Glycoprotéine

il faut un régime riche en calories et protéines, et surtout avec un entraînement physique intensif. Aussi il y a l'E.P.O ou Erythropoïétine (C809 H1301 N229 O240 S5). C'est est une hormone peptidique qui appartient à la classe chimique des glycoprotéines. Sécrétée naturellement par les reins (80%) et le foie (20%), Elle stimule la production de globules rouges et augmente ainsi la capacité respiratoire. Elle est sécrétée dès que la concentration sanguine en oxygène diminue.L'EPO est constituée

formes d’interaction Des études métaboliques in vitro ont démontré que le vérapamil est métabolisé par le cytochrome P450 : CYP3A4, CYP1A2, CYP2C8, CYP2C9 et CYP2C18. Il a été établi que le Vérapamil est un inhibiteur des enzymes CYP3A4 et de la glycoprotéine P (P-gp). Des interactions cliniquement signicatives ont été rapportées avec des inhibiteurs du CYP3A4, causant une augmentation des taux plasmatiques du vérapamil, et avec des inducteurs du CYP3A4, causant une diminution des taux plasmatiques

Déceler chez les homosexuels en Californie et à New York VIH, rétrovirus dont génome = ARN dans capside avec enzyme (transcriptase, intégrase, protéas). Tout ca entouré par matrice protéique, entourée par enveloppe de double couche lipidique avec glycoprotéines 120 et 41. Fonctionnement de l’infection : 1. Se fixe aux récepteurs CD4 et CCR5 de la cellule (lymph. T auxiliaires qui donnent l’alerte et dirige l attaque) 2. Fusion et libération du génome dans cytoplasme de la cellule 3. Transcriptase

toluène, on passe les lames dans des bains d'alcool de degré décroissant (de 100° à 70°, voire 50/40°). On peut également avoir recours à une coloration histochimique, appelée PAS (Periodic Acid Schiff), qui met en évidence le glycogène, les glycoprotéines et à peu près tout ce qui contient des sucres. Les techniques d'immunomarquage sont également assimilées à des techniques de coloration ; on utilise des anticorps couplés à des substances que l'on peut révéler en microscopie (enzymes, substances

kinase tyrosine spécifique (RTK): Le mécanisme d'action de l'insuline est complexe et très mal connu: l'insuline se fixe sur des récepteurs spécifiques de membrane plasmique des cellules cibles (foie, adipocytes, muscles), le récepteur est une glycoprotéine intégrale de la membrane. Elle est formée de deux chaînes [pic] identiques, situées a la surface externes de la membrane plasmique, et de deux chaînes [pic] identiques, transmembranaires et internes, les sous unités [pic] de 135000Da fixent

(liaison ose-thiol) : Formés d’oses et d’une partie non glucidique (aglycone), liés par N hétérosides (liaison ose-amine) : nucléosides et nucléotides une liaison covalente Glycoprotéines GLYCOCONJUGUES Hétéroprotéines dont le groupement prosthétique est de nature glucidique (liaison covalente) Glycoprotéines plasmatiques et membranaires Glycolipides Lipides liés à une fraction glucidique (liaison covalente) Constituants des membranes cellulaires Le représentant majeur

sont composées de phosphoglycérolipides - faits d'acides gras non saturés - et de protéines (mosaïque fluide) Le cholestérol dans la bicouche phosphoglycér0lipide permet de garder la membrane à l'état liquide • lorsque la température baisse Glycoprotéines : servent à identifer les cellules (glucides de la matrice extracellulaire) La reconnaissance intercellulaire : permet aux globules blancs de reconnaitre un agresseur ou une cellule cancéreuse Les protéines membranaires agissent comme :

de la maladie de Wilson porté sur le chromosome 13. Ce gène ne fonctionnant plus, cala entraine une incapacité aux cellules hépatique, d’évacuer le cuivre, par la bile et une baisse de la synthèse de la céruloplasmine. La céruplasmine est une glycoprotéine (protéine constituée de glucide : sucre) associée à du cuivre (d'où son nom), d'origine hépatique (fabriquée par le foie). Il s'agit d’une protéine qui transporte 90 % du cuivre dans le sang. Donc, les éléments permettant le diagnostic de la

gène de l'étape 1 (porté par la paire de chromosome n°4) qui permet de transformer le précurseur en marqueur H, qui correspond à (H//H) et le gène de l'étape 2 (porté par la paire de chromosome n°9) qui permet la transformation de ce marqueur glycoprotéine A, B ou O, qui correspond à (A//B). L'ensemble de ces deux gènes établit donc une chaîne de biosynthèse. Pour le premier gène (H//H) l'individu produit une molécule de fucose. Pour le deuxième gène (A//B) l'individu possède deux allèles différentes

virus de la grippe aviaire présentent une grande diversité génétique mais sont tous du type A. Ils sont classés en sous-type en fonction de deux antigènes de surfaces l'hémaglutinine (16 sous-types) et la neuraminidase (neuf sous-types). Ces deux glycoprotéines déterminent l’affinité et la spécificité du virus vis-à-vis de l’hôte et en fonction de leur pathogénicité, deux pathotypes sont distingués. L’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) se caractérise par une manifestation sévère engendrant