Git

les guerres passées et à venir. Enfin, organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejeté en arrière, derrière elle un taureau et une colombe. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle un buste d'une femme portant une lumière. Enfin à droite une femme lavant les bras vers le ciel

langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé, basculé vers le haut, la mère hurle au ciel sa détresse. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. Le soldat mort Il git, démembré, dans le bas du tableau, la tête et un bras sont coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée C’est la figure du combattant. De cette main sort une fleur,symbole d’espoir et de renaissance. Mais sa fragilité est soulignée

langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé, basculé vers le haut, la mère hurle au ciel sa détresse. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. 6.Le soldat mort Il gît, démembré, dans le bas du tableau, la tête et un bras sont coupés.Sa main est encore refermée sur une épée brisée C’est la figure du combattant. De cette main sort une fleur,symbole d’espoir et de renaissance. Mais sa fragilité est soulignée par la

enroulée, telle une spirale de fumée. - Sur un coin de table, à droite du taureau, un oiseau s’affole, dévoré par l’ombre. Ses ailes se détachent du corps, Son cou et sa tête sont tendus vers le plafond. Il semble s’égosiller. - Au sol, un personnage gît, les bras étendus, disloqués et même coupés. Sa main gauche, à la paume laissant apparaître un réseau de lignes profondes, rappelle la main d’un travailleur. La main droite, tient une épée brisée. C’est un soldat. Comme s’il était déjà sous terre, une

visionnaires, souvent torturées car le monde est hostile. C’est un cri de désespoir dont la forme est brute, nerveuse, la déformation doit faire rejaillir le sentiment intérieur qui doit supplanter la réalité figurative. 2. Analyse de l’œuvre : « Berlin gît, tout éparpillée. » (Gunther Grass) Ce que l’on voit : Une rue d’une grande ville, cité moderne et arrogante de l’entre deux-guerres, Berlin, sûrement. La cohue règne. Tout semble flou, glissant. Une cohorte paniquée envahit les trottoirs, hommes

flammes : les bras levés au ciel. La tension du cou est telle que le menton est en l’air et la tête renversée. Les yeux et les narines ont des formes de larmes. Picasso fait sans doute référence au tableau Tres de Mayo de Goya. Le soldat mort : Il git, démembré, dans le bas du tableau, la tête et un bras sont coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée. C’est la figure du combattant. De cette main sort une fleur, symbole d’espoir et de renaissance. Mais sa fragilité est soulignée par

expérience. Le fait de réaliser cette étude nous a permis de nous rendre compte de l'importance de ce test pour notre futur parcours professionnel. webographie: http://www.umass.edu/statdata/statdata/data/chdage.txt http://alea.fr.eu.org/git/?p=doc_khi2.git;a=blob_plain;f=khi2.pdf http://statistix.fr/IMG/pdf/Cloches_de_Gauss.pdf http://www.santetropicale.com/SANTEMAG/algerie/stat/stat_2.htm#6 http://mathsv.univ-lyon1.fr/cours/stats/chap7/c7p3/c7p3.html#Anchor-39439 http://www.chups.jussieu

monarchique monte en puissance notamment à travers les lois du roi qui apparaissent comme les plus importantes parmi les sources du droit A- Une hiérarchie normative avec au sommet les lois du roi « Toute la force des lois civiles et coutumes gît au pouvoir du prince souverain » Cette citation de J. Bodin esquisse déjà une hiérarchie avec au sommet les lois du roi. En effet les sources non législatives ( coutumes , droit romain et droit canonique) sont subordonnées à la monarchie qui a le monopole

nécessaire de partir très loin, une fête foraine, une promenade en bateau mouche, une balançoire peuvent suffire à s’évader. Odile Odile rêve au bord de l'île Lorsqu'un crocodile surgit. Odile a peur du crocodile Et pour éviter un " ci-gît " Le crocodile croque Odile. Caï raconte ce roman Mais peut-être Caï l'invente Odile est peut-être vivante Et je crois bien que Caï ment. Un autre ami d'Odile, Alligue, Pour qu'on répande cette mort, Se démène, paye et intrigue. Moi

soutien pour continuer la lutte. La lampe est dirigée vers le cheval ou le peuple. Elle renvoie à la statue de la Liberté de Manhattan et aux symboliques de femmes portant des lampes, incarnant l'avenir, la sagesse. - Le guerrier et l'épée: Au sol gît le combattant décapité. Son bras sectionné démontre l'horreur et la violence de la guerre. Les bras en croix évoquent un crucifié, mort pour avoir pris la défense de la liberté. L'enchevêtrement du soldat avec les pattes du cheval symbolise leur union