Globalisation Zara

La Stratégie d’Internationalisation de ZARA : Victime de la globalisation et de la discrimination par les prix, le secteur européen du textile est dans l’obligation de faire face à ces nouveaux changements. Les plus importants marchés du textile sont l’Europe (135 milliards d’euros), les USA (100 milliards d’euros) et la Chine avec le Japon (35 milliards d’euros). Dans cet environnement hyperconcurrentiel, les marques comme ZARA ont compris la nécessité d’entamer d’importants changements afin

ETUDE STRATEGIQUE DE ZARAElaborée par KAWTHER BOUGHALMI | MBA IP –Tunis 7Professeur Michel KALIKA | SOMMAIRE A/ PRESENTATION DE ZARA 1B/ DIAGNOSTIC STRATEGIQUE EXTERNE 2 I- Analyse SPECTRED 2

donc elle n'a pas encore de structures internationales. 2/. La multinationalisation (go) : L'échelle de valeur représente l'ensemble des activités développés par une entreprise pour créer de la valeur et donc délivrer à sa clientèle. 3/. La globalisation (Integration) : les filiales collaborent entre elles et peuvent échanger pas uniquement des produits finis mais également le personnel. On peut diviser l'achat des valeurs et une fertilisation croisée. L'idée est de ne pas créer des unités de production

négociation Pouvoir de négociation Menace * Conclusion : le facteur de la globalisation On ne peut plus aujourd’hui imaginer travailler sur le marché du particulier. Il faut toujours s’imaginer sur le marché global. La convergence du marché les clients sont globaux, et le marketing est transférable. On retrouve les mêmes enseignes, avec les mêmes produits dans les grandes villes de France (ZARA, H&M etc.) Les besoins des clients sont à peu près les mêmes partout, et on va

Sud font partie de cette catégorie. Robert ROCHEFORT (directeur du Crédoc) « McDo, Gameboy, Zara... sommes-nous devenus des consommateurs mondiaux ? », Éditions Bréal, septembre 2002. DOCUMENT 2 L'apparente uniformisation culturelle traduit moins une américanisation qu'un processus de concentration des industries culturelles et de communication, américaines ou autres. Encouragé par la globalisation financière, ce processus a connu une accélération spectaculaire dans les années quatre-vingt-dix

Le modèle stratégique de ZARA TD n°3 (2 séances) Lionel Maltese – Aix Marseille Université 2014 GEA 2eme année Questions : 1- Décrivez est le business model de l’entreprise Inditex au travers de son DAS prêt-à porter ? 2- Quelle est la stratégie générique menée par Zara et plus globalement par le groupe Inditex ? 3- Inditex est un groupe intégré. Montrer le lien avec sa stratégie générique. Déterminer et analyser les avantages et les limites de l’intégration pour Inditex. 4- Analyser

(jeux vidéos) - Avantage technologique : coûteux pour l’entreprise à mettre en place RD[1]/CA= % d’investissement fourni par l’entreprise Si le pourcentage d’investissement est supérieur à 3%, l’entreprise est dans une logique de globalisation. - Information exclusive (Ex : Coca-Cola) : mode de gestion à la française des hypermarchés diffusé dans le monde. - Economies d’échelle dans le marketing, les ressources humaines, les achats (centralisation). Toutes les parties

polyvalentes). 3. Zara ou Barbie • La dichotomie centre/périphérie s’inscrit aussi au cœur du système productif. • En effet, l’arrivée d’Internet et des sociétés de l’information permettent une production plus flexible : le « juste à temps » (à l’image du toyotisme). La révolution informatique a généré une révolution dans l’organisation du travail avec une adaptabilité à la demande. • Exemple de Zara : Amancio Ortega, le créateur de Zara, a joué sur l’impatience du consommateur

prêt-à-porter en dessous, les marques en concurrence suivaient et à la base de la construction…Aujourd’hui, ça n’est plus le cas[…]Maintenant s’y ajoutent, sans hiérarchie[…] ».3(p41) Les consommateurs aujourd’hui n’auront pas honte du tout d’aller chez ZARA pour s’chater un t-shirt à 10 euros, après avoir acheté un tout nouveau sac Dior, très tendance. Actuellement, le prêt-à-porter est fondamentalement le choix des tous les consommateurs. Ce que les clients veulent aujourd’hui, d’après Andersson, « c’est

stratégies de base de Porter (1985) peuvent trouver des exemples importants dans la distribution, comme c’est le cas de la domination par les coûts de Wal Mart et Carrefour, de la différenciation de Sephora ou de Fnac ou de la segmentation de Gap, Zara, Hennes & Mauritz ou bien encore Ikea Très importante pour la distribution est aussi la chaîne de valeur (Porter 1985), qui permet à des entreprises de distribution qui ont été capables de s’intégrer en amont ou en aval de dégager des avantages fondamentaux