Goldman Sachs

et la City (les huit familles : Goldman Sachs, Rockefellers, Lehmans et Kuhn Loeb de New York, les Rothschild d’Allemagne, de Paris et de Londres, les Warburg de Hambourg, les Lazards de Paris et les Israel Moses Seifs de Rome) et la plus part des banques centrales européennes, les Rothschild étant les instigateurs, la BCE sous contrôle des Rothschild. Et ils sont évidemment derrières les entreprises : Bank of America, JP Morgan, Citigroup, Wells Fargo, Goldman Sachs et Morgan Stanley

oublier 29 » « Crise : les gagnants » « Crise : les perdants » Le Point 1884 du 23 octobre « Caisse d’épargne la chute de la maison Milhaud Le Nouvel Observateur du 30 octobre « Crise : les naufrageurs » « Les pompiers pyromanes de Goldman Sachs » Le Point 1885 du 30 octobre « Banques : faut-ils les nationaliser ? » « Les banques ont tué la conjoncture » Le Point 1888 du 20 novembre « L’indéfendable M. Paulson » Le Point 1891 du 11 décembre « Une incertaine relance »

L’investisseur aurait avantage à baser sa stratégie sur les bénéfices historiques rapportés par les entreprises plutôt que sur les estimations du consensus concernant les résultats futurs. Ce constat sans appel émane d’une étude récente de Goldman Sachs, relatée par ZeroHedge. L’application d’une méthode systématique, acheter des sociétés faisant partie de l’indice Stoxx 600 lorsque leur P/E à 12 mois basé sur l’historique des bénéfices est au plus bas et donc les revendre lorsqu’il a atteint un

Le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine ont récemment tenu leur deuxième sommet annuel à Brasilia. Les journalistes persistent à concentrer leur attention sur ces soi-disant «BRIC» mais je reste sceptique quant à ce concept. Goldman Sachs avait imaginé cette appellation en 2001 pour désigner les opportunités rentables sur ce que l’on appelle généralement les «marchés émergents». La part des BRIC dans le PIB mondial est passée de 16% en 2000 à 22% en 2008. Pris collectivement, ils ont fait mieux

d'investissement. Goldman, Sachs and Company, association bancaire et de courtage, qui arrive tard aux investissements. Le 4 décembre 1928, avant la chute du marché, elle crée la Goldman Sachs Trading Comporation; celle-ci va s'agrandir très rapidement. La compagnie vendit de nombreuses actions avant de fusionner avec la Financial and Industrial Sécurities Corporation, une autre société d'investissement. Les années justes avant la crise de 1929, furent pour la compagnie Goldman, Sachs des années de

début du XXIe siècle, le poids dans l’économie mondiale augmente. » Le terme des BRICS apparaît donc pour la première fois dans cette phrase en 2001 dont l’auteur est Jim O’Neill qui est un économiste de la banque d’investissement et de notation Goldmann Sachs. Dans ce rapport il y clarifie la situation économique de ces pays et il y est clairement soutenu que l’économie du groupe BRIC allait rapidement se développer, ce que l’on peut observer assez bien aujourd’hui avec des pays tels que la Chine ou

ces activités. La concentration permet en plus d’être moins fragile en cas de crise. Comme l’établissement est présent dans plusieurs activités, il peut se reposer sur l’une d’entre elles pour compenser les pertes des autres. C’est pourquoi Goldman Sachs vient de féliciter le modèle universelle de BNP-Paribas. De plus, les Etats ne semblent plus capables de laisser un établissement gérant des dépôts faire faillite, car beaucoup de citoyens pourraient alors voir leur épargne disparaître à jamais

gaz naturel. Selon la Banque Mondiale, il y a de fortes chances que la Chine devienne la première puissance mondiale aux alentours de 2020-2030 et l’inde pourrait dépasser les Etats-Unis vers 2043 (si on en croit une étude de Goldman Sachs). Selon les rapports Goldman Sachs, en 2025 l’Inde aura atteint le 4ème rang et la Russie le 6ème des économies mondiales. D’ici 2050, la Chine, l’Inde, le Brésil et la Russie se situeront dans les 5 premières puissances économiques de la planète aux côtés des

fait primer la rigueur, la discipline et l’esprit d’équipe. Et on peut voir ce succès par son parcours boursier ; entre 2005 et 2006, son cours s’est apprécié à 55% contre 17 en moyenne pour les autres grosses banques d’affaire Morgan Stanley, Goldman Sachs et Merill Lynch. Lehman promeut certains principes de fonctionnement au sein de ses équipes, comme une véritable discipline dans l’exécution de ses tâches. Elle offre des études sectorielles plus approfondies et plus sérieuses que celles des

lui, il y a Timothy Geithner, le président de la Fed de New York, Christopher Cox, celui de la Securities and Exchange Commission, le gendarme de la Bourse, les patrons des grandes banques américaines Citigroup, JPMorgan Chase, Morgan Stanley, Goldman Sachs, Merrill Lynch, et de banques étrangères. Après s'être séparés le vendredi soir, les groupes de travail se reforment le samedi - des équipes planchent même une partie de la nuit du samedi au dimanche - puis le dimanche. Outre le cas Lehman Brothers