Gnomon

Gnomon: les débuts de la géométrie en Grèc La géométrie grecque émerge, peut-être, de l'astronomie et des algorithmes courants dans le croissant fertile. La dissémination des ports, d'Apollonie sur la mer Noire à Cyrène l'Africaine ou de Pergé en Asie Mineure à la Sicile ou l'Italie, s'élargit autant que se concentrent les producteurs de connaissances en écoles rivales. La société enseignante et savante mime dès sa naissance la société tout court. Des villes-États se dispersent et s'affrontent

petites unités de temps. Un simple bâton planté en terre, le gnomon (du grec connaître) permet de repérer l'heure du soleil. L'heure, les grands cycles des saisons ont alors un caractère sacré. Ce sont les prêtres qui sont les maîtres du temps, ils désignent les périodes sacrées, les rites à accomplir et finalement établiront les premiers calendriers. L'antiquité : Les Égyptiens vénèrent le soleil (Râ). Il est donc naturel que les gnomons soient utilisés par les prêtres pour déterminer les cérémonies

points cardinaux : au Nord la nuit on peut voir l'étoile polaire,au Sud le soleil est a sa hauteur maximum,et le soleil qui se lève a l'est et se couche a l'ouest. Le 1er objet étudié sera le Cadran solaire: L'ancêtre du cadran solaire est le gnomon crée en l'an 600 avant jésus christ par anaximandre de milet,il indique le temps solaire grace a un déplacement de l'ombre d'un objet de forme variable.Ce déplacement d'ombre il est mesurable par les coordonnées solaires:angle horaire,hauteur ou azimut

d’Alexandrie à Syène est de : 100 stades x 50 jours, soit 5000 stades. Si 1 stade = 160m alors 5000 stades = 800000m, soit 800km. Q4) Déterminer la hauteur h du Soleil au-dessus de la Terre. Le rayon du soleil passant par Syène est parallèle au gnomon, donc d'après le théorème de Thalès : 2) Mesure du rayon de la Terre par Eratosthène Q5) D'après Aristote, chaque portion d'élément terre qui constitue la planète possède une tendance à se mouvoir vers le centre de la Terre. Cette chute provoque

un travail à long terme en autonomie. De plus, je me suis instruit lors de mes recherche ce qui m'a permit d'acquérir des connaissances solide qui sont nécessaire pour la présentation orale. J'ai découvert un bon nombre d'outils de mesure comme le gnomon dont j'ignorer l’existence. Je vois dorénavant ces outils d'un autre œil, d'un regard plus scientifique. Ce TPE m'a initié et ma ouvert l'esprit sur un domaine qui me paraissait abstrait. Enfin, j'ai appris à travailler en groupe et en autonomie ce

: 1) On peut trouver la direction NORD - SUD tout simplement avec une boussole. 2) Si on ne dispose pas d’une boussole à portée de la main, il suffit de placer une tige verticale (appelée gnomon) dans le sol et de tracer les ombres à divers moments de la journée. Cette direction est donnée par l’ombre du gnomon lorsqu‘elle est la plus courte. 3) Il y a plusieurs raisons à cela. Tout d’abord, il faut ajouter une heure en hiver et deux heures en été pour avoir l’heure réelle. Mais pour avoir l’heure

de ces instruments de mesure du temps s’explique par les besoins de l’homme et des moyens techniques qu’il possédait, qu’il possède et qu’il possèdera. On passe donc du gnomon à la préhistoire, qui n’est qu’un simple bâton, à des montres en quartz de nos jours. Il existe une infinité d’instruments de mesure du temps entre le gnomon (et bien avant lui) et la montre en quartz, nous en verrons quelques uns d’entre eux. De plus, nous avons regroupé ces instruments en quatre catégories pour mieux expliquer

HISTOIRE DE LA MESURE DU TEMPS. Le gnomon Dès l'antiquité les hommes utilisent le gnomon, un bâton planté dans le sol, pour mesurer le temps ou tout du moins repérer le milieu de la journée (l'ombre du bâton atteint alors un minimum, le soleil est au zénith). Les égyptiens construisent de gigantesques gnomons, les obélisques. Le problème est que le gnomon est une horloge très imprécise. En effet, la longueur des journées varient au

l’ombre d’un gnomon (bâton | | |celle de la révolution autour su Soleil ont depuis longtemps servi |vertical), il est utile de montrer, qu’au fil des saisons, les | | |d’unités à la mesure des durées. |graduations ne coïncident pas. Cela permet de prendre | |Mesure des durées, unités |- Connaître la correspondance entre la durée de la rotation de la |conscience des limites du gnomon en tant

de l’ombre d’un bâton (gnomon) de 12 unités de longueur.Sa construction s’effectue dans l’un des quadrants inférieurs du dos de l’astrolabe. En suivant le texte, on obtient le carré ci-dessous :   Lorsque l’angle de hauteur du Soleil est inférieur à 45°, l’ombre lue sur le « carré » est l’ombre verticale d’un gnomon de 12 pieds placé horizontalement. Lorsque l’angle de hauteur du Soleil est supérieur à 45°, l’ombre lue sur le « carré » est l’ombre horizontale d’un gnomon de 12 pieds placé verticalement