Ghréline

alimentaires nécessaires au métabolisme du microbiote humain, sont doublement impliqués dans la régulation du poids : d'une part, ils augmentent la sensation de satiété, modulant les concentrations de médiateurs dérivés de l'intestin comme le peptide YY, la ghréline et le GLP-1 (glucagon-like peptide-1; peptide analogue au glucagon-1)[14]; d'autre part, des prébiotiques comme l'inuline et des oligosaccharides analogues ont une action anti-inflammatoire et régulatrice de la flore intestinale[7]. Comme d'autres

sang après avoir mangé et reste élevé entre les repas, ce qui réduit l'envie de manger du sujet. Lorsque le taux de l'hormone diminue, le cerveau l'interprète comme un signal de début de faim. La leptine augmente aussi avec la satiété, tandis que la ghréline augmente quand l'estomac est vide. D'autres facteurs sont aussi responsables de la satiété. Les influx provenant de l'estomac via le nerf vague permettent à l'encéphale d'évaluer la quantité d'aliments ingérés. L'intensité et la fréquence des

d’obésité comparativement à un sommeil de plus de 7h2. Cet impact est donc bien supérieur à celui de la prise alimentaire ou d’un manque d’activité physique. Ce phénomène s’explique par une réduction de la leptine et une augmentation de la ghréline, hormone sécrétée au niveau gastrique qui stimule l’appétit.

CORRIGE BAC S SVT 2008 SEPT METROPOLE Professeur Manumanu http://www.intellego.fr/doc/33062 Q2A Pratique des raisonnements scientifiques - Exploitation d'un document (3 points). PROCRÉATION La puberté commence donc par la sécrétion de la GnRH hypothalamique, ce qui entraîne la mise en route de l’axe gonadotrope. L’hypophyse, organe cible, va sécréter les gonadostimulines FSH et LH qui, comme leur nom l’indique, vont stimuler les gonades , testicules et ovaires, qui vont à leur tour sécréter

formes alléliques différentes. Le gène FTO « normal » produit une quantité normale de ghréline qui est une hormone qui stimule l’appétit en agissant sur le cerveau. Chez cet individu, cette hormone étant en quantité « normale » , il ne ressent pas une forte envie de manger . Le problème survient chez les individus qui possèdent un gène FTO muté. En effet, ils produisent une quantité importante de ghréline , or la ghréline est une hormone qui stimule l’appétit , donc ces individus ont une forte envie de

satiété est la sensation que l’on ressent lorsque nous n’avons plus faim. Cette sensation est conditionnée par l’hypothalamus (organe du système nerveux) lui- même commandé par des hormones, la leptine et la ghréline. En effet, la leptine augmente avec la satiété, tandis que la ghréline augmente lorsque l’estomac est vide. L’agar-agar est constitué de 80% de fibres. Dans l’estomac, ces dernières se chargent d’eau et de liquide environnant, et gonflent jusqu’à tripler de volume. Voilà le secret

39]. La ghréline est une hormone stimulant l’appétit et favorisant la prise alimentaire ce qui peut faciliter la prise de poids. Sa concentration plasmatique augmente avant les repas et diminue en postprandial. La concentration plasmatique postprandiale de la ghréline diminue d’autant plus que la proportion de protéines est élevée. Cependant, il semblerait que l’augmentation de la satiété associée à une consommation accrue de protéines ne soit qu’accessoirement médiée par la ghréline [40, 41,

font perdre du poid rapidement mais ont des effets secondaires. * La chirurgie bariatrique consiste à restreindre l'absorption des aliments. On supprime un bout de l’estomac mais aussi la production d'une hormone sécrétée par l'estomac (la ghréline) qui est à l'origine de la sensation de faim quand l'estomac est vide. Conclusion Donc en gros, l’obésité est une maladie qui est principalement due à notre mode de vie et surtout à notre malveillance de la santé. L’obésité peut se déclarer

suffisamment de nourriture par rapport à ce dont on a besoin. Si on mange lentement, l’estomac commence le brassage, l’estomac se remplit moins rapidement et on mange plus. Régulation métabolique fait intervenir des peptides gastro-intestinaux : ghréline (estomac), insuline/glucagon (pancréas), CCK (cholécystokinine)/PYY (proche de NPY)/GLP-1 (glucagon-like peptide) (intestin). La plus part de ces peptides ont un rôle dans l’absorption des nutriments mais aussi un rôle hormonal sur le SNC. La

précédemment cités sont la cause d’un dysfonctionnement de l’hypothalamus qui est la zone située au centre du cerveau. En effet l’hormone principale de l’hypothalamus est la ghréline, celle-ci stimule l’appétit et la sensation de satiété. Une personne atteinte du syndrome de Prader Willi a une plus grande quantité de ghréline ce qui entraîne une augmentation de l’envie de manger et diminue cette sensation de satiété qui est très problématique pour eux. L’hypothalamus joue aussi un rôle dans la régulation