Good Bye Lenin

traduction artistique. Œuvre d’art : Peinture murale de Birgit Kinder : Trabant traversant le mur (domaine artistique : arts du quotidien) Extraits du film : Der Tunnel de Roland Suso Richter (domaine artistique : arts du visuel) Extrait du film: Good bye Lenin de Wolfgang Becker. Rostropovitch jouant Bach devant les ruines du mur (domaine artistique : arts du son) Thématique : Arts Etats, pouvoir, Arts, techniques, Expressions Problématique : Comment les arts peuvent-ils transformer un instrument d’oppression

plus dans JOYEUX NOËL.” “Daniel Brühl m’avait fasciné dans GOOD BYE LENIN !, et je m’étais dit : “Il sera dans mon film.”Quand je l’ai rencontré, il m’a encore plus touché, mais je ne savais pas quel rôle lui confier. Je le trouvais un peu jeune pour incarner un lieutenant. Cependant, une fois que je l’ai vu en costume, lors des essais, avec la barbe, l’uniforme, la casquette et les bottes, je n’ai plus eu de doute. Le héros de GOOD BYE LENIN ! n’existait plus ; il n’y avait plus que le personnage de

est le miroir cinématographique de la RDA, la mémoire visuelle d'un pays disparu, elle imprègne toujours l'imaginaire des allemands, et même de l'Europe, comme l'ont montrés les films Good bye Lenin en 2003 et La vie des autres en 2006. On constate le retour d'actrice est-allemande comme Katrin Sass, dans Good bye Lenin, ou Ulrich Mühe, l'agent de la Stasi dans La vie des autres, qui a lui-même souffert de la surveillance de la police politique. Il convient de réhabilité, notamment en France

connaissent déjà. Le cinéma fait en quelque sorte un contre histoire insistant sur des points que l'historien, seul, n'aurait pas su aborder. C'est le cas des films comme La vie des autres, réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck en 2006, ou Good Bye Lenin!, par Wolfgang Becker en 2002. Ils apportent, au yeux de l'historien mais aussi du spectateur, une vision plus perceptible de deux évènements marquants: les dérives de la pensée marxiste en RDA puis la chute du Mur de Berlin. L'historien se doit

baromètre des relations internationales : Rocky IV : Période Reagan L'arme fatale 2 (contre Apartheid) La Reine Margot (film parlant du massacre de la St Barth, sortie pendant les massacres au Rwanda) Godzilla 1998 (essai nucléaire français) Good Bye Lenin Spider Man (2002) Master and Commander (2003, Peter Weir) = réalité inversée pour coller à la réalité actuel Le seigneur des anneaux Die Hard 5 World War Z Man of Steel Les docus fictions : The road to Quantanamo (2005) La guerre selon Charlie

Literatenfamilie Mann bei dem fiktionale Szene mit Dokumentarelementen gemischt werden. / Un film télévisé en trois parties, associant des scènes de fiction et des extraits documentaires raconte la vie de la famille Mann et ses nombreux écrivains. Good Bye, Lenin (2003) Am 7. Oktober 1989 bekommt Christiane Kerner in der DDR einen Herzinfarkt. Im Juni 1990 wacht sie aus dem Koma auf. Um sie zu schonen, versucht ihr Sohn alles, damit sie nichts von dem Mauerfall erfährt. Eine Tragikomödie. / Le 7 octobre

longues). Quelques repères pour l'oral : ->Donner le titre, plus le nom du compositeur. ->Compositeur? (Petites choses : Origines, Famille… ->Oeuvre? (Repères historiques) Année? Qui l'a commandée? Oral,blanc : Watching lara Bo de good bye lenin de Yann Tiersen Piano Colorblind de … O magnum mysterium de victoria Négro spiritual In stiller nach Lean on me This little light of mind

fut l'américanisation. Il existe un certain retard à l'Est qui touche les modes de vie, les vêtements, les médias… Ce retard est dû notamment au manque de liberté des Allemands créé par le régime politique en place. Le film de Wolfgang Becker, Good Bye Lenin !, produit en 2003, apparaît comme le parfait exemple de cette distinction entre les deux zones allemandes (voir synopsis en annexe). Par ailleurs, les symboles nationaux que sont l'hymne et le drapeau sont différents entre les deux états. La

1962-1987Dominique Wolton, “Éloge du grand public” (1990)Films, documents iconographiques, bandes dessinées“Le Cauchemar de Darwin”, Hubert Sauper, 2005“Celebrity”, Woody Allen, 1999“Fahrenheit 9/11”, Michael Moore, 2004“Ginger et Fred”, Fellini, 1986“Good bye Lenin !”, Wolfgang Becker, 2004“Network,” Sidney Lumet, 1976“The Queen”, Stephen Frears, 2006“The Truman Show”, Peter Weir, 1998Jacques Tardi et Daniel Pennac, “La débauche”, (2000)Robert Doisneau, par exemple “Mes Parisiens”, Nathan, coll. “Photo Poche-Société”

évidemment entendre « cacher une vérité » Ce n'est donc ni la vérité ni le mensonge qui sont choisis, mais les fins désirés que ceux ci nous permettent. Cacher une vérité peut alors entretenir l'illusion d'un bonheur. On peut ici aborder le film « Good bye Lenin », ou un fils va cacher une vérité à sa mère qui risque un infarctus à la connaissance d'une nouvelle choquante. Dans ce film on s'aperçoit alors de l'importance qu'à la vérité et l'impact que celle ci peut avoir, cette vérité aurait alors une