Graffigny

Une forte présence des femmes dans la vie culturelle et le monde des philosophes : les salons, l’écriture 1) Les salons Des femmes organisent les rencontres et l’échange des idées : Mme de Lambert (1647-1733), Mme de Tencin (1682-1749), Mme de Graffigny (1695-1758), Mme Geoffrin (1699-1777), Mme du Deffand (1696 ou 97-1780), Mlle de Lespinasse (1732-1776)… 2) L’écriture féminine Des femmes correspondent avec des philosophes (Mme Geoffrin, Mme du Deffand sont en relation épistolaire avec Voltaire

Marivaux, et probablement dans un de ces cafés littéraires si prisés à l’époque[25]. Ces deux mots se trouvent en 1760 dans la correspondance entre Denis Diderot et Sophie Volland, mais l'expression apparaît dès 1739 dans la correspondance de Madame de Graffigny[26]. Marivauder y a le sens de « disserter sans fin sur de menus problèmes » et marivaudage désigne une forme trop raffinée d’analyse morale[27]. Mais le mot désigne aussi un style, que Jean-François de La Harpe définit, à la fin du siècle, dans

né le 26 décembre 1716 à Nancy. Il meurt à 86 ans le 9 février 1803 à Paris. 2. Saint-Lambert a rencontré d'autres philosophes des Lumières dont l'un des plus célèbres : François Marie Arouet plus connu sous le nom de Voltaire, grâce à Mme de Graffigny. Il rencontra également Mme du Châtelet, célèbre pour son discours sur le bonheur et qui deviendra la cause de la rivalité entre Voltaire et Saint-Lambert.Enfin grâce à sa relations avec Mme Geoffrin, il a l'occasion de rencontrer d'autres philosophes

IV. conclusion -dans cette tirade extraite de RB, Victor Hugo critique les ministres par le biais du discours polémique et satirique, puis décrit la déchéance de l'Espagne -ouvertures: dans "lettres d'une péruvienne", Mme de Graffigny met en scène Zillia, une des épouses de l'empereur inca critique également la société à laquelle est confrontée. cependant, elle utilise la lettre et non pas le registre polémique et satirique à travers Ruy Blas, Victor Hugo

- Gill - Gingras - Giono - Girard de Saint-Amant - Delphine de Girardin - Jules Girardin - Giraudoux - Gissing - Gobineau - Goethe - Gogol - Goldoni - Edmond de Goncourt - Jules de Goncourt - Gontcharov - Gorbounov - Gorki - Gouges - Gourmont - Graffigny - Grandjean - Grécourt - Gréville - Grimm - Grobéty - Guérin - Guérin - Guiard - Guillaume - Guilleragues - Guyau - Guyon - Gyp - Hasek - Hawthorne - Hearn - Heidenstam - Heine - Hément - Hémon - O. Henry - Heredia - Hermil - Hérodote - Hervieu -

visage du cardinal «  Fleury » 14 qui apparaît nettement et sous le caractère du charmeur exceptionnel, dont les paroles à elles seules demeurent invincibles, le visage de Claude Crébillon. En plus « On sait qu’après l’avoir rencontré, Mme de Graffigny 15 ne [le] nomme plus que « le Génie Jonquille » »16 2- Autorité et vengeance: Outre l’autorité marquée par la violence, il est à signaler qu’une autre forme de tyrannie pratiquée par les fées attira notre attention. En effet, profitant

de Cirey, chez Mme du Châtelet, avec qui, en ces derniers temps, il s’était étroitement lié. C’était une femme savante et galante, ancienne maîtresse du duc de Richelieu, très intelligente, d’esprit philosophique et viril. Les lettres de Mme de Graffigny, qui vint à Cirey en 1738, nous peignent la vie de Voltaire. Voltaire aime le luxe, les habits élégants, les meubles riches; il a des tableaux, des porcelaines, des diamants, des pendules, une magnifique vaisselle d’argent. À table, son valet de

Mme de Tencin Mme de Lambert Mme du Deffand (Marie) Mlle de Lespinasse (Julie) Mme Helvétius (Anne Catherine) Mme Quinault, dite «Quinault cadette» la duchesse du Maine (Anne Louise) Mme d’Arnould (Sophie) Mme D'Épinay (Louise) Mme de Graffigny (Françoise) Mme de Condorcet (Sophie) Mme de Montesson (Charlotte) Mme de Staël (Germaine) Mme Necker(Suzanne) Mme de Montmorin de Saint Hérem Mme de Beauharnais (Fanny) Mme Talma (Julie) Les principaux salons sont ceux de Mme de Geoffrin

manquent entièrement aux femmes. » Ainsi, pour les femmes qui sont par leur nature « exclues » de tout accès à la gloire, l’étude s’impose comme la seule « consolation » possible pour celles qui auraient des dispositions. De son côté, Françoise de Graffigny recourt à l’argumentation indirecte pour participer à cet éveil des consciences : dans un roman épistolaire, Lettres d’une Péruvienne, Zilia, le personnage éponyme exilé en France, décrit à son amoureux resté au Pérou l’éducation dispensée aux fille

manquent entièrement aux femmes. » Ainsi, pour les femmes qui sont par leur nature « exclues » de tout accès à la gloire, l’étude s’impose comme la seule « consolation » possible pour celles qui auraient des dispositions. De son côté, Françoise de Graffigny recourt à l’argumentation indirecte pour participer à cet éveil des consciences : dans un roman épistolaire, Lettres d’une Péruvienne, Zilia, le personnage éponyme exilé en France, décrit à son amoureux resté au Pérou l’éducation dispensée aux fille