Git

Après maintes péripéties, un soir qu'il cherchait un gîte, Perceval est reçu par le Roi Pêcheur dans un château où il vit une bouleversante aventure. Des valets l'habillent d'écarlate et l'introduisent dans une vaste salle carrée au milieu de laquelle gît, à demi couché sur un lit, un homme vêtu de zibeline. Pendant que Perceval s'entretient avec lui, il est témoin d'un spectacle étrange : Un valet qui tient une lance resplendissante de blancheur s'avance. «A la pointe du fer de la lance perlait une

la seconde est une tête humaine avec un bras tenant une lampe à pétrole, la troisième est une femme qui accourt. Au centre la composition se trouve un grand triangle où se tient un cheval blessé, son corps est dessiné dans du papier journal. Au sol git une statue d'un soldat démantelé tenant une épée brisée dans la main, elle marque la base du triangle. On y aperçoit aussi un oiseau entre les deux animaux et une petite fleur a coté de l'épée. La lumière divise la scène en deux parties. En fond

pleure ou qu’elle crie de la terreur et de la peur se lisent dans son visage, derrière elle un taureau dont Picasso s’est inspirer du minotaure et un oiseau ou il voulait représenter une colombe signe de la paix et l’espoir. Au premier plan à gauche gît un soldat mort et on peut même voir certaine blessure comme sur ses bras couper ou on peut voir des traces et qu’il a dans une de ses mains une fleur, symbole d’espoir et de renaissance. Mais sa fragilité est soulignée par la finesse du contour on peut

présent dans cette scène. Effectivement nous pouvons trouver le comique de langage à travers le langage populaire d’Arlequin. Il utilise des exclamations populaires de l’époque comme « Ah que nenni ». Il a recours aux proverbes comme « et voilà où gît le lièvre » ou encore « vous m’ôtez ma couverture ». Le langage populaire se mélange alors à la parodie du « langage précieux ».Nous pouvons aussi trouver différentes figures de style comme des synecdoques « chère petite main rondelette et potelée »

Pallas, juste au-dessus de la porte de ma chambre ; et ses yeux ont toute la semblance des yeux d’un démon qui rêve ; et la lumière de la lampe, en ruisselant sur lui, projette son ombre sur le plancher ; et mon âme, hors du cercle de cette ombre qui gît flottante sur le plancher, ne pourra plus s’élever, – jamais plus ! Edgard Poe

plus pesants dans l'escalier. Il pense cette fois avoir reconnu les pas du jeune marié. Au petit matin, il entend à nouveau ces pas lourds puis ce sont des cris et des plaintes. Le narrateur se lève et court dans la chambre des jeunes mariés. Alphonse gît sur le lit nuptial. Il a le corps couvert de contusions. Sa femme fait une crise d'hystérie. Le narrateur examine le corps du marié. Il n'y décèle aucune trace de sang. Ses soupçons se portent sur le capitaine de l'équipe espagnole de jeu de paume

pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé, basculé vers le haut, la mère hurle au ciel sa détresse. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. -Le soldat mort Il git, démembré, dans le bas du tableau, la tête et un bras sont coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée C’est la figure du combattant. De cette main sort une fleur, symbole d’espoir et de renaissance. Mais sa fragilité est soulignée par la

toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l'innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards. Paul ELUARD, Capitale de la douleur, (1926) I) L'éloge des yeux a) Un blason (= poème qui

toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l'innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards. Paul ELUARD, Capitale de la douleur, (1926) Annonce des axes Commentaire littéraire

toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d’une couvée d’aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l’innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards. Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1926 2) La nature  L'automne Salut ! bois couronnés