Git

je fixe le ciel qui défile au- dessus de moi. La nature grouille4 et suinte5. Je le sens. Je le sens avec une acuité de fiévreux. Les fourmis montent le long des troncs d’arbres. Je sens la chair morte d’un singe, tombé du haut d’un arbre, qui gît la nuque brisée, dans un jus sale, couvert d’insectes venus laper sa mort. Cette odeur acide me parvient. Au loin, des fauves s’entre-déchirent. On tue à chaque seconde autour de moi. Je sens la vie qui se débat comme un poisson hors de l’eau. Je

un lieu non défini. Le tableau est formé par une diagonale éclairée. En haut de cette diagonale se trouve un grand lit rouge avec un pied en tête d’éléphant sur lequel est allongé le roi Sardanapale qui a l’air rejeté et lointain. Au pied de son lit git une femme morte à demi allongée. Le calme du roi contraste avec le reste de la scène. Tout autour de lui se déroule un drame : une série de meurtre. En bas de la diagonale, un oriental musclé, au regard féroce, transperce le dos d’une femme avec son

impacts des objets connectés dans la vie quotidienne dans les domaines suivant : la santé, l’habitat, l’automobile, l’assurance, Personnes bE Objets ane fH batiments, edifices, ex Git Agriculture ane fH batiments, edifices, ex Git Agriculture Industrie 4.0 Véhicule autonome Réseau intelligent Agriculture 2.0 H6pital 2.0 a: iw Ville intelligente Logistique intelligente Maison intelligente Industrie 4.0 Véhicule autonome

Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l'innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards. Capitale de la douleur, 1926 Le mythe d’Orphée : -------------------------------------------------

l'homme religieux, il a intégré son histoire religieuse dans son inconscient. C'est en lui que l'homme puise pour chercher des solutions aux difficultés de sa propre existence et dans ce sens l'inconscient remplit le rôle de la religion. En l'homme gît la possibilité de réintégrer une expérience religieuse. Ce n'est pas la croyance en un Dieu qui définit la religion dans son essence mais l'attitude religieuse qui suppose certaines valeurs transcendants la vie elle-même. On peut donc être ainsi que

Borowcki Nuit sur Birkenau Nuit sur Birkenau De nouveau la nuit. De nouveau le ciel menaçant -vautour qui tournoie, prédateur prêt au bond- sur le silance sourd, sur le camp, la lune, pâle cadavre, descend. Bouclier delaissé au combat, Orion le bleu gît parmi les étoiles. Les sours grondements des auto montent des ténèbres où brillent les yeux des fours crématoires. Il fait lourd. On étouffe. Le souffle manque. Râle dans la gorge. Sommeil de pierre. Le silence des trois millions de disparus brise ma

par " paysage rousseauiste ", expression si souvent utilisée pour désigner les bienfaits ou les charmes d'un lieu, de même que les mots gravés sur la tombe de Rousseau par le marquis de Girardin, son hôte à Ermenonville prennent tout leur sens: " Ci-gît l'homme de la nature et de la vérité "

célèbre ; extraordinaire ; noble └> Fama de : la renommée « C’est la le diable » → renforce le mensonge / « au fond du sac » → caché La didascalie a part L.49-50 montre un changement de comportement, lisette comprend que sa ne va pas. Gît → du verbe gésir → reposer, être, se retrouver => verbe d’état. Arlequin répond que c’est la le problème expression populaire Lisette : « vous n’êtes pas » → négation d’identité. A partir de ce moment là, Lisette a compris. Aparté d’Arlequin

langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé, basculé vers le haut, la mère hurle au ciel sa détresse. L’enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. Le soldat mort Il git, démembré, dans le bas du tableau, la tête et un bras sont coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée. C’est la figure du combattant. De cette main sort une fleur, symbole d’espoir et de renaissance. Mais sa fragilité est soulignée par

toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d’une couvée d’aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l’innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards. Paul Eluard, Capitale de la douleur