Glaive Epee

en 1940, c'est un bas relief (Une sculpture qui présente qu'un faible relief, le sujet représenté ne se détachant que faiblement du fond ) fait en plâtre. Elle a été détruite en 1945. C'est œuvre les plus connu sont : le porte flambeau et le porte glaive ; Le blessé ; Arno breker 1900 à 1991, il est allemand et est mort et née en allemagne. Il a fait les beaux art de Elberfel ( Réhnanie du Nord) Professeur à l’École Supérieure des Beaux-Arts de Berlin puis Sculpteur officiel du régime nazi à partir

voir un incendie. Les soldats sont impersonnels, ils représentent la force et les armées en général ; ils sont déshumanisés, ne portent que des armes parfois étranges ( fusils à 3 canons pour tuer encore plus ?), plus une épée (pour du corps à corps ?). Celui qui porte ce glaive peut être celui qui donne l’ordre de tuer, il symbolise la décision politique mais il assume peu ses responsabilités car il semble tourner le dos à la scène. Lieu : la rivière peut signifier la séparation de la Corée en deux

paysans : Guisarme : serpette sur un manche en bois Fauchard : faux à lame redressé Estoc : pointe de la vouge Glaive : lance Epieu : glaive accompagné de barrettes Javeline : petit javelot Doloir : sert à doler, fait pour le corps à corps Fléau de guerre : fléau avec une chaîne 7.2 Les différentes armes des chevaliers : offensives ou défensives L'épée batarde : épée pesant 1.7 kg mais plus longue Camaille : cagoule en maille Les lances Les écus La masse d'arme Les heaumes Les

sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir

hors-champ. Le visage a des traits saillants. L’ expression de son visage est déterminée, dure, menaçante, fière. Il y a un drapé dans la cape ( impression de mouvement + lien avec l’ Antiquité gréco romaine). Le guerrier dégaine une épée : la lame évoque un glaive romain. Sous son genou, on distingue un bouclier rond de l’hoplite grec. Opinion de l‘œuvre Je trouve que cette œuvre représente bien l’idéologie du guerrier nazi selon ce dernier régime mais bien loin de la réalité avec des comparaisons

prison, il dit qu’il était heureux dans sa vie. Le meurtre I. Un décor grandiose, symbolique et tragique : 1) Le soleil : Il est omniprésent. Il n’arrive pas à se débarrasser du soleil. Il est représenté d’une manière agressive « glaive, lames, épée brûlante ». Le soleil brûle : « à cause de cette brûlure », « pour laisser pleuvoir du feu ». L’éblouissement et aveuglement : « mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes ». Il a une grande souffrance : « rongeait, fouillait mes

de Meursault et dans un deuxième temps en quoi le meurtre de l’arabe par Meursault peut-être qualifiée : d’acte absurde. • Tout d’abord, on remarque un certain châtiment biblique. En effet, tout un champ lexical indique ce rapprochement : « glaive » L15,  « lame étincelante » L11. L’insistance avec laquelle le texte souligne que c’est le « front » qui est touché montre que l’agression se porte sur un endroit vital du corps : «  Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front » L14

allitération tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Métaphore Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, Allitérations : S+L, métaphore le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante deux métaphore rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a métaphore vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue

et une large épaulière qui couvrait la base du cou. Il y a le sagittarii: il combats a distance avec leurs arcs et avait comme protection qu'une manica (brassard) au bras droits. Il y a l'equites: il combats a cheval armé d'une lance et d'une épée courte il était vétu d'une tunique courte, un casque avec visière et d'un petit bouclier rond. Il y a l'essédaires :Il sont un ou deux hommes dans un char un cocher qui conduisait et un guerrier qui lançait des javelots. Question 4: comment

Ce n’est pas le couteau de l’arabe qui est dangereux, mais le reflet du soleil sur le couteau qui est douloureux, qui est un « glaive éclatant ». Il est étrange que la lumière ait un tel pouvoir ! D’autant plus qu’elle agresse le narrateur au moment où il est aveuglé « mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau ». La sensation visuelle est devenue tactile : « Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux ». L’étrange devient surnaturel dans l’évocation qui suit , inspirée