Glaive

terre, au pied de la statue de son rival Pompée, le corps recouvert de sa toge, ensanglantée au niveau de l'épaule. Les conjurés dans le tableau de Gérôme sont tous groupés et semblent victorieux : ils ont tous le bras levé en signe de réussite et le glaive à la main et une statue devant eux fait le même geste qu'eux mais avec une torche, comme si elle approuvait la libération. Le trône est renversé dans l’œuvre de Gérôme et se trouve au pied des marches d'un podium d'où il commandait au centre de l'hémicycle

les a recouvertes d'un voile allitération tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Métaphore Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, Allitérations : S+L, métaphore le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante deux métaphore rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a métaphore vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le

folie est morbide car je suis maladivement attiré par des instants morts. Je cherche l’intensité de la vie dans des cimetières d’images et de sons, mes pensées ne sont que cela. J’ai vu mon passé tapir mon présent d’un voile noir puis lui planter un glaive en son centre. J’ai entendu mon futur ricaner du sort du présent et l’enterrer vivant sous des kilos d’espoirs stériles. Oui j’ai assisté impuissant à la crucifixion du réel. J’ai voulu crier à l’aide mais ma pensée complice me martelait sans cesse

: 1- les rimes a) richesse ou qualité des rimes : Rime pauvre : un seul son commun ( ex : chanté/retiré , couteau/troupeau ) Rime suffisante : deux sons communs (ex : air/ clair, maudit/dit ) Rime riche : toirs sons commuuns ou plus ( ex : glaives/lèves , prunelles/Fraternelles) b) genre : Traditionnellement, on fait alterner rimes féminines ( terminées par un e muet : ex - silence/vigilance) et rimes masculines ( les autres : placés / glacés ) c) la disposition des rimes : aabb : rimes

musculature du nazi représenté. Cette statue est donc un portrait. La carrure imposante de l’allemand nazi saute aux yeux. Celui-ci est immense et musclé. L’homme nazi a le visage fermé, les sourcils froncés, l’air déterminé, portant un attribut : le glaive, qui symbolise l’armée. Voici une citation d’ Adolphe Hitler, en 1935, qui permet de comprendre la statue : « La conception raciale ne croit nullement à l'égalité des races, mais reconnaît au contraire leur diversité et leur valeur plus ou moins

combat entre des gladiateurs et des animaux sauvages d'Afrique. Un décor naturel était créer dans l’arène. Les belluaires sont des condamnés à mort ou des prisonniers de guerres, spécialement entrainés pour affronter des fauves . Ils était armés d'un glaive court et d'un bouclier . Question10: Que sont les naumachies ? Les naumachies sont des combats entre plusieurs bateaux. Pour cela, l'arène était inondée d'eau du Tibre . L'eau était remplie de crocodiles et peu de personnes survivait .

hors-la-loi et rechercher mort ou vif. ils se refugièrent dans la foret et montaire une petite equipe pour survivre et la commenca "les fils du nord" Skwandal et un guerrier robuste. Il combat avec un grand bouclier rond en bois bien travailer et un glaive récupèrer sur le cadavre du chef des bandis. il a un tempérament calme et poser. il est le meuneur de l'équipe et sait calmer les arddeurs de Grol. Jannäia et une grande chasseus. elle combat avec son arc long et deux dague. mais elle a surtout une

guerre est ici représentée par les couleurs :le rouge(couleurs du sang) ;le noir(la mort) ; le vert (l’espoir)et le bleu(la paix,la justice). Elle est aussi représentés par les armes : le poignard ensanglanté ; la hache ; les javelots ; les faux ; le glaive ; la lance ; le boublier ; le corbillard et l’autodafé. LA PAIX L’ensemble se lit de gauche à droite. La première scènes se compose de plusieurs couleurs :le rouge(sang) ;le bleu qui fait penser que la paix n’est pas totalement installée . Au centre

indifférence apparente, Meursault a été si touché par lamort de sa mère qu’il a aujourd’hui un compte à régler avec le soleil. Ce n’est pas le couteau de l’arabe qui est dangereux, mais le reflet du soleil sur le couteau qui est douloureux, qui est un « glaive éclatant ». Il est étrange que la lumière ait un tel pouvoir ! D’autant plus qu’elle agresse le narrateur au moment où il est aveuglé « mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau ». La sensation visuelle est devenue tactile : « Cette épée brûlante

de Meursault et dans un deuxième temps en quoi le meurtre de l’arabe par Meursault peut-être qualifiée : d’acte absurde. • Tout d’abord, on remarque un certain châtiment biblique. En effet, tout un champ lexical indique ce rapprochement : « glaive » L15,  « lame étincelante » L11. L’insistance avec laquelle le texte souligne que c’est le « front » qui est touché montre que l’agression se porte sur un endroit vital du corps : «  Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front » L14