Giovanni Pontano

Le conte merveilleux, ou conte de fées, est un sous-genre du conte. Dans ce type de littérature interviennent des éléments surnaturels ou féeriques, des opérations magiques, des événements miraculeux propres à enchanter le lecteur, ou l'auditeur, dans le cas d'une séance de conte, généralement empruntée au folklore. La plupart des récits appartenant à ce genre littéraire ont circulé de bouche à l'oreille, avant d'être l'objet au xviie siècle de collectages, retranscriptions à l'écrit et de se retrouver

chanteurs et organistes à adopter une posture plus intellectuelle, originale et raffinée, proche de celle de l’intellectuel de la Renaissance, à l’érudition solide. Ainsi se développe une musique religieuse solennelle, a capella, portée notamment par Giovanni Pierluigi da Palestrina (1525-1594), qui imposa rapidement son écriture de la musique sacrée. Pendant le Concile de Trente, plusieurs dispositions concernent la musique religieuse, telles que l’interdiction de l’utilisation du cantus firmus (une

Travail de recherche sur la Renaissance I/ Oeuvre musicale de la Renaissance Nous allons travailler sur une œuvre de Giovanni Pierluigi da Palestrina intitulé O Magnum Mysterium. L'auteur: Giovanni Pierluigi da Palestrina est né à ... Palestrina (Italie), en 1525. Il a prit le nom de sa ville natale. De 1544 à 1551, il est organiste et maître de chant de la cathédrale de sa ville natale. Lorsque son évêque devient pape, le compositeur est appelé à Rome,

commercial et de raffinement social. Pontano, dans son traité De principe (Du prince, 1468) écrit pour le jeune Alfonso, duc de Calabre (héritier du royaume de Naples) reconnaît que les souverains italiens importent les modes de France, mais exprime l'idée populaire selon laquelle les Français mangent que pour satisfaire leur gourmandise alors que les Italiens mangent avec splendore. Cependant, « splendeur » et « magnificence » souffrent d'excès: Pontano cite pour exemple les faux joyaux de

Chaucer (Londres vers 1343 – 1400) 2. XVe siècle  Guarino Veronese (1374-1460) Leonardo Bruni (1370-1444) Jan Van Eyck ( vers 1390 - vers 1441) François Philelphe (1398- 1481) Nicolas de Cuse (1401-1464) Lorenzo Valla (1407-1457) Giovanni Pontano (1426-1503) Giulio Pomponio Leto (1428-1497) Guillaume Fichet (1433- vers 1480 ou 1490) Marsile Ficin (1433-1499) Léonard de Vinci (1452- 1519) Johannes Reuchlin (1455-1522) Jean Pic de la Mirandole (1463-1494) Leon Baptiste Alberti

Italie et des pérégrinations variées, à la cour de Bavière). 3° L’acclimatation de modes de sociabilité et de pratique du pouvoir Le modèle académique chemine, via l’Académie Careggi à Florence, l’Académie d’A. Manuce, l’Académie napolitaine de Pontano (fin XVe s.-1543) ou l’académie de Pomponio Leto à Rome, et se répand en Europe sous la forme de cénacles organisés par une personnalité lettrée, de « sodalités » dans l’Europe danubienne, rhénane (rôle de Conrad Celtis), avant de pénétrer les cercles

propagation des traités humanistes qui vont façonner l'opinion. L'on peut notamment citer l'exemple de certains traités d''humanistes italiens qui exaltent l'ostentation princière, tels que les traités De magnificienta et De splendore (1498) de Giovanni Pontano qui enseignent la manière d'utiliser noblement l'argent. Ces traités montrent à quel point le faste revêt un intérêt croissant pour l'aristocratie et « il semble que la fortune ait une très grande force sur les opinions des hommes »12. La noblesse

sculpteurs florentins et Laurent s'adresse à lui pour prendre en charge le sarcophage de Pierre et Jean de Médicis. Il réalise aussi pour les Médicis des statues de bronze. De nombreux sculpteurs comme Vinci travaillent dans son atelier. Bertoldo di Giovanni est aussi prisé par Laurent qui pratique divers genre Antique. Les Pollaiuolo réalisèrent eux des bronzes. L'Autel Corbinelli réalisé par Andrea Sansovino montre le déplacement général de la sculpture vers des valeurs archéologiques et antiquaires

1912, in-8°, comme fasc. 17 de la « Bibliothèque du xve siècle »), p. xxiii-lxxxi. Sur le règne de Ferdinand, à défaut de travaux d’ensemble, on consultera les ouvrages de E. Nunzianti, I primi anni di Ferdinando d’Aragona e l’invasione di Giovanni d’Angiò, 1458-1464 (Naples, 1898, in-8°), d’abord paru sous forme d’articles dans les t. XVII à XXIII, années 1892 à 1898 de l’Archivio storico per la provincie napoletane ; P. Egidi, La politica del regno di Napoli negli ultimi mesi dell’anno 1480

D’autres recueils apparaitront ensuite en Italie et en Russie par exemple. Avant Grimm, les contes populaires étaient très peu notés. Les Contes de La Fontaine sont des contes érudits par exemple. Mais les contes de Perrault au 17e siècle et de Giovanni Batista Basile sont faits pour divertir. Ils rappellent la tradition orale mais lui donnent une dimension artistique en les transformant en œuvre littéraire, ce qui permet aussi une prise de distance vis-à-vis de l’oralité. Le fait de transformer