Gmunden

Thomas Bernhard, né le 9 février 1931 à Heerlen (Pays-Bas), et mort le 12 février 1989 à Gmunden (Autriche), est un écrivain et dramaturge autrichien. Écrivain et dramaturge au style singulier, misanthrope, vivant une relation d'amour et de haine avec sa patrie, Thomas Bernhard est un des auteurs les plus importants de la littérature germanique d'après-guerre. La vie de Thomas Bernhard est, dès son enfance, marquée par une grande précarité financière, émotionnelle et corporelle. Autrichien,

angoisse vient de la masturbation, il doit donc arrêter pour faire disparaître l’angoisse. Hans cherche à remplacer la tendresse pour sa mère par la peur des chevaux. Il n’y a aucune modification de l’état de Hans. Mais il va évoquer un souvenir de Gmunden où un enfant avait été mis en garde contre la possibilité d’être mordu par un cheval dans les mêmes termes que ses parents lui ont interdit l’onanisme. - Eclosion de la maladie Hans part en promenade avec sa maman, c’est alors qu’il voit un cheval

les voyageurs. Elle leur permet de se déplacer beaucoup plus rapidement. Zola est passionné par le chemin de fer, son père Francis Zola a participé à la conception et à la réalisation de la première ligne de chemin de fer en Europe entre Linz et Gmunden en Autriche de 1821 à 1824. Zola explique que dans la Bête humaine il veut animer toute la population spéciale du chemin de fer. Il souhaite innover pour ce roman. La locomotive étant, elle aussi une innovation récente elle correspond parfaitement

l'intensification de ses besoins érotiques qui, en même temps, commencèrent à ne pouvoir se satisfaire complètement. Il se dédommagea de la perte que lui avait causée l'arrivée de sa sœur en s'imaginant avoir des enfants lui-même et tant qu'il fut à Gmunden —lors de son second séjour— et pût jouer réellement avec ces enfants, son besoin de tendresse trouva une dérivation suffisante. Mais, revenu à Vienne, il se retrouva seul, reporta toutes ses exigences sur sa mère et dût subir des privations nouvelles

doute envers cette histoire. Il a en effet bien vu que le ventre de sa mère était plus petit après avoir accouchée d’Anna. Il élaborera par la suite des fantasmes concernant la cigogne et des mensonges où il maintiendra qu’Anna se trouvait avec eux à Gmunden l’été. Freud interprète ceci comme une vengeance contre son père qui lui avait menti concernant la naissance d’Anna et lui avait barré l’accès à la connaissance. Hans pense en réalité que les enfants sont expulsé du ventre comme des « loumf » et

permanente. Les soins sont désormais partagés. Augmentation des besoins érotiques qui ne sont pas pleinement satisfaits. Explication des parents : la cigogne amène le bébé dans le foyer. bcx { • ¶ × Ø !,-.Cfwxy™µS’imaginer qu’il a des enfants a Gmunden lui permet de décharger sa tension. Hans rejette l’explication car a vu sa maman grossir, et l’a entendu enfanter. De retour a Vienne, Hans est chassé de la chambre parentale. Il se retrouve de nouveau seul : pas de décharge. Hans souhaite

plusieurs endroits dans l’œuvre, Else remonte dans ses souvenirs passés mais aussi s’imagine sa vie future, on a sans cesse des allers-retours entre présent, passé et futur. Else a tendance à mettre en récit tout ce qui se passe dans sa vie. «  Et à Gmunden, cet été, à six heures du matin, sur le balcon, eh bien, ma très distinguée mademoiselle Else ? Vous ne vous êtes pas rendu compte que deux garçons vous reluquaient dans leur barque ? » Ici Else à un souvenir de l’été où elle s’était déjà exhibée

mère et dans la venue d'Anna (et de lui-même). P164 : Hans raconte à son père un phantasme sur la naissance de sa petite soeur. Il exprime clairement que le cocher conduisait la voiture avec lui, sa soeur et sa mère dans la voiture pour aller à Gmunden (lieu où tout se rejoint pour Hans). Et le petit garçon demande : " Papa était tu là aussi ? ". Ensuite (p165) il raconte que c'est la cigogne au long bec et au chapeau qui est venue discrètement, la nuit, apporter Anna à sa mère, avec la complicité

difficulté d’être autrichien. Elle est présentée au Burgtheater à Vienne et déclenche un scandale. au Burgtheater à Vienne et déclenche un scandale. Le 12 février 1989, Thomas Bernhard meurt dans sa maison de Gmunden, Le 12 février 1989, Thomas Bernhard meurt dans sa maison de Gmunden, assisté de son demi-frère, Peter Fabjan, médecin. Deux jours après assisté de son demi-frère, Peter Fabjan, médecin. Deux jours après son enterrement, son testament est rendu public. Le texte interdit son enterrement

Gretchen am Spinnrade, 19 octobre 1814). Quelques années plus tard, en 1818, à Zséliz en Hongrie, il devient le précepteur des enfants du comte Esterhazy. Il y retournera en 1824. Excepté quelques voyages en Autriche, notamment à Graz, Linz, Steyer, Gmünden et Salzbourg, Schubert passera l'essentiel de sa courte existence à Vienne, et ayant abandonné la profession d'instituteur et d'aide de son père, il vivra la plupart du temps chez des amis et dédiera sa vie entière à la musique, à la composition et