Goélette

étaient armés d'au plus 36 canons, placés en général sur le pont plutôt qu'au-dessous comme sur les vaisseaux de ligne. Aux XVIIIe et XIXe siècles, d'autres types de petits bâtiments de guerre firent leur apparition : les bricks, les brigantins, les goélettes, les cotres ou encore les lougres. sommaire 9 - Les clippers [pic] Clipper américain Antartic Bateau rapide et puissant, le clipper fut principalement utilisé au XIXe siècle pour le transport des marchandises. Durant les trois siècles qui suivirent

La Thérèse ; son navire était chargé de barils et de caisses, pleins de moëdes, c'est-à-dire de pièces d'or portugaises [...]. Il avait fait cette magnifique prise la veille, sur un navire anglais, et il y en avait dans les moindres recoins de la goélette [...]. Le lendemain, un brick anglais, qui avait appris le rapt effectué par Fuët, réussit à le retrouver et à le prendre en chasse, essayant de l'intercepter. [...] Les deux bateaux avaient sérieusement souffert lorsque Zoye, le maître canonnier

Bateaux : goélette, pirogue, chaloupe, galion, radeau, canot, yole, galiote. – Parties d’un bateau : mât, coque, quille, hune, mâture, soute, cale, vergue, pont. – Éléments du gréement : cordage, fanal, voilure, aviron, ancre, poulie, voile, hauban. – Mouvements du bateau : roulis, tangage. – Marins : mousse, matelot, capitaine, commandant, équipage. 2. – Petites embarcations : un canot, une chaloupe, une pirogue, une yole, un radeau. – Navires de grande taille : un galion, une galiote, une goélette. 3

palanquin, après avoir touché à l'hôtel, où les bagages furent pris, ramena les voyageurs à l'avant-port. Trois heures sonnaient. Le bateau-pilote n° 43, son équipage à bord, ses vivres embarqués, était prêt à appareiller. C'était une charmante petite goélette de vingt tonneaux que la Tankadère, bien pincée de l'avant, très dégagée dans ses façons, très allongée dans ses lignes d'eau. On eût dit un yacht de course. Ses cuivres brillants, ses ferrures galvanisées, son pont blanc comme de l'ivoire, indiquaient

après avoir touché à l’hôtel, où les bagages 197 furent pris, ramena les voyageurs à l’avant-port. Trois heures sonnaient. Le bateau-pilote no 43, son équipage à bord, ses vivres embarqués, était prêt à appareiller. C’était une charmante petite goélette de vingt tonneaux que la Tankadère, bien pincée de l’avant, très dégagée dans ses façons, très allongée dans ses lignes d’eau. On eût dit un yacht de course. Ses cuivres brillants, ses ferrures galvanisées, son pont blanc comme de l’ivoire, indiquaient

mourir noyé18. Il se convertit alors et rejoint le côté de la loi. Il devient un membre de la California Fish Patrol (la patrouille de pêche de Californie) pour attraper les braconniers de la baie de San Francisco. En 1893, il s'engage sur la goélette Sophia Sutherland, pour chasser des phoques. Cette expérience l'amène jusqu'à la mer de Bering et au Japon. Son capitaine le nourrit d'histoires de mer, dont il s’est inspiré pour écrire ses romans. Lorsqu'il rentre en août, il trouve sa famille

avoir touché à l’hôtel, où les bagages 197 furent pris, ramena les voyageurs à l’avant-port. Trois heures sonnaient. Le bateau-pilote no 43, son équipage à bord, ses vivres embarqués, était prêt à appareiller. C’était une charmante petite goélette de vingt tonneaux que la Tankadère, bien pincée de l’avant, très dégagée dans ses façons, très allongée dans ses lignes d’eau. On eût dit un yacht de course. Ses cuivres brillants, ses ferrures galvanisées, son pont blanc comme de l’ivoire,

embarqua, non sans peine. Plus agile que lui, notre pilote s’affala par le même chemin jusqu’à son canot, qui l’attendait, et dont chaque rameur était muni d’une ceinture natatoire en liège. Quelques instants après, il rejoignait une charmante petite goélette qui l’attendait sous le vent. La route fut aussitôt reprise. Sous la poussée de ses aubes et de son hélice, la vitesse du Great Eastern s’accéléra. Malgré le vent debout, il n’éprouvait ni roulis ni tangage. Bientôt l’ombre couvrit la mer, et la

embarqua, non sans peine. Plus agile que lui, notre pilote s’affala par le même chemin jusqu’à son canot, qui l’attendait, et dont chaque rameur était muni d’une ceinture natatoire en liège. Quelques instants après, il rejoignait une charmante petite goélette qui l’attendait sous le vent. La route fut aussitôt reprise. Sous la poussée de ses aubes et de son hélice, la vitesse du Great Eastern s’accéléra. Malgré le vent debout, il n’éprouvait ni roulis ni tangage. Bientôt l’ombre couvrit la mer, et la

magnifique cornes noires, annelées et en formes de lyre. Il construit une harpe éolienne avec les boyaux du bouc. Et attend une tempête pour qu’il y ait assez de vent pour faire chanter l’instrument. Chapitre 34 : Un navire anglais approche, la goélette Whitebird avec à son bord, le commandant William Hunter de Blackpool. Ce dernier lui apprend la date du jour : samedi 22 décembre 1787. Robinson compte et s’aperçoit vite qu’il est sur l’île depuis 28 ans, 2 mois et 22 jours. Il a donc exactement