Grand Conseil du fascisme

l’économie. Le machinisme. Le moteur de la croissance: les infrastructures. Les chemins de fer, canaux et routes. Activités liées: la sidérurgie; le système bancaire (la haute banque). Autres industries: le textile. C) La société. La noblesse. La grande bourgeoisie. Les classes moyennes. Les paysans: leur image; leur vie. Les ouvriers: conditions de vie et de travail; paupérisation? Rôle dans la vie politique; le mouvement ouvrier. III. La chute de la monarchie de Juillet. A) La crise économique

évidem ment pas un tat avec un livre la main fût-ce le Capital ou le petit Livre Rouge Ceci est de bon sens mais il en reste pas moins que tout parti nécessairement un point de référence Pour rester en Italie on peut selon ses préférences invoquer les grandes le ons de Cavour ou de Mazzini de Turati ou de Labriola ou de Marx et de Lenine revus par Gramsci Par contre lorsque des chrétiens décident de faire de la politique de organiser en un parti qui porte précisément adjectif chrétien le point de vue change

Composition : Nazisme et Fascisme Après la première guerre mondiale, nous avons vu apparaître un nouveau type de régime : le totalitarisme. Un régime totalitaire est une dictature avec un seul homme au pouvoir soutenu par un seul parti. En 1922, arrive Mussolini au pouvoir et c’est ainsi que naît l’Italie fasciste. Puis Hitler impose le parti nazi en Allemagne, jusqu’en 1945. On a souvent confondu ces deux régimes apparu tous deux à la même époque et dans le même contexte de crise. On peut alors

relations internationales après la deuxième guerre mondiale Etats-Unis et URSS : de l'indifférence à la Collaboration 1.1 Les Etats-Unis et l'URSS hésitants face à la lutte contre les fascismes (1939-1941) 1939 : Etats-Unis ( démoc. Parlementaire) et URSS (démoc. Populaire) restent à l'écart de la lutte contre le fascisme. ><1 Deux États ennemis naturels d'Hitler : a) E-U car démoc parlementaire b) URSS car dictature prolétariat et planification >< Ressources humaines considérables

mouvement rassemble les mécontents des classes moyennes mais ce mouvement reste marginal est n’à aucun impacte aux élections. En 1920 tirant les leçons de cet échec Mussolini ce tourne vers les grand propriétaires et obtient d’eux un soutient financier. Mais Mussolini ce sert de cette habile stratégie pour que le Fascisme parviennent au pouvoir. Il crée une milice armée au sein de son mouvement, les escouades, il bénéficies d'armes et de camions généreusement fournis par le ministère de la Guerre, ils multiplient

l'Action française et les  Croix de Feu , qui est une organisation d'anciens combattants. Mais après la  Première Guerre mondiale , des mouvements très anticommunistes et admiratifs du  fascisme italien  voient le jour, comme le

meilleur client que le roi. Il avait à la fois de grands besoins d’emprunter et une grande capacité d’honorer ses dettes. Toutefois, le roi avait un talon d’Achille : il était impensable que l’on dise ouvertement qu’il empruntait de l’argent à des hérétiques protestants. C’est de ce besoin impérieux de couvrir le client royal qu’est née l’idée de la discrétion des banquiers quant aux avoirs et à l’identité de leurs clients en général. Le Grand Conseil Genevois décide formellement en 1713 que les banquiers

la lutte contre le fascisme . 2° La poursuite de la lutte contre le fascisme . Combat entamé dans les années 30 . Une lutte qui se poursuit avec de nouvelles modalités . Défaite de 1940 porte en elle les germes d'une défaite de conception du monde . Si el parti communiste et sa direction sont ds une posture totalement neutre politiquement lors de la défaite de 40 , avant mm , des militants communistes décideront d'entamer la résistance au nom de la lutte contre le fascisme .Beaucoup moins de

 Elle a la teneur  suivante […] Le rétablissement de l’ordre en Europe et la reconstruction de la vie économique  nationale devront être réalisés par des méthodes qui permettront aux peuples libérés d’effacer  les derniers vestiges du nazisme et du fascisme et de se donner les institutions démocratiques  de  leur  propre  choix.  ce  sont  les  principes  de  la  Charte  de  l’Atlantique  ‐  droit  de  tous  les  peuples  à  choisir  la  forme  du  gouvernement  sous  lequel  ils  veulent  vivre  ‐ 

avaient approuvé l'attribution des pouvoirs extraordinaires au Conseil fédéral. Ils permirent ainsi la constitution d'un régime qui, selon l'historien Edgar Bonjour, allait transformer, « presque de manière contrainte, en une démocratie autoritaire » ou qui, selon le juriste Zaccaria Giacometti, allait dévelloper « un État autoritaire avec des tendances totalitaires ». En vertu des pleins pouvoirs qu'il lui était accordés, le Conseil fédéral interdit, entre la fin de l'année 1939 et l'été 1941, la