Glacis Défensif

japonais ». 3 offensives japonaises : -recul dans la mer de Corail (7-8 mai) -3/6 juin 42 : flotte japonaise à Midway. Echec japonais car perte de 4 porte-avions, désormais « nerf de la guerre ». -dans les Aléoutiennes. Début de la phase « offensive/défensif » de l’Amiral Ernest King. II. Vers la victoire alliée (1942-45) : guerre d’usure 1) Une guerre d’un caractère nouveau : une guerre totale Tous les camps mobilisent leurs troupes autour d’une idéologie fondatrice (les motivations) a) définition

contribuera à légaliser le syndicat Solidarité et à organiser les élections de 1989.(Hulton Getty) Se doutait-il que le prix de ce revirement et de la glasnost, de la transparence du discours sans laquelle il eût été impossible, serait (avec l'abandon du glacis est-européen, la réunification de l'Allemagne dans le cadre de l'O.T.A.N., la renonciation du Parti communiste à son rôle dirigeant et enfin l'éclatement de l'État soviétique) de concéder à l'Occident la victoire dans la guerre froide ? I-La rupture

 Catherine II (1762-1796) repousse encore les frontières russes en mettant la main, à l’ouest, sur des territoires qui autrefois appartenaient à la Russie Kiévienne et au sud en prenant pied sur les bords de la mer noir en 1774. Au XIXe siècle, un glacis est formé pour protéger l’empire russe. La Finlande est annexée en 1809. Les tsars conquièrent la Géorgie, l’Azerbaïdjan, les régions arméniennes et d’autres régions du Caucase du nord entre 1812 et 1829. Mais les populations de ces dernières et plus

politique soviétique pouvait changer Dans l‘administration Truman,on trouvait toutes les tendances(Forrestal,Wallace,Byrnes) Mais,le grand problème que tout le monde se posait :l‘URSS voulait-elle simplement établir en europe orientale un glacis de sécurité ou bien voulait-elle aller plus loin et poursuivait-elle une politique expansionniste ? Les opinions changèrent cependant en février 46 lorsque l‘espionnage nucléaire russe fut révélé. 9 Février :discours de Staline 22

intérêts. Cette disposition due à l'insistance de Staline à Potsdam a d'emblée considérablement limité le pouvoir de l'ONU et laissé face à face les deux Grands. Staline cherche à mettre l’URSS à l’abri d’une nouvelle attaque par la création d’un « glacis » territorial et idéologique, c’est-à-dire d’un espace protecteur qui éloigne la menace des frontières soviétiques : en repoussant plus à l’Ouest les frontières de l’URSS par l’annexion des pays baltes et d’une partie de la Pologne, alors que les

de l'Europe occidentale2. Les discussions avec les États-Unis et le Canada aboutissent à la mise sur pied d’une grande alliance. Le 4 avril 1949, les gouvernements occidentaux signent le traité de l’Atlantique Nord, une vaste alliance de type défensif. L’un des articles du traité précise que « les Parties conviennent qu’une attaque armée contre l’une ou plusieurs d’entre elles survenant en Europe ou en Amérique du Nord sera considérée comme une attaque dirigée contre toutes les Parties. » En 1955

intérêts. Cette disposition due à l'insistance de Staline à Potsdam a d'emblée considérablement limité le pouvoir de l'ONU et laissé face à face les deux Grands. Staline cherche à mettre l’URSS à l’abri d’une nouvelle attaque par la création d’un « glacis » territorial et idéologique, c’est-à-dire d’un espace protecteur qui éloigne la menace des frontières soviétiques : en repoussant plus à l’Ouest les frontières de l’URSS par l’annexion des pays baltes et d’une partie de la Pologne, alors que les

équilibre de la terreur » : c'est l'année en effet où l'URSS à son tour possède la bombe nucléaire. Les causes immédiates : la situation de l’après-guerre[modifier]Staline cherche à mettre l’URSS à l’abri d’une nouvelle attaque par la création d’un « glacis » territorial et idéologique, c’est-à-dire d’un espace protecteur qui éloigne la menace des frontières soviétiques : en repoussant plus à l’Ouest les frontières de l’URSS par l’annexion des pays baltes et d’une partie de la Pologne, alors que les

modérément internationalistes en Pologne notamment, pays pour l'heure prostré mais dont on connaissait les sentiments point exagérément fraternels envers les "frères" russes, qu'ils fussent déguisés ou non en prolétaires progressistes. Et puis un "glacis protecteur", une espèce de cordon sanitaire à l'envers tenu par des armées satellites de l'Armée rouge, mais protégeant les frontières soviétiques de sa profondeur stratégique, n'était peut-être pas inutile : la guerre avait montré qu'il était dangereux

Document 2 La Chine dans son environnement stratégique immédiat RUSSIE ASTANA Différend frontalier sur le fleuve Amour UR KAZAKHSTAN KIRGHIZSTAN TACHKENT MONGOLIE OULAN-BATOR E OUZBÉK. XINJIANG BICHKEK DOUCHANBE TADJIKISTAN Glacier du Siachen MONGOLI Jiuquan E IN T I ÉR E Réfugiés fuyant la Corée du Nord MER PÉKIN PYONGYANG TURKM. KABOUL AFGHANISTAN ISLAMABAD PAKISTAN CORÉE DU JAPON DU NORD SÉOUL CORÉE DU SUD Shanghai JAPON TOKYO TIBET