Gobseck Maxime De Traille

Goriot, Illusions perdues et Splendeurs et misères des courtisanes constituent, en effet, la trilogie centrale de l'oeuvre balzacienne. Comment comprendre l'âpreté au gain d'Anastasie de Restaud, et son incapacité à venir au chevet de son père? Gobseck nous donne l'explication nécessaire. Comment entendre la perfidie des paroles de la duchesse de Langeais rendant visite à la vicomtesse de Beauséant? Son amertume nous est révélée par la menace qui pèse sur son amour : voir La Duchesse de Langeais

épousé en 1808. Ce riche banquier ne lui donne que le strict nécessaire. C'est pourquoi Delphine est toujours à la recherche d'argent. Elle vient arracher à son père les dernières économies du vieillard pour payer les dettes contractées par elle chez Gobseck en faveur de son amant (Henri de Marsay). Maître Derville se charge des transactions. Devenue la maîtresse d'Eugène de Rastignac, elle s'installe avec lui dans un petit appartement aménagé par le Père Goriot qui pense finir ses jours aux côtés des

que celui du baron de Nucingen, elle y a d'ailleurs accédé beaucoup plus tôt que sa sœur cadette, Delphine, qui l'envie et qui la rejoindra grâce aux bons offices d'Eugène de Rastignac. Anastasie est tombée sous le charme d'un dandy voyou (cf. Maxime de Trailles) qui la ruine en l'obligeant à combler les dettes qu'il a contracté. - Eugène de Rastignac : 21 ans au début du roman. Originaire d’Angoulême. Monte à Paris pour faire des études de droit qu’il abandonnera rapidement pour avoir un maximum

nommant le père Goriot a sa fille il commet une grave erreur puisque le père a été banni de la maison de Restau, il ne se rends pas compte que il n'est pas a sa place dans un salon où maîtresse et amant aimerai être seuls (madame de Restau + Maxime de traille) autre couple qui gêne sa cousine et Ajuda Pinto. 3) Sa cousine agit a la manière du bonne fée en lui expliquant le fonctionnement des relations sociale a Paris et Vautrin a l'inverse est une figure démoniaque qui lui donne des solutions

elle fait parti des « nouveaux riches » de la Rive Droite. Anastasie est aussi la sœur de Delphine de Nucingen et par conséquent la fille aînée du Père Goriot qu'elle a pratiquement renié après son mariage. Son amour absolu pour son amant, Maximes de Trailles la conduira à sa perte car pour lui, elle se compromet dans des dettes qu'elle ne peut honorer et va jusqu'à ruiner son père qui ne peut rien lui refuser. On a d'autre part le personnage de Delphine de Nucingen, fille cadette du Père Goriot

une rente de quarante mille livres. En 1836 il va devenir Ministre, Pair de France. 1840 Le Député d’Arcis (1847-1854 Mort de Balzac, non écrit par Balzac en entier) Rastignac devient ministre une seconde fois, il est fait comte. Le comte Maxime de Trailles, relation de Rastignac, définit ainsi son parcours : « Vous avez fini par épouser l’unique héritière des millions de Nucingen, et vous l’avez bien gagné... vingt ans de travaux forcés ! » 1845 Les Comédiens sans le savoir. Rastignac a 48 ans

de femme, 1831, (1er éd. Gosselin, 1842, (4e éd. Furne) Albert Savarus, 1842, (1er éd. Furne) Mémoires de deux jeunes mariées Une fille d'Ève La Femme abandonnée, 1833, (1er éd. Béchet) La Grenadière Le Message (1833) éditions Mame-Delaunay Gobseck, 1830, (1re édition), 1842 (Furne) Autre étude de femme, 1839-1842 La Femme de trente ans, 1834 (éd. Charles-Béchet), 1842 (Furne) Le Contrat de mariage, 1835, (1er éd.), 1842, (Furne-Hetzel) la Messe de l'athée, 1836 Béatrix, 1839 La Grande

Bianchon étudiant en médecine le peintre + l’employé au muséumComtesse Anastasie de Restaudsurnommé nasie par son père fille aînée de Goriot son fils aîné ernest fils légitime avec son mari les deux autres de Maxime de Trailles amant de Restaud…. Fille ainée de goriot Maurice d omestique des Restaud Victoire femme de chambre de Nasie Baronne Delphine de Nucingen surnommée fifine par son père marié banquier

Rabou qui s’acquitte là d’une promesse faite à Balzac avant sa mort.) Rastignac est pour la seconde fois ministre, il vient d’être fait comte et suit les traces de Nucingen. Il a épousé en 1839 la fille de Delphine et du baron de Nucingen. Le comte Maxime de Trailles, relation de Rastignac, définit ainsi son parcours : « Vous avez fini par épouser l’unique héritière des millions de Nucingen, et vous l’avez bien gagné... vingt ans de travaux forcés ! » 1845 : Les Comédiens sans le savoir écrit en 1845 Rastignac

resurgissent avec plus d'acuité. Le baron de Nucingen indique à sa femme qu'il lui est impossible de lui rendre sa fortune sans que leur couple ne soit ruiné. Quant à Anastasie, elle ne parvient plus à rembourser les dettes causées par son amant, Maxime de Trailles et se voit dans l'obligation de mettre en vente les diamants de la famille. A l'annonce de cette double déroute financière, le père Goriot est victime d'un grave malaise. Bianchon, l'étudiant en médecine, ami de Rastignac, venu en renfort analyse