Glucocorticoïde

ILPR : insulin-linked polymorphic region ; NRE : negative regulatory element ; Z : Z mini-enhancer ; CRE : cAMP response element ; E2L : E2-like. Facteurs régulateurs en trans. PUR 1 : purine rich 1 ; PDX1 : pancreatic duodenal homeobox 1 ; GR : glucocorticoid receptor ; RIPE 3b : rat insulin promoter element ; ISP (un) : islet-specific protein (unindentified) ; HEB b2 : helix loop binding protein b2 ; USF : upstream stimulatory factor ; CREM : CRE modulator ; CREB : CRE binding protein. Production

corticostéroïdes; ces hormones sont de deux types: Glucocorticoïdes et minéralocorticoïdes. Les effets principaux des glucocorticoïdes se manifestent au niveau du métabolisme du glucose. Ces hormones augmentent la glycémie (la concentration sanguine en glucose) en stimulant la néoglucogenèse qui est la production de glucose dans le foie à partir de matériaux autres que des hydrates de carbone, notamment les acides aminés. Le principal glucocorticoïde est le cortisol, qui agit sur le muscle squelettique

chacun quatre lobes. Le lobe temporal, un de ceux-ci, est particulièrement impliqué dans l’expression et le contrôle émotionnel, surtout grâce à ses structures limbiques. La stimulation de l’axe cortico-surrénalien libère des substances comme les glucocorticoïdes et entraîne une mobilisation de l’organisme : augmentation du débit cardiaque et de la pression artérielle, augmentation du rythme respiratoire et du tonus musculaire. Circuit biochimique du stress : [pic]

Cushing 3. Glucagonome 4. Phéochromocytome 5. Hyperthyroïdie 6. Somatostatinome 7. Hyperaldostéronisme primaire 8. Autres E. Diabètes induits par des médicaments ou des toxiques 1. Vacor (raticide) 2. Pentamidine 3. Acide nicotinique 4. Glucocorticoïdes 5. Hormones thyroïdiennes 6. Diazoxide 7. Agonistes β-adrénergiques 8. Diurétiques thiazidiques 9. Diphenylhydantoïne 10. Interféron-α 11. Autres F. Infections 1. Rubéole congénitale 2. Cytomégalovirus 3. Autres G. Formes rares de

vie, caractérisées par une augmentation de l’apport énergétique et une diminution de l’activité physique. L’obésité peut, dans de rares cas, également être provoquée par la prise de médicaments (p. ex. des neuroleptiques, des doses élevées de glucocorticoïdes) ou par des troubles neuro-endocriniens2. Il ressort de l’enquête nationale de santé datant de 2004, que 44% des adultes belges présentent une surcharge pondérale (IMC ≥ 25). Quasi 13% des adultes sont Fiche de transparence TRAITEMENT DE L'OBÉSITÉ

l’angoisse que peut engendrer le jeu augmentent de façon chronique la sécrétion de glucocorticoïdes et reproduisent, en l’absence de produit, des activations neuronales et un découplage analogues à ce qui est obtenu avec les substances addictives. Des recherches pré-cliniques mériteraient d’être envisagées afin d’étudier si des situations de stress chronique ou la sécrétion de molécules endogènes comme les glucocorticoïdes peuvent, à elles seules, reproduire les effets neurochimiques que produisent

dexaméthasone et CRH chez les déprimés avec histoire de TS par rapport aux déprimés sans histoire de TS. Ces anomalies de l’axe du stress associées aux CS chez des sujets déprimés pourraient être liés à des mécanismes impliquant les récepteurs glucocorticoïdes CRH-R1 et CRH-R2, ou l’arginine vasopressive (AVP), qui interagissent étroitement avec le système sérotoninergique [74-76]. ■ Réactivité au stress Gènes, environnement et réactivité au stress Les événements de vie jouent un rôle majeur

taux d’usure et de dégradation du corps » Le Dictionnaire de psychologie PUF 2006, nous ramène à la définition psychologique du stress, celle qui nous intéresse dans notre étude : le stress n’est pas la simple libération de catécholamines et de glucocorticoïdes, il désigne en psychologie « les multiples difficultés Promotion 4. Mémoire pour le MBA- Management des ressources humaines- 2006-2007 9 auxquelles l’individu a du mal à faire face et les moyens dont il dispose pour gérer ces problèmes

sont contrôlés par un même facteur On décrit également des gènes activés en réponse aux glucocorticoïdes, au sérum, à la lumière à une hormone... Ces séquences reconnues par un facteur inductible sont nommées élément de réponse ou RE (pour « Response Elément ») On décrit par exemple, les éléments de réponse aux chocs thermiques, USE (séquence reconnue par le facteur de transcription HSTF), aux glucocorticoïdes, GRE, ou au sérum, SRE Chez les Eucaryotes Il existe une autre catégorie de gènes

récidives viscérales sévères et rapprochées ou de corticorésistance, les glucocorticoïdes en bolus seront associés à des immunosuppresseurs (chlorambucil 1 mg/kg/j ; cyclophosphamide en une administration matinale de 500 à 700 mg/m_/ 3 mois sous diurèse alcaline ; azathioprine 1 à 2 mg/kg/j). Le chlorambucil est réputé le plus efficace. La cyclophosphamide est une alternative grevée de risques oncogènes moindres. L’arrêt des glucocorticoïdes employés seuls entraîne des flambées des lésions oculaires. L’arrêt