Gorgias Contradiction

Ecriture d'invention : Deux élèves discutent de leur lecture du roman L'ﾉcume des jours, de Boris Vian. L'un d'entre eux a apprécié cet ouvrage, l'autre, au contraire, l'a détesté. Vous rédigerez leur conversation en veillant à ce que chacun apporte des arguments efficaces, et fasse référence à des passages précis de l'oeuvre. En sortant du McDo dans lequel Merry et Pippin venaient de se lester, les deux amis se dirigent vers un lieu qu'ils apprcient bien, et propice

un obstacle, quelque chose sur quoi on bute. Obstacle a quoi ? à la pensée. Chaque sujet contient un obstacle  La pensée se retrouve face à une contradiction. (contre la diction, contre ce que l’on dit). Le but est de découvrir une contraction voire même un paradoxe (quelque chose qui remet en question l’opinion). Une fois qu’on a la contradiction, on a nos 2 parties. Thèse/ Antithèse. Ce qui ne veut pas dire tout blanc tout noir. Car le plan découle du problème. Sujet  problème  2 parties

au désir, et qu'il a pour ambition de vivre libre et honnête. Les tintements de la cloche annonce le début de l'Opéra, le Neveu qui pleurait sa défunte épouse met alors fin à l'entretien. Ce texte est tout d’abord particulièrement vivant, en contradiction avec une argumentation traditionnelle sous forme d’articles par exemple, comme l'a fait Diderot dans l’Encyclopédie. Le texte reste vivant, pas seulement par sa forme dialoguée, mais aussi grâce à l'actualisation des thèmes du discours. L'utilisation

-Exposé Philosophie. Le Gorgias – Platon -L’injustice donne l’illusion de la puissance. (466a – 471d) La puissance du tyran (466b – 472c) La toute puissance : Parvenu à ce stade, on peut dire que le thème de la rhétorique est pratiquement épuisé et qu’on entrevoit, au-delà de ce qui pouvait n’être au départ qu’une simple question de définition, ce que devient la vraie préoccupation du dialogue : une réflexion sur la justice et la puissance. Le quiproquo sur la puissance du tyran entre

l’efficacité redoutable et inquiétante, un instrument diabolique au sens étymologique du terme puisqu’il permet de diviser (dia-balein) le monde et de donner du monde un double fascinant et illusoire. LECTURE CONSEILLEE Gorgias de 464a à 465e Problème du simulacre ( Gorgias, 464a et suiv. ) Thèse : l’art oratoire est un simulacre d’une espèce de l’art politique Simulacre : image, idole ( cf. distinction icône / idole ). Apparence sensible qui se donne pour une réalité : fantôme, illusion

la philosophie dans le but de creer une cite equilibrés. I b) Bibliographie * Principales oeuvres de Platon : * Apologie de socrate, criton, phedon, presentation et traduction, B et R piettre, livre de poche, Hachette 1992 * Gorgias, trad. M. Canto, GF-Flammarion, 1987. * Menon, presentation, traduction et commentaire de B. Piettre, Nathan, 1990. * Phedon, trad M. Dixaut Gf- flamarion 1991 * Phedre trad L.Brisson Gf-flamarion 1989 * Protogoras presentation et

Etude d'un extrait de " Gorgias" de Platon Platon est un philosophe grec , ce fut sa rencontre avecSocrate dans les année 407 qui constitua l'evenement capital de la vie de platon, le matre avait alors soixante trois ans et l'eleve vingt. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs notamment Socrate donc, ou encore héraclote et pythagore, afin d'élaborer sa propre pensée. Son oeuvre est composée presque exclusivement de dialogue. Chacun d'eux interroge un sujet donnée

d'ambiguïtés qui viendraient des mots, de leur contexte, mais pas des choses qu'ils sont chargés d'exprimer b) la précipitation, facteur d'erreur, de trahison par les mots d'idées claires : cf. les dialogues entre Socrate et ses interlocuteurs ( Gorgias par exemple et le recherche de la définition de la rhétorique) : Socrate exprime par ses interrogations une pensée que ses interlocuteurs emportés par la passion, défigurent 2- Un effort d'attention et de recherche de la vérité suffirait

mal et le vrai mérite. Les vertus cardinales (autour de quoi tout s'ordonne) sont : prudence, courage, tempérance, justice. Dans cet extrait du « Ménon », Socrate entretiens un débat avec un personnage éponyme, un noble Thessalien et ami de Gorgias nommé Ménon. Après un abord assez agressif de Ménon lors de cette première rencontre, Socrate reste de sang froid et provoque le protagoniste. Ménon demande à Socrate si la vertu peut s'enseigner ou si elle est donnée à l'homme par la nature

besoins qui évoluent avec le temps, elle est contingente. La nécessité est inscrite dans la nature-même de l’homme. Ramener la philosophie à l’utilité c’est chercher à justifier son existence par autre chose qu’elle-même (ex: le sophiste Calliclès dans Gorgias de Platon dit que la philosophie est utile à la formation intellectuelle des adolescents mais qu’ensuite elle devient inutile car l’adulte doit être un homme d’action). Or la philosophie a sa justification en elle-même. Le plan peut reprendre