait renvoyer de son travail pour avoir giflé son employeur. Chômeur, il part, en pleine crise industrielle, dans le Nord de la France, à la recherche d’un emploi. Il se fait embaucher aux mines de Montsou et connaît des conditions de travail effroyables. « Germinal » est un roman de la lutte des classes et de la révolte sociale, c’est un vibrant plaidoyer en faveur des déshérités et

Hugo : « Le théâtre est une tribune », l’« histoire » de héros au service des idées libérales de Hugo en faveur du peuple (Ruy Blas). – Giraudoux, La guerre de Troie n’aura pas lieu : un plaidoyer pour la paix avant que n’éclate la Deuxième Guerre mondiale. • Les romans : le roman à portée sociale (Germinal de Zola) La variété des personnages, donner corps à des idées abstraites • Des bons, des méchants, des personnages proches de la réalité, fantaisistes… À développer à partir des personnage de

étudie également les raisons qui font agir les personnages. C’est ainsi, que dans LA BETE HUMAINE, Emile ZOLA étudie, à travers Jacques Lantier, la tare héréditaire de l’alcoolisme et ces conséquences sur leurs actes. Jacques Lantier, issu d’une famille modeste avec des problèmes liés à l’alcoolémie, est victime de pulsion meurtrière envers les femmes qu’il apprécie. Dans ces œuvres naturalistes, ZOLA étudie les conséquences d’un facteur héréditaire dans une famille, mais également les milieux sociaux

merveilleuse et mouvementée, délivre un message. Pour Hugo, « le théâtre est une tribune » (Giraudoux, dans La guerre de Troie n'aura pas lieu, plaide pour la paix avant que n'éclate la Deuxième Guerre mondiale). Certains romans ont une portée sociale (Germinal de Zola). Le recours à une histoire permet de varier les types de personnages : les bons et les méchants s'opposent (Jean Valjean et Javert dans Les Misérables), l'auteur peut choisir des personnages proches de la réalité ou fantaisistes (comme les

vendu certaines informations à l’Allemagne. Peu à peu, on commence à se poser des questions : Dreyfus est-il vraiment coupable ? La France se déchire alors en deux : dreyfusard et antidreyfusard. J'Accuse…! est le titre de l'article rédigé par Émile Zola lors de l'affaire Dreyfus et publié dans le journal L'Aurore (13 janvier 1898). L'article est présenté comme une "lettre ouverte au Président de la République" (le président était alors Félix Faure). Au travers d'un véritable pamphlet accusateur, la

merveilleuse et mouvementée, délivre un message. Pour Hugo, « le théâtre est une tribune » (Giraudoux, dans La guerre de Troie n’aura pas lieu, plaide pour la paix avant que n’éclate la Deuxième Guerre mondiale). Certains romans ont une portée sociale (Germinal de Zola). • Le recours à une histoire permet de varier les types de personnages : les bons et les méchants s’opposent (Jean Valjean et Javert dans Les Misérables), l’auteur peut choisir des personnages proches de la réalité ou fantaisistes (comme les

merveilleuse et mouvementée, délivre un message. Pour Hugo, « le théâtre est une tribune » (Giraudoux, dans La guerre de Troie n’aura pas lieu, plaide pour la paix avant que n’éclate la Deuxième Guerre mondiale). Certains romans ont une portée sociale (Germinal de Zola). Le recours à une histoire permet de varier les types de personnages : les bons et les méchants s’opposent (Jean Valjean et Javert dans Les Misérables), l’auteur peut choisir des personnages proches de la réalité ou fantaisistes (comme les animaux

Pensez aussi à d'autres genres de la fiction : pièces de théâtre à teneur argumentative (Beaumarchais, Le Mariage de Figaro ; Marivaux, L'Île des esclaves, La Colonie ; Anouilh, Antigone ; Ionesco : Rhinocéros) ; romans : Hugo, Les Misérables ; Zola, Germinal ; Camus, La Peste...Au moment de rédiger, pour éviter de répéter le mot « fiction » et aussi pour trouver des idées, faites-vous une réserve de mots renvoyant à son champ lexical : imaginaire, imagination, imaginer ; fable ; inventer, invention ;

révolte sociale avec par exemple Germinal d’Emile Zola ou se trouve un plaidoyer en faveur des déshérités et des exploités, mais aussi avec L’Ingénu ou Voltaire fait une critique de la cour : un indien souhaite s’adresser au roi mais n’arrive pas à lui parler, il y à une complexité de la cour qui est exprimée. La fiction est aussi un moyen de liberté d’expression, ou les auteurs vont généralement accentuer les situations, la façon de s’exprimer (exemple : le plaidoyer de Polly Baker ou une l’auteur

faire passer des messages sans pour autant le montrer. Il y a aussi Jean-Claude Carrière qui, dans La controverse de Valladolid, oppose deux protagonistes, Las casas qui fait un plaidoyer en faveur des indiens, et Sepulvéda qui fait un réquisitoire. Cette littérature se met au service de grandes causes comme dans Germinal de Zola ou encore Candide de Voltaire et même les poésies de l’engagement du XXème siècle, une poésie contestataire, tant au niveau politique qu'au niveau linguistique. Jusqu’à présent