Giorgione

sculpture de Vénus entièrement nue, en rond de bosse (on voit toutes ses faces). Idée d’une déesse surprise sortant du bain. Praxitèle fait vraiment de la nudité et de la beauté du corps les attributs de Vénus.  Vénus endormie dite Vénus de Dresde, Giorgione, 1509-10. Très inspirée des modèles Antiques, allongement du corps. Représentation dans un paysage.  Vénus d’Urbin, Le Titien, 1538 (galerie des offices). Représentée dans un intérieur ce qui renvoi à l’idée de l’union matrimoniale.  Vénus à

d’aller  plus  loin  dans  sa  représenta‐ tion  du  «  politiquement  correct  ».  Au  cours de sa longue carrière, Titien évo‐ lue  dans  la  représentation  des  mythes  classiques où les femmes sont mises en  avant.  Il  a  été  l’élève  de  Giorgione,  le  grand  initiateur  du  nu  vénitien  classi‐ que,  qui  l’a  beaucoup  influencé.  Le  concert  champêtre,  qui  fut  longtemps  attribué à son maître, met ainsi en scè‐ ne  quatre  personnages  d’une  intense  sensualité. La rencontre, dans la lumiè‐

visage à la dépouille de saint Barthélemy dans le Jugement dernier de la chapelle Sixtine (1536-1541) ; et plusieurs de ses sculptures peuvent s'assimiler à des autoportraits idéalisés, comme le San Procolo du tombeau de Saint Dominique à Bologne. Giorgione a peint vers 1509-1510 son autoportrait en David. Raphaël nous est plus connu : on le voit parmi les personnages de l'École d'Athènes (1510), dans un autoportrait présumé de 1516, au Louvre ; ou encore avec un ami auquel il tient l’épaule (1518,

alors qu’il demeure relativement secondaire chez la plupart des Toscans ou des Vénitiens du XVème siècle. Il devient toutefois un facteur artistique de toute première importance en Italie à partir de Léonard de Vinci (toscan, mort en 1519) ou de Giorgione (vénitien, mort en 1510) et, plus encore, chez le Caravage (lombard, actif notamment à Rome, mort en 1610) et chez les ténébristes du XVIIème siècle. L’analyse procède en deux étapes successives. La première concerne la cohérence et la provenance

autres. [Manet] fit effort pour oublier tout ce qu’il avait étudié dans les musées ; il tâcha de ne plus se rappeler les oeuvres peintes qu’il avait regardées” (ibid. 1867). Manet cherche pourtant ici surtout à se mesurer au Concert champêtre de Giorgione et Titien et au Jugement de Pâris de l’atelier de Raphaël (Marc-Antonio Raimondi). 1. Alexandre Cabanel : Naissance de Vénus, 1863 2. Edouard Manet : Olympia, Salon de 1865 3. Edouard Manet : Le Fifre, 1866 1 2 3 2. Zola dans la société

de la couleur et la lumière. Titien Né en 1490, dans une petite ville, et meurt a Venise en 1576, il commence son éducation artistique chez Giovanni Bellini, il va prendre un parti différent. Il va ensuite poursuivre son apprentissage avec Giorgione, il va prendre la succession de Bellini et devient peintre d' état a Venise. Cela fait de lui un personnage important. En 1530, il provoque une rencontre avec l' empereur Charlequin a Bologne, et cet empereur va le faire chevalier quelques années

inclusive, utilizando uma expressão do próprio BT, para “[...] definir seu lugar e sua posição ante o real, o bem, o mal, a vida e a morte”41. Desta perspectiva, é impossível atribuir a qualquer forma de 37 38 Ibid. PATER, Walter. The School of Giorgione. 39 TOLENTINO, B. Op. cit. 40 Idem, ibid, p.10. 41 Ibid. 26 manifestação artística uma primazia sobre as demais, como BT tenta fazer em relação ao poema destinado unicamente à leitura. É difícil entender de todo porque Bruno Tolentino transformou

reconnaître les clés appropriées. Énigme et représentation : les sujets antiques comme métaphores picturales Pour saisir cette conception de l’œuvre comme énigme nous allons examiner quelques œuvres exemplaires... [pic] Considérons La tempête de Giorgione (1477?-1510) : ici, le "naturalisme" recouvre l'encryptage des motifs iconographiques, car le sujet religieux se cache derrière une scène d'apparence convenue sinon banale. Le tableau peut-il se comprendre sans connaître pour qui il a été peint?

ne répond pas toujours à son idéal. Notre protagoniste « […] cherche la créature la plus parfaite, et la moindre imperfection la lui rend inacceptable ».[19] Il faut que sa future femme ressemble à « une vierge de Raphaël » (68) ou « un motif de Giorgione » (79). Comme le formule dans son article A. Ubersfeld, « D’Albert cherche dans l’objet aimé [...] surtout le statut d’objet, inaltérable, inusable, indifférent à la marche du temps, indemne de toute corruption ». Pour lui, la beauté du corps

Amsterdam exportait vers les pays nordiques jusqu'en Pologne. Dans les années 1630 on a même la mise en place de ventes aux enchères et le marché qui s'y créa fut le premier du monde. Ainsi beaucoup d'oeuvres vont passé à Amsterdam tel que Michel Ange, Giorgione, Rubens ou encore Van Eyck. Tout comme des philosophes ont marqué Amsterdam, un artiste va lui aussi marquer la ville: il s'agit de Rembrandt. Bien qu'à la fin de sa vie à Amsterdam, il est été incompris par les habitants de la ville, Rembrandt a