Gouvernement de l'Église catholique

romain, auquel bien qu'elle s'en défende la monarchie française doit ses plus solides amarres, dont la souveraineté. La reconstruction du royaume en tant qu’État de droit harmonieux, puissant et reconnu, doit beaucoup à un droit féodal influencé par l’Église et le droit romain, qui impose l'image d'une autorité unique, supérieure à toute autre, ce qui joue au profit exclusif du roi car il place différemment le trône au-dessus du roi de celui des princes territoriaux. Cette restauration de l'autorité

Dissertation Sujet : Le monisme étatique chez Marsile de Padoue Marsile de Padoue fut l’un des plus grands théoriciens politiques de son époque, le Moyen-Âge. Afin de comprendre ses thèses, il convient de faire un bref rappel historique de la situation de l’époque : en 1316, un conflit oppose les deux prétendants au trône du Saint Empire romain germanique. D’une part Frédéric d’Autriche, soutenu par le pape Jean XXII, et d’autre part Louis de Bavière. C’est finalement Louis de Bavière qui

La période du 11ième au 16ième siècle est marquée par une série de crises en Europe. Beaucoup de conflits envers l’église chrétienne et la papauté explosent comme le Grand schisme d’Orient. Certains de ces conflits poussèrent les paysans et même les souverains à vouloir adopter certaines réformes religieuses. Ce sont ici les deux phénomènes sur lesquels nous nous concentrerons. Au 9ième siècle, le pape tente bien que mal d’imposer son autorité mais l’Empire byzantin considère que le pape ne devrait

I) Un bouleversement de la hiérarchie des charges. A) La faiblesse de la papauté B) La vacance de la dignité impériale en orient. II) La royauté franque (carolingienne), rempart de la chrétienté. A) La dignité royale octroyée par le christ surpassant les deux autres. B) La mission divine de Charlemagne.  À travers cette lettre datant de juin799, alcuin va diffuser son idéologie. Ce dernier est un moine (clerc) anglo-saxon . Conseiller de charlemagne .  expose donc, ici, la conception

ALEXANDRE III, ROLAND BANDINELLI [pic] Pape Alexandre III (Roland Bandinelli, 1105-1181), il fut pape de 1159 à 1181. Alexandre III, de son vrai nom Roland Bandinelli, d’origine Savoyarde, fut un pape de l’église catholique de 1159 à 1181. Il vécu de 1105 à 1181. C’est un pape contemporain qui vit sous le règne de l’ambitieux empereur Frédéric I Barberousse de qui il obtient la paix de Venise en 1177. Il est considéré comme l’un des plus grands artisans de la constitution

Les catholiques et la République (1871-1940) Introduction Faut-il que l’Eglise et l’Etat soient alliés ou bien faut-il les séparer ? La séparation vise à éviter un contrôle de l’Eglise sur l’Etat et par conséquent à instaurer le principe de laïcité et à n’imposer aucune préférence religieuse. Au contraire une alliance Eglise/Etat vise à instaurer un religion d’Etat. Sur cette période (1871-1940), la question est de savoir s’il faut préférer une alliance

 Relation de pouvoir entre l'Église t l'État durant la période de la Colonie-comptoir L'Église arrive durant les premières heures de la colonie. Les groupes religieux viennent en Nouvelle-France dans le but de convertir les Amérindiens au catholicisme. D'autres dévots viennent dans le but de faire de la Nouvelle-France une terre «sainte» comme c'est la cas avec la société Notre-Dame en 1642.    Groupes de missionnaires Récollets : * Arrivée en 1615 * Évangélisation des Amérindiens

les laïcs croyants catholiques au Moyen-Age central, c’est-à-dire entre le XIe et le XIIIe siècle en Europe occidentale. Ils sont encadrés par l’Eglise (clergé séculier et clergé régulier) qui est très puissante à cette époque. En effet, elle joue un rôle important dans la vie économique, sociale et culturelle des Européens. Elle connaît un renouveau pendant la période. L’Europe de l’Ouest est, donc, dominée par la chrétienté (gouvernements, clercs et laïcs catholiques) qui lui donne une

Dans ce contexte, Pie XI, devenu pape, va tenter d’accomplir son ministère, c’est-à-dire, en tant que père des chrétiens et premier des évêques, enseigner la vraie foi, mais aussi garantir les conditions du culte pour tous, servir l’unicité de l’église et s’efforcer de diffuser le catholicisme. Il va donc devoir échanger, négocier avec les nouveaux Etats totalitaires qui sont pourtant foncièrement en opposition avec la civilisation chrétienne qu’il dirige. En effet, dans ces états, une autorité

la Première Guerre mondiale que l'Église, le gouvernement italien et les libéraux modérés se rapprochent et les catholiques réintègrent la vie politique. Avec l'arrivée du fascisme, l'Église parie sur les composantes conservatrices du fascisme ; cela se traduit par la réforme des lois ecclésiastiques de 1923–1925, favorable à l'Église, mais c'est le discours de Mussolini le 3 janvier 1925 qui marque la restauration de bons rapports entre le Vatican et le gouvernement italien. Les négociations qui