Glaïeul

en adoucissant le poème, en le rendant joyeux et tranquille pour que le choc soit d'autant plus grand. En effet, on peut aisément remarquer que la beauté de la nature est mise en avant avec le champ lexical de la nature : verdure, herbes, rivière, glaïeuls, etc. La joie, la douceur, lharmonie, la vivacité, sont également mise en valeur par les personnifications « où chante une riviere » (vers.1), « montagne fière » (vers.3) et « Nature, berce-le ». On peut supposer que le poète utilise la focalisation

un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune bouche ouverte, tête nue, 
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
 Dort; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
 Pale dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme 
 Sourirait un enfant malade, il fait un somme: 
Nature, berce-le chaudement: il a froid. Les parfums ne font plus frissonner sa narine;
 Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
 Tranquille. Il a deux trous

telle que le rosier (sous-types 1 et 2) qui est renouvelé tous les 5 ans: a. Projet de la production des fleurs sous « type 01 » : -Composantes du projet : Espèces à produire        Chrysanthème Œillet uniflore Alstroemeria Muflier Glaïeul Roses (Gros boutons) Nombres des tiges. 800 000 800 000 _ _ _ 400 000 2 000 000  Nombre de tiges exportables -Nombre et caractéristique du projet  Nombre de tiges à produire  Superficie nette requise (m²)  Superficie brute (Ha  Revenu net

feu. Le triangle. Ce lac est mystérieux, magique, il est le centre du monde. Champ lexical très riche : Gouttes, flot, courant, écume, larmes, giboulées, fluide. Oxymore : bâti fluide mot en opposition. La végétation L’aulne, le nénuphar, le glaïeul, le saule (flore). On suggère les grenouilles : l’eau coasante (faune). Couleurs L’eau : blanc, vert, bleu, reflet de la lune transparent. Allitération : le sentier qui serpente. Beaucoup de « L » dans la ligne 2 3. Consonne liquide, le son «

En effet ce trou de verdure donne l’idée d’un nid dans lequel le soldat est « endormi » et se repose. Il est « dans » le val, en lui : « dans le frais cresson bleu », « dans l’herbe », « sous la nue », « dans son lit vert », « les pieds dans les glaïeuls », « dans le soleil ». Le dormeur fait parti du val. Il se repose dans le val comme dans le ventre de sa mère, le val à ici une image maternelle chaude et accueillante. « Nature, berce-le chaudement : il a froid. » ce vers donne l’impression que

emploie parfois des tournures poétiques telles que «les voiles de votre salive» et «la brume de vos marécages» pour désigner les crachats de Solange. Elle use également de belles métaphores à la fin de l'exposition, alors qu'elle parle de fleurs, de glaïeuls et de réséda pour désigner les compliments et les attentions de la bonne sous lesquels se cache la haine. C'est donc l'opposition entre la classe mondaine de Madame et la classe inférieure de la bonne qui se manifeste tout au long de l'exposition

Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges au

c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges

rencontrer. Je ne sais rien d’elle qui m’abandonna au berceau, mais j’espérais que c’était cette vieille voleuse qui mendiait la nuit. – Si c’était elle ? me dis-je en m’éloignant de la vieille. Ah ! Si c’était elle, j’irais la couvrir de fleurs, de glaïeuls et de roses, et de baisers ! J’irais pleurer de tendresse sur les yeux de ce poisson-lune, sur cette face ronde et sotte ! Et pourquoi, me disais-je encore, pourquoi y pleurer ? Il fallut peu de temps à mon esprit pour qu’il remplaçât ces marques

un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, lèvre bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges