Grande lèvre

celui de l’urine. Et laissent Marin Marais abasourdi. « je ne compose pas ! Je n’ai jamais rien écrit. Ce sont des offrandes d’eau, des lentilles d’eau, de l’armoise, des petites chenilles vivantes... ». L’artiste ne s’exprime pas, il rejoint le grand mouvement de la nature. SC invite aussi à causer les morts : « je hèle avec ma main une chose invisible », « sur mon pauvre petit chemin d’herbes et de pierrailles, j’appartiens à des tombes » au chapitre XIV. C’est peut-être aussi le sens de l’image

quelques fois le volume sonore était un peu dérangeant. J'ai pu observer qu'il y avait beaucoup de sombre sur la vidéo et que les décors étaient fait dans les studios. D'après moi, les effets spéciaux sont assez bien fait. En effet, ce film explique un grand nombre de choses comme nous avons pu le constater,(et il y en a d'autres des explications ! Par exemple pour l'adolescente, l'homme représente le danger). Par conséquent, je trouve que ce film est bien réalisé et qu'il me convient.

d'autre ? " Je te demandes si tu l'aimes . Je te parles d'amour . Et toi tu me dis qu'elle est belle ? Belle ? Moi quand je te parle de beauté je ne te parles pas de son joli petit cul moulé dans un jean Levis . Ni de ses lèvres pulpeuses . Ni de ses grands yeux pétillants . Putain . Je ne parle pas de ça . Moi ce que je voulais que tu me dises c'est que tu l'aimes . Que tu aimes tout d'elle . Ses défauts . Les pires . Le gôuts de ses larmes quand rien ne va plus . L'odeur de ses cheveux quand tu l'embrasses

pas d’accord ! Et moi qui pensais que nous nous entendrions à merveille ! (Se tiens la tête entre les deux mains, puis retrouve un regard droit) Collègue, veuillez m’excuser de ma prétention mais je pense sincèrement que cette pièce connaitra plus grand succès grâce à moi. Je me dois donc d’être fidèle à mon métier et offrir au public un spectacle sensationnel !! (Il lève le poing vers le ciel puis laisse apparaître un éclat dans ses yeux.) Mr Serdan _Arrêtez-vous tout de suite, vous m’horripilez

http://www.youtube.com/watc Fiches de Fran�ais - Commentaires compos�s corrig�s - Autres textes - Demander un corrig� - Lexique litt�raire Les auteurs principaux : Anouilh - Aubign� - Apollinaire - Aragon - Balzac - Baudelaire - Beaumarchais - Beckett - Bernanos - Brecht - Cadou - Camus - Céline - Cendrars - Chateaubriand - Claudel - Corbi�re - Cohen - Colette - Corneille - Desnos - Diderot - Du Bellay - Eluard - F�nelon - Flaubert - Fontenelle - Giono - Giraudoux - Gogol -Hérédia - Hugo -

en fer à cheval, de ce petit oeil gauche obstrué d'un sourcil roux en broussailles tandis que l'œil droit disparaissait entièrement sous une énorme verrue, de ces dents désordonnées, ébréchées çà et là, comme les créneaux d'une forteresse, de cette lèvre calleuse** sur laquelle une de ces dents empiétait comme la défense d'un éléphant, de ce menton fourchu, et surtout de la physionomie répandue sur tout cela, de ce mélange de malice, d'étonnement et de tristesse. Qu'on rêve, si l'on peut, cet ensemble

Scène du meutre de Basil par Dorian (chapitre 13). INTRO Rappeler brièvement la situation antécédente. La première confrontation entre Basil, Dorian et le portrait a eu lieu au chapitre 2, au chapitre 13 c'est seulement la deuxième. Le lecteur pourrait s'attendreà un moment "détendu" entre les deux anciens amis, car Basil allait accorder son pardon à Dorian, et celui a avoué son secret à Basil. Mais nous assistons à un meutre très brutal, dans une atmosphère fantastique. I. Une scène de

découverte d’un nouveau traitement qui parvenait à rendre la vue à certaines catégories d’aveugles. Le vieux embaucha une douzaine d’enquêteurs aryens et leurs investigations établirent que le procédé en question ne devait rien aux Noirs. On fit venir à grands frais la sommité et son bloc opératoire. Le vieux se coucha de bonne grâce sur le billard et s’endormit sous l’effet du penthotal. Il se réveilla dans le noir absolu et demeura trois longs jours la tête bandée, ignorant si ses yeux voyaient ou non

Blondeau Dylan 1S5 14/10/11 Français Le Dormeur du val est un des premiers poèmes de Rimbaud. Il a environ seize ans lorsqu’il fugue pour la deuxième fois du domicile parental de Charleville Il recopie vingt-deux textes dans un cahier qu’il confie à son ami Paul Demeny, poète lui aussi. Le Dormeur du val, écrit pendant sa fugue d’octobre 1870, en pleine guerre franco-prussienne. L’année suivante, il demandera à son ami de le détruire avec les autres quand il

l’incertitude, qui ne se gratte pas l’oreille dans le doute, qui ne piétine pas dans l’indécision. Sobre de gestes comme de paroles, il savait rester immobile comme un soldat devant son supérieur ; mais, lorsqu’il marchait, son allure dénotait une grande aisance, une remarquable netteté de mouvements, — ce qui prouvait à la fois la confiance et la volonté vivace de son esprit. C’était un de ces hommes dont la main semble toujours « pleine des cheveux de l’occasion », figure un peu forcée, mais qui