Gouvernement Jean Charest

discriminatoire » qui « viole les droits fondamentaux des gens ». Au dela de leurs contestation de la loi 101, les élus d’Huntingdon en sont même venu à demander au gouvernement de modifier la charte afin que les villes de la province de Québec puissent décider par elles-mêmes la langue avec laquelle elle s’adresserait a ses citoyens. Est-ce que le gouvernement devrait agir et modifier la Charte de la langue française afin d’obtenir la satisfaction de ses citoyens? Dans la présente recherche, nous allons exposer

Un Québec en colère contre le gouvernement. Le 22 mars 2012, une après-midi chaude et ensoleillé pour un mois de Mars inhabituelle, les gens sont sortis prendre d’assaut les rues de Montréal pour manifester leur colère contre la hausse de 75% des frais de scolarité pour l’université. Même des étudiants du secondaire qui étaient aussi contre cette hausse étaient sortis manifester et même si les directions des écoles secondaire les empêchaient d’aller manifester en allant jusqu’à suspendre un élève

chacun. On veut voir comment on peut s'adapter encore mieux aux réalités actuelles», a dit la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne. Hausses insuffisantes L'augmentation des dépenses en éducation a été chiffrée à 2,2% par année par le gouvernement Charest. «C'est insuffisant, a déclaré la chef de l'opposition officielle, Pauline Marois. Comment les dépenses en éducation peuvent-elles être plus basses que celle des dépenses globales (2,9%)? » La ministre Courchesne assure que la hausse de 2

100 000 $ par ministre et qu'elle ne s'est jamais mêlée de collecte de fonds. Elle a soutenu n'avoir appris qu'en décembre 2009, à la suite des déclarations de son ministre délégué aux Transports, Norman MacMillan, que les ministres du gouvernement Charest avaient chacun un objectif de financement de 100 000 $. « Le 100 000$, je l'ai appris quand M. MacMillan l'a annoncé publiquement », a affirmé Julie Boulet. Et elle a ajouté que ce n'est lorsqu'elle a rencontré les enquêteurs de la commission

milliers de d'étudiants. Elles sont apparues du fait que le gouvernement québécois a décidé d'augmenter les frais de scolarité de 75% sur 5 ans pour les étudiants dans les collèges et à l'université. Le gouvernement a voulu prendre de l'argent ailleurs que dans la poche des contribuables, c'est à dire dans celle des étudiants et de leurs parents. Les étudiants prônent alors leur droit à l'éducation en manifestant face à un gouvernement qui ne veut rien entendre. Une crise sociale sans précédent s'installe

ce qui en fera la plus longue de l’histoire du Québec. Ce mouvement qui défend la gratuité scolaire à prit un énorme essor lors de l’annonce par le gouvernement du Parti libéral d’une augmentation des droits de scolarité universitaires. Le mouvement social à même été assez fort pour renverser le partie politique de Jean Charest pour le gouvernement péquiste de Pauline Marois qui promet l’annulation de la hausse. En outre, le printemps érable, à entrainer beaucoup de répercussions politique, mais

inutile. C'est là le grand défi qui attend le commissaire, Me Bastarache. Il lui sera presque impossible de trancher en faveur de l'un ou de l'autre car un des fait le plus important de Me Bellemare est la rencontre du 2 septembre 2003. Pourtant, Jean Charest nie complètement cette rencontre ce qui nous place dans un énorme jeu de «trouvons le menteur» Dans le journal «La Presse», le 15 octobre dernier, Serge Chapleau as publier une caricature ou l’on vois le juge bastarache se tenant la tête a deux

minières que pour les Québécois. Bien que Raymond Bachand, ministre des Finances, affirme que le gouvernement Charest n’a pas l’intention de payer aux minières qui profiteront du Plan nord les routes, les chemins de fer, les lignes d’électricité ou les ports en eaux profondes dont elles auront besoin, le premier ministre Jean Charest, lui, a annoncé lors de l’annonce du Plan nord, que son gouvernement investira 288 millions pour prolonger la route 167 jusqu’aux monts Otish, alors que la minière Stornoway

de leur cause et de l’injustice que le gouvernement Charest était entrain de mettre en place – cette injustice étant l’élevage des frais de scolarité pour les étudiants universitaires. Grâce à l’aide des médias sociaux, le mouvement est devenu tellement grand que les étudiants ont finalement attiré l’attention du gouvernement Charest. En quelque mois le mouvement est allé d’être composé de quelques étudiants à 200 000 étudiants. Le gouvernement Charest à réaliser qu’il ne pouvait plus les mètres

Jean Charest, de son vrai nom John James Charest, est né le 24 juin 1958. C'est un avocat et un homme politique québécois. Il a été vice-premier ministre du Canada du 25 juin 1993 au 3 novembre 1993 puis chef du Parti progressiste-conservateur fédéral de 1993 à 1998. Il s'est notamment fait connaître au Québec comme vice-président du comité du « non » lors du référendum québécois de 1995. Il dirige le Parti libéral du Québec depuis 1998 et a occupé la fonction de premier ministre du Québec de l'arrivée