Gorze

dépôt de mendicité. C’est finalement Gorze, situé à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest de Metz, qui est retenu. Dès le mois de juin 1812 8 , les locaux de l’ancien palais abbatial accueillent le premier dépôt départemental de mendicité mosellan, mais son fonctionnement est éphémère. En effet, après la victoire des Coalisés à Leipzig en octobre 1813, les troupes napoléoniennes se replient à l’ouest du Rhin. Le mois suivant elles réquisitionnent les locaux de Gorze pour en faire un hôpital militaire

ainsi devenir une entité capable de concurrencer les territoires alentours. Périmètre Le périmètre de la future Communauté de Communes sera certainement composé par les communes suivantes : - Ancy-sur-Moselle - Arry - Corny-sur-Moselle - Dornot - Gorze - Jouy-aux-Arches - Novéant-sur-Moselle - Rezonville - Vionville - en y ajoutant Marieulles-Vezon et Lorry-Mardigny. Objectifs Localisée entre le milieu urbain de l’agglomération messine et un milieu à tendance rurale, la future Communauté de Communes

(879-1166), Paris, 1976. ''Le Royaume de Bourgogne autour de l'an Mil'', Christian Guilleré, Jean-Michel Poisson, Laurent Ripart, éditions Chambéry, 2008.* 6. La société ecclésiale dans ses rapports avec la société aristocratique. ''L'abbaye de Gorze au Xe siècle'', Michel Parisse et O. G. Oexle édition, Nancy, 1993. G. Bûhrer-Thierry, ''Evêques et pouvoir dans le royaume de Germanie. Les Eglises de Bavière et de Souabe'' (876-973), Paris, 1997. C. Duhamal-Amado, ''Genèse des lignages méridionaux

correspond aux actuelles rues des Trinitaires, Taison, Serpenoise, avenues Robert-Schumann et du Général Leclerc, rue de Verdun —, et allait jusqu’à Trier, le decumanus est l’actuelle Fournirue. - Muraille d’enceinte et portes de ville. – Aqueduc de Gorze à Metz. - Forum et temple. - Basilique civile du forum. - Thermes du nord. - Thermes du quartier Saint-Jacques - Thermes du Pré aux Clercs. - Petits thermes. - Petit amphithéâtre, mi-théâtre, mi-spectacles de l’arène. - Grand amphithéâtre. Les monuments

proche de la Scarmoze. Dépourvue de croûte, elle est simplement recouverte d'une couche | |spontanée, lisse et cireuse. | |Le vergalor (tome de Gorze) pâte étuvée  et pressée non-cuite et son affinage peut durer de 2 semaines à 4 mois. A base de présure de | |brebis-chevreau qui lui confère un goût typé, il est vendu plus ou moins jeune et également poivré.  |

plus prestigieux, l’amphithéâtre, construit certainement à la fin du ier siècle à l’emplacement de l’actuelle gare de marchandises, disposait de 25 000 places. Il était le plus grand des Gaules et l’un des plus grands du monde romain. L’aqueduc de Gorze à Metz long de 22 km traversant la Moselle et dont on voit les arches à Jouy-aux-Arches alimentait la ville en eau. Les vestiges de plusieurs thermes — dont l’un sur le site de l’actuel musée — ont été trouvés. Par ailleurs, une vaste nécropole s’étend

Saint-Vincent de Laon), évêque de Laon de 977 à 1030 est un membre de la maison d'Ardenne et un fils de Régnier, comte de Bastogne, et un neveu de Godefroy le Captif, comte de Verdun et d'Adalbéron archevêque de Reims. Après avoir commencé ses études à Gorze, il est de 969 à 974 l’élève à Reims de Gerbert d’Aurillac, le futur pape Sylvestre II. Lothaire, roi carolingien de France, le nomme évêque de Laon le 16 janvier 977, après la mort de Roricon survenue le 20 décembre 976. Le 1er avril 977, son oncle

héréditaire 2. La réforme pontificale • Favorisée par la réforme monastique mise en œuvre au Xe siècle et notamment l’influence de Cluny. Les 2 principaux foyers de la réforme sont l’Italie et la Lorraine (abbayes bénédictines de Gorze et de Brogne). L’Alsacien Brunon, évêque de Toul devient pape en 1049 sous le nom de Léon IX condamne clercs simoniaques. Meurt en 1054. En avril 1059 le décret du pape Nicolas II réserve l’élection pontificale aux seuls cardinaux. La papauté se

qu’elle avait décidé, par l’intercession des saints apôtres, d’appuyer et de consacrer par les mains du vicaire de ses apôtres, le très bienheureux pontife. » Les clercs qui entouraient Pépin le Bref, comme l’évêque de Metz, le fondateur du monastère de Gorze en Lorraine, Fulrad, l’abbé de Saint Denis, pensent que le pouvoir politique doit être dévolu à une seule tête, de façon à ce que le royaume connaisse la même organisation hiérarchique que celle qui règle dans l’Eglise. Pépin puis Charles se retrouvaient

(chanoines,clerc, moines) sont ainsi confinés dans un même lieu permettant l'établissement de communautés dont le nombre d'individus variait. L'archevêque fut donc à l'origine de plusieurs édifices en périphérie de Metz (L.20-21), le monastère de Gorze (sud-ouest de Metz) fut fondé en 748 : on le considère comme étant le point de départ du projet d'urbanisme et un symbole de la réforme. Suivront entre autre le monastère de Lorsch situé sur la rive droite du Rhin (L.23-25) construit en 764 et confié