Git

Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l'innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards. Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1926. Texte 4 : Il était une feuille... Il était

langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé, basculé vers le haut, la mère hurle au ciel sa détresse. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. Le soldat mort Il git, démembré, dans le bas du tableau, la tête et un bras sont coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée qui montre l’inégalité des armes. C’est la figure du combattant. De cette main sort une fleur,symbole d’espoir et de renaissance.

vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l'innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et ton sang coule dans leurs regards.

lève les bras, elle est entourée de flammes et tourne le regard vers une petite fenêtre carrée blanche au dessus d’elle. Cette figure aux bras levés évoque le tableau de Tres de mayo de Goya (1814). 5/ Le soldat : au sol, en bas du tableau, un soldat gît les bras étendus, disloqués ou coupés. Sa main gauche, crispée, montre une paume laissant voir un réseau de lignes entrecroisées qui rappelle la main d’un travailleur. Son autre main tient une épée brisée, symbole de l’échec des républicains face aux

un espace fermé. La toile est organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite. A gauche une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière ; derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau , sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d’elle, le buste d’une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme lavant les bras.

connaît le nom que d’un seul : le docteur Armitage. Le titre donné à ce personnage nous confirme que la scène décrite se déroule dans un bâtiment à vocation scientifique ou universitaire. L’évènement décrit est celui d’une transformation puisqu’au sol gît une créature repoussante tout droit sortie d’un livre d’horreur. 2) A quelle personne le récit est-il écrit ? Quel est le point de vue adopté et pourquoi ce choix ? Le récit est écrit à la 3ème personne du singulier. Le point de vue adopté est le

célèbres). Quant à la France, les ébranlements causés par la Réforme, par les guerres continuelles, par les grandes découvertes (astronomie) vont accentuer dans les esprits l’obsession de l’inconstance et de l’inconsistance de tous et de tout. L’univers gît dans une corruption dont seule la «grâce divine» peut retirer ceux qu’elle a choisis (influence de saint Augustin sur l’esprit baroque). La littérature, par ses formes, traduit cette vision tourbillonnante d’un monde insaisissable, toujours en mouvement

Devoir Maison Concept de la Boite Noire Pourquoi sortir de la boite noire ? (Pour quelles raisons voudrait-on sortir hors des murs du théâtre)Dans le vocabulaire du théâtre, « la boite noire » désigne le premier décor avant même le jeu de l’acteur. Traditionnellement reconnaissable par cet ensemble de rideaux, la scène accueille la scénographie, le public de face, puis possiblement des prestations techniques comme la lumière, la vidéo et le son. Alors, quels sont les avantages de sortir

modifications radicales, et Klein découvre avec horreur lors de sa présentation que son œuvre y apparaît sensationnelle, sexualisée à outrance, et tournée en dérision dans ce documentaire révélant les pratiques les plus bizarres au monde entier. • Ci-gît l’espace (RP 3), 1960 : Chacun de ces éléments accomplit une fonction symbolique propre à l'univers de l’artiste. Le Monogold (panneau de bois doré à la feuille) = réceptacle à la chute des corps, mettant en scène la force gravitationnelle comme liant

yeux fait le tour de mon coeur, Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne et sûr, Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu. Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l'innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards. _Paul ELUARD, Capitale de la douleur, (1926)_ En lisant ce poème Jai pue m’apercevoir