Gilberte De Fourville

la naissance . C’était une fillette. 3 – Julien et Gilberte : Julien et Gilberte son deux amants, lors d’une sortie en chevaux Jeanne remarque leur relation cachée. L’abbé Tolbiac découvre la liaison de Julien et de la comtesse et veut dénoncer haut et fort l’adultère. Jeanne s’y oppose. Un jour le mari de Gilberte souhaite voir sa femme, M. de Fourville fait irruption au château et demande à la voir. Introuvable, il parcourt la campagne et, au bord

Jeanne reçoivent la visite des Fourville, une famille de la noblesse . Jeanne devient amis avec la jeune femme. En juillet 1820 elle accouche dans de terribles souffrances. Déçue par le mariage Jeanne reporte toute son affection sur son fils, Paul. En contrepartie d’une dot de 20 000 F, un paysan débrouillard, Désiré Lecoq, accepte d’épouser Rosalie et de prendre en charge son enfant. Dès que Jeanne s’est remise de l’accouchement, le couple rend visite aux Fourville qui les reçoivent chaleureusement

tente d’apaiser la situation et de réconcilier les époux. Rosalie est évincée. Le prêtre promet de lui trouver un époux à condition qu’on lui offre une dot assez importante. Chapitre VIII : Jeanne vit une grossesse sans joie. Un après-midi les Fourville, une famille de la noblesse locale rendent visite a Julien et Jeanne. Jeanne sympathise avec la jeune femme. En juillet elle accouche dans de terribles souffrances. Déçue par le mariage Jeanne reporte toute son affection sur son fils et éprouve pour

des Fourville, une famille de la noblesse locale. Jeanne sympathise avec la jeune femme. En juillet 1820 elle accouche dans de terribles souffrances. Déçue par le mariage Jeanne reporte toute son affection sur son fils et éprouve pour lui un amour excessif. En contrepartie d’une dot de 20 000 F, un paysan débrouillard, Désiré Lecoq, accepte d’épouser Rosalie et de prendre en charge son enfant. Chapitre IX : Dès que Jeanne s’est remise de l’accouchement, le couple rend visite aux Fourville qui

dont Une vie. Le troisième extrait de ce roman nous présente le meurtre de deux personnages de l'histoire, Julien de Lamare et Gilberte de Fourville. Ils ont tous deux leurs couples respectifs. Ces deux couples sont amis mais Julien et Gilberte vont au-delà de cette amitié en devenant amants. En étant averti de l'infidélité faite par sa femme et Julien, le comte de Fourville se laisse emporter et il commet l'assassinat des deux amants. Il serait intéressant de se demander dans quelle condition fut

femmes de ce siècle .On petit que JEANNE est modèle des femmes de ce siècle, de la société dans laquelle elle évolue. Dans l’œuvre presque toute les personnages et particulièrement les personne féminin=ROSALIE petite mère la baronne la comtesse Gilberte et implicitement l’amante de Paul la jeune corse et tant d’autre fille dans la campagne .Ce qui fit dire à L’ABBE PICOT qui en consolant JEANNE lui tient ces propos « Elle ne se marie jamais sans être enceinte jamais, madame on dirait une coutume

joie. Un après-midi Julien et Jeanne reçoivent la visite des Fourville, une famille de la noblesse locale. En juillet 1820 elle accouche dans de terribles souffrances. Dès que Jeanne s’est remise de l’accouchement, le couple rend visite aux Fourville qui les reçoivent chaleureusement. Au printemps suivant, les deux couples effectuent ensemble plusieurs sorties à cheval. Puis Jeanne découvre que Julien est l’amant de Gilberte de Fourville. A la douleur de l’infidélité de son mari, s’ajoute la déception

éprouve pour lui un amour excessif. En contrepartie d’une dot de 20 000 F, Désiré Lecoq, accepte d’épouser Rosalie et de prendre en charge son enfant. Au printemps suivant, le couple avec les Fourville effectuent ensemble plusieurs sorties à cheval. Puis Jeanne découvre que Julien est l’amant de Gilberte de Fourville. A la douleur de l’infidélité de son mari, s’ajoute la déception d’avoir été trahie par la Comtesse. Les parents de Jeanne viennent passer quelques jours aux Peuples. La baronne Adélaïde

le découvrira après leur mariage) est un véritable avare et égoïste. Il trompera Jeanne avec sa domestique Rosalie, puis avec une voisine du nom de Gilberte de Fourville. Jeanne accouche de son premier enfant, Paul, qui va connaître de graves problèmes de santé. Son deuxième enfant sera mort-né, le jour même où M. de Fourville va tuer Julien et Gilberte. Paul guérit et part en pension à 15 ans au collège du Havres, où il suivra des études jugées minables aux yeux de toute sa famille. Jeanne se retrouve

d'une autre femme, mais se sent d’autant plus trahie qu'il s'agit de la comtesse de Fourville, une de ses amies. Peu après, sa mère meurt et Jeanne trouve dans les papiers de la défunte des lettres prouvant que sa mère a entretenu une relation adultère avec un ami de la famille. Paul, lui, connaît de graves problèmes de santé et Jeanne craignant de se retrouver seule voudrait un autre enfant. Le comte de Fourville, s’étant rendu compte de la relation qu’entretenait sa femme avec Julien, les tue