Gordien Ier

Philippe l'Arabe 1 Philippe l'Arabe Philippe l'Arabe Empereur romain Buste de Philippe l'Arabe Règne 2 février 244 – automne 249 (~6 ans) Période « Anarchie militaire » Prédécesseur(s) Gordien III Co-empereur(s) Philippe II (247 – 249) Usurpateur(s) Pacatianus (248) Jotapianus (248 – 249) Dèce (249) Dèce Successeur(s) Biographie Naissance Nom originel Décès c. 204 - Shahba (Arabie) Marcus Julius Philippus automne 249 (45 ans) Vérone (Italie) Julius Marinus Otacilie (av.244 - 249)

Différenciation des antoniniens émis durant le règne de Gordien III dans les villes de Rome et d’Antioche Le règne de Gordien III commence en 238, ce jeune garçon de 13 ans, issu d’une famille aisée, n’était pas en âge de prendre les armes et se retrouva propulsé à la tête des armées suite à la révolution de 238. Pour comprendre comment cela fut possible, il faut remonter le temps de quelques années, jusqu’en 235 et l’arrivée sur le trône de Maximin suite à l’assassinat d’Alexandre Sévère

chef d’orchestre L’aveugle et son guide; la chaise; le petit moteur; le berger et le loup Les chaises musicales; la rencontre des couleurs; les nombres secrets De personne à personne; accroche décroche; les couples d ‘animaux; la diligence Le nœud gordien; la fusée téléguidée; le serpent; l’oiseau silencieux Roche / papier / ciseaux; La toupie folle; histoire de mots PAGES 3 3 3 4 4 5 5 6 6 De 6 à 8 9 9 10 10 11 11 11 12 13 14 15 16 17 18 2 LES ENJEUX D’APPRENTISSAGE

Rodrigue est sans défense face à sa souffrance. Enfin, le chiasme formé par les deux derniers vers nous introduit à la dure réalité de ce dilemme « mon père est l’offensé, Et l’offenseur le père de Chimène ». Le chiasme met en exergue le nœud Gordien ainsi que le tragique de la situation. Rodrigue, par honneur, doit se venger et devenir alors le meurtrier du père de son aimée… La peine de Rodrigue est d’autant plus marquée que jusqu'à la fin du monologue, « Chimène » rimera avec « peine », et

guerres menées par l'empereur contre les Perses. La sépulture aurait été sculptée pour le roi séleucide Abdalonymos, qu'Alexandre avait investi.Voici la face sur laquelle on peut observé la bataille d'Issos dont voici l'illustration. | Le nœud gordien : πρὸς δὲ δὴ τούτοις καὶ τόδε περὶ τῆς ἁμάξης ἐμυθεύετο, ὅστις λύσειε τοῦ ζυγοῦ τῆς ἁμάξης τὸν δεσμόν, τοῦτον χρῆναι ἄρξαι τῆς Ἀσίας. ἦν δὲ ὁ δεσμὸς ἐκ φλοιοῦ κρανίας καὶ τούτου οὔτε τέλος οὔτε ἀρχὴ ἐφαίνετο. Ἀλέξανδρος δὲ ὡς ἀπόρως μὲν εἶχεν ἐξευρεῖν

(pages 187, 255, 343) - «marmottes» (page 65) - «ondatras» (page 66 - est décrite la stupéfiante volonté de l’un d’eux qui, «pris au piège se débat» : «Jeune et vigoureux, la dent puissante et incisive, il a résolu de trancher où il se boucle le nœud gordien […] Il pratique la vivisection avec une détermination presque haineuse. Perçant à coups de gueule, arrachant à coups de tête, tordant le membre lacéré et brisé en miettes en se tordant de tous ses muscles, il est comme fou, comme dépassé par lui-même :

supplicandum. Ce prince, plus cruel encore que superstitieux, fit immoler des enfants ; mais Junius Brutus changea ce sacrifice horrible ; car il le fit faire avec des têtes d’ail et de pavot, et par là remplit ou éluda l’oracle 21 . On coupait le nœud gordien quand on ne pouvait pas le dé- lier ; ainsi Claudius Pulcher, voulant donner un combat naval, fit jeter les poulets sacrés à la mer, afin de les faire boire, disait-il, puisqu’ils ne voulaient pas manger 22 . Il est vrai qu’on punissait quelquefois

d’avoir à tuer ou à violer. Cette « urgence » à exister ne relève pas de la haine de l’objet ou du plaisir sadique à le détruire mais, comme le souligne S. de Mijolla-Mellor « une condition pour se faire advenir soi-même et tenter, en tranchant le nœud gordien, de réparer la blessure d’amour propre ». Cet amour-propre n’est pas l’amour de soi ni le narcissisme. Il se définit comme une passion douloureuse dont l’extrême fragilité réside « dans l’étrange paradoxe de ne pouvoir tenir la nécessaire estime de

villes par la force (Halicarnasse, Lampsaque ou Aspendos). A la fin de l’année 333 avant J.C, Alexandre a réussi à s’approprier toute la Lycie, la Pamphilie et la Pisidie. Il remonte à l’intérieur des terres, s’empare de Gordion (où il tranche le nœud gordien) et de Tarse. Un appétit de conquêtes insatiable Dans la plaine d’Issos (la Syrie actuelle), l'armée grecque se mesure aux 600 000 soldats perses. Alexandre triomphe et Darius s'enfuit en Syrie, abandonnant sa mère, sa femme, ses filles et un

l’empire perse et comptent parmi ses plus fidèles compagnons (tradition macédonienne, qui voulait que les fils de rois et les fils de nobles soient élevés ensemble, formant un clan, celui des hetoiroi) Recherche pour tous : 1. Trancher le nœud gordien signifie résoudre de manière brutale un problème apparemment inextricable, impossible à résoudre. Cette expression vient d’une légende en rapport avec Alexandre le Grand. Celle-ci se produisit en 334 av. J.-C., dans la ville de Gordion en Phrygie