Gonzalo Sánchez de Lozada

fue al mismo tiempo uno de los más afectados por este típo de delíto. Aunque todos régimenes contemporaneos han tenido parecidos prácticas. El 6 de junio de 1993 Gonzalo Sánchez de Lozada obtuvó el 33,8% de los votos en las elecciones presidenciales y llego a ser el octogésimo uno presidente de la republica bolivariana. Sánchez introdujo el sistema de fondos de pensiones manejados por empresas privadas y emprendió una privatización de las empresas estatales abriendoles al capital exterior de

été totalement paralysée jeudi. Des péages routiers ont été détruits. Et des appels à la démission d'Evo Morales ont été lancés, rappelant les jours sombres d'octobre 2003 quand la population d'el Alto avait obtenu le départ du président Gonzalo Sanchez de Lozada. «Evo incapable, va-t'en au Venezuela, criait la foule. Nous sommes tous contre le coup bas de ce maudit gouvernement affameur.» Les manifestations ont également été importantes à Cochabamba. Les leaders indiens Aymaras de Achacachi ont

de décentralisation de l’Etat est également mis en place. Au niveau industriel, et notamment pétrolier, une nouvelle réglementation est crée au moyen d’un code qui permet la coexistence de compagnies pétrolières privées et de l’YPFB. En 1993, Sanchez de Lozada remporte le scrutin présidentiel et entreprend une décentralisation plus poussée qui donnera plus de pouvoirs et de ressources aux municipalités et aux régions boliviennes. De plus, la reconnaissance des communautés indigènes et paysannes, proclamée

Instance est une femme, dans la Municipalité de La Paz la Présidente du Conseil Municipaux es une femme et comme ça pour citer quelques exemples. C’est important de souligner que, que dans les gestions de Jaime Paz Zamora, Hugo Banzer Suarez, Gonzalo Sanchez de Lozada, etc., les droits de la femme ont déjà été introduits dans la politique, obligeant aux partis politiques a inclure dans ses listes de candidats a un 30% de femmes, cependant, en plusieurs des cas, dans plusieurs partis politiques on arrivait

du pouvoir par le président Gonzalo Sanchez de Lozada. En 2003 est dévoilé un projet de création de gazoduc qui déboucherait sur le Chili pour permettre l’exportation du gaz bolivien à l’international. Mais ce projet ne fait pas l’unanimité et des manifestations éclatent, avec pour mot d’ordre la lutte contre l’exploitation du pays. Ces rassemblements seront fortement réprimés. Les soulèvements s’aggravent entraînant la mort d’une dizaine de personnes, le président Lozada démissionne et s’exile aux

1993 : Election de Gonzalo Sanchez de Lozada et de Victor Hugo Cardenas, premier vice-président indien du continent. En 1997 : Election à la présidence du général Hugo Banzer Suarez, déjà au pouvoir entre 1971 et 1978 et que ses opposants continuent d'appeler "le dictateur". En 1998 : Tremblement de terre qui raye de la carte les villes de Mizque et Totora. Bilan 250 morts. En Octobre 2003 : Evo Morales prend la tête d'une révolte contre le président libéral Gonzalo Sanchez de Lozada, qui la réprime

majorité indienne mais l’Etat fait tt pour les exclure. En 00, ils se soulèvent contre la privatisation des ressources hydrauliques, en 03 contre l’intention du GVT de vendre du gaz naturel aux US et Mexique. 70 morts et exil de l’ex-pdt Gonzalo Sanchez de Lozada. Indiens à l’avant-garde de la défense des ressources, cherchent à se réapproprier le territoire, ont compris que l’éco = aucun bénef pour eux. Fev. 04 Guatemala, l’Indienne Rigoberta Menchu militante et prix Nobel de la paix 92 est nommée

par le mépris social et l'exclusion. Après l'Argentin Fernando de la Rua en 2001 et l'Equatorien Lucio Gutierrez en avril 2005, le président bolivien Carlos Mesa a renoncé à ses fonctions en juin 2005 comme l'avait fait son prédecesseur Gonzalo Sanchez de Lozada en 2003. L'arrivée d'Alfredo Palacio à la tête de l'Etat équatorien après le limogeage en 2005, à mi-mandat, de Lucio Gutierrez venait déjà accentuer un peu plus la coloration politique de l'Amérique latine. Les circonstances qui ont porté

Salió a la venta la misma mañana. c. Falso. Ayudó a Evo Morales en otro capítulo, pero no en éste. d. Falso. Lleva la pollera y la mantilla de siempre. 2. Esta aventura transcurre en 2003 / rebelión popular / la caída del antiguo presidente, Sánchez de Lozada / la represión de las protestas ocurridas en octubre de 2003 3. Super Cholita debe enfrentarse a poderosos señores de la impunidad y la corrupción judicial. En esta ocasión lucha contra los responsables de la muerte de más de 60 personas durante

avec les narcotrafiquants) pose à la communauté internationale le problème de la substitution de la culture de la coca, et du développement alternatif pour remplacer les emplois et les revenus produits par les cultures illicites. En 1993, Gonzalo Sánchez Lozada (MNR) est élu président, et bénéficie de l’appui de celui qui va devenir son vice-président, Victor-Hugo Cárdenas (de son vrai nom Choquehuanca et dirigeant aymara du Mouvement révolutionnaire Tupak Katari de libération : MRTKL). C’est le