Gobseck Maxime De Traille

défendre et se battre pour que la censure s’arrête ; également Dom Juan ou encore le Misanthrope. Honoré de Balzac : Balzac est un auteur du 19ème siècle. Il est né le 20 mai 1799 et a donc commencer à écrire de nombreux romans, par la suite. On trouve Gobseck, ainsi que le Père Goriot et le Colonel Chabert. C’est aussi lui qui créa la Comédie Humaine qui est un ensemble d’ouvrages, comprenant des romans réalistes, fantastiques ou philosophiques mais aussi des essais, des contes et des nouvelles. Charles

femme du baron de Nucingen, qu'elle a épousé en 1808, et qu’elle trompera avec Eugène.  * Rastignac avec Vautrin Anastasie de Restaud, fille aînée du père Goriot qu’elle a pratiquement renié, elle est la maîtresse de Maxime de Trailles dont elle paie les dettes à Gobseck. Rastignac jette son dévolu sur elle avant de devenir l’amant de sa sœur Delphine. * Horace Bianchon, docteur en médecine, il est illustre dans la Comédie humaine car il soigné plusieurs personnages récurrents, il est l’ami

d'Ajuda-Pinto.  Anastasie de Restaud : Fille aînée du père Goriot qu’elle a pratiquement renié, elle est la maîtresse de Maxime de Trailles dont elle paie les dettes à Gobseck. Rastignac, qui l'a rencontrée et a cru lui plaire au bal organisé par la vicomtesse de Beauséant, jette son dévolu sur elle avant d'être cruellement déçu car bien inférieur au riche et élégant Maxime. Il sympathise avec le mari d'Anastasie mais la mention qu'il fait du père Goriot, sans savoir le lien de parenté qui le lie

tard, de Vautrin. Celui-ci déclare avoir aperçu, au cours de sa sortie matinale, le père Goriot qui vendait un objet de vermeil à un orfèvre de la rue Dauphine. Il l’a vu se rendre ensuite rue des Grès (l’actuelle rue Cujas), chez un usurier nommé Gobseck. Goriot rentre à son tour à la pension et demande aussitôt à Christophe d’aller porter une lettre à l’adresse de la comtesse Anastasie de Restaud, rue de Helder. Vautrin intercepte cette lettre, et trouve dans l’enveloppe un billet acquitté (une reconnaissance

la difficulté des hommes à vivre dans un tel système. Dans Gobseck par exemple, Balzac dénonce le pouvoir trop fort qu’exerce parfois l’argent dans l’esprit des gens. Effectivement, son récit présente une société dans laquelle l’argent est maître de tout, même de l’amour : Mme de Restaud se retrouve seule (sans mari et sans amant) à cause de la place trop importante qu’a finie par prendre l’argent dans sa vie. De même, Maxime de Trailles Nous pouvons donc conclure, d’après ces trois points de

vous souvenez-vous de cette lettre de change de Maxime ? Eh bien! ce n'était pas la première. J'en avais déjà payé beaucoup. Vers le commencement de janvier, monsieur de Trailles me paraissait bien chagrin. Il ne me disait rien; mais il est si facile de lire dans le coeur des gens qu'on aime, un rien suffit: puis il y a des pressentiments. Enfin il était plus aimant, plus tendre que je ne l'avais jamais vu, j'étais toujours plus heureuse. Pauvre Maxime ! dans sa pensée, il me faisait ses adieux, m'a-t-il

s’acquitte là d’une promesse faite à Balzac avant sa mort.) Rastignac est pour la seconde fois ministre, il vient d’être fait comte et suit les traces de Nucingen. Il a épousé en 1839 la fille de Delphine et du baron de Nucingen. Le comte Maxime de Trailles, relation de Rastignac, définit ainsi son parcours : « Vous avez fini par épouser l’unique héritière des millions de Nucingen, et vous l’avez bien gagné... vingt ans de travaux forcés ! » * 1845 : Les Comédiens sans le savoir écrit en

Elle comble le vide avec le marquis d’Ajuda Pinto b. Mme Anastasie Restaud (Voir p.46) Elle est l’autre fille du père Goriot, l'aînée. Elle était mariée au Comte de Restaud. Elle a deux enfants adultérins Son amour absolu pour son amant, Maximes de Trailles la conduira à sa perte ; car à cause de lui, elle se compromet dans des dettes qu’elle ne peut honorer et cause ainsi la ruine de son père. c. Mme Delphine de Nucingen L’une des deux filles de Goriot, la cadette. C’est une pauvre créature

Ce riche banquier ne lui donne que le strict nécessaire. C'est pourquoi Delphine est toujours à la recherche d'argent. Elle vient arracher à son père les dernières économies du vieillard pour payer les dettes contractées par elle chez l’usurier Gobseck. Devenue la maîtresse d'Eugène de Rastignac, elle s'installe avec lui dans un petit appartement aménagé par le père Goriot qui pense finir ses jours aux côtés des deux tourtereaux. Les espoirs du vieillard seront déçus. Delphine est tout entière occupée

dame parisienne ; elle mène un combat contre sa sœur pour accéder aux salons les plus huppés du faubourg Saint-Germain. Elle y a accédé beaucoup plus tôt que sa sœur cadette grâce à son mariage avec le comte de Restaud. Elle tombe amoureuse de Maxime de Trailles, un voyou qui la ruine en l’obligeant à combler ses dettes en lui faisant du chantage au suicide. Elle est délaissée ; elle est abandonnée par son amant, qui a d’autres maîtresses et se croit enfin riche. Après la mort de son mari, le compte