Grande Motte

Château fort Au Moyen Âge, un château fort (du latin castellum) est une grande habitation fortifiée où vivent le seigneur, sa famille, le personnel approché et les gardes du roi. Les châteaux forts ont existé lors du Moyen Âge. Il faut différencier le château fort du château. Le château fort est une construction défensive et active (hourds, créneaux, mâchicoulis, meurtières...), alors que le château est surtout une construction prestigieuse, à l'intérieur comme à l'extérieur, sans rôle défensif

*Commentaire de la *publication *de *Michel de *Boüard*, *De l'aula au donjon, les fouilles de la motte de la Chapelle à Doué-la-Fontaine (Xe-XIe siècle), dans **Archéologie Médiévale N° III-IV (1973-1974), pp. 5-110, Caen*. Introduction : La petite ville de Doué-la-Fontaine, située à quelques kilomètres au sud-ouest de Saumur, peut s'enorgueillir d'une histoire riche et d'un patrimoine monumental conséquent. Outre son zoo particulièrement renommé et ses arènes aux origines encore obscures

décembre 1959 à Ambilly (Haute-Savoie) et mort le 23 juin 2008 à Annecy (Haute-Savoie), est le personnage principal d'une affaire judiciaire qui s'est déroulée à La Motte-du-Caire dans les Alpes-de-Haute-Provence. Les faits Le mardi 26 juillet 1988, la petite Céline Jourdan, âgée de 7 ans, est retrouvée sans vie à proximité de La Motte-du-Caire, ayant subi des violences sexuelles. Richard Roman, âgé de 29 ans au moment des faits, surnommé « l'Indien » en raison de son mode de vie atypique, et Didier

celui qui oppose les imitateurs des Anciens à ceux qui prêchent le rejet des modèles antiques et l'invention de formes modernes. Suivant l'exemple de Descartes et de Pascal, les Modernes (Perrault, Quinault, Saint-Évremond, Fontenelle, Houdar de La Motte) critiquent l'Antiquité en raison du progrès des techniques et des sciences, et en raison de l'ennui que les auteurs anciens peuvent provoquer auprès d'un public mondain et féminin : selon eux on ne peut considérer les Modernes comme inférieurs à leurs

Jean CHAPELAIN - Desmaret de SAINT SORLIN - Le LABOUREUR - Michel de MAROLLES - Paul PELLISSON - François CHARPENTIER - FONTENELLE - SAINT EVREMONT - Pierre BAYLE - Antoine HOUDAR de la MOTTE - Jean TERRASSON - L’Abbé DOMIGNAC Les Modernes qui suivent l’exemple de Descartes et de Pascal, critiquent l’Antiquité et affirment au contraire des Anciens que les auteurs de l’Antiquité peuvent être dépassés et que les écrivains

premier rang, Fontenelle, La Motte Houdar et Chaulieu. La femme de chambre de la duchesse, Marguerite de Launay, future baronne de Staal, se fit bientôt remarquer et joua son rôle dans celle aimable société dans laquelle on pouvait également côtoyer Voltaire, Émilie du Châtelet, Marie Du Deffand, Montesquieu, d’Alembert, le président Hénault, le futur cardinal de Bernis, Henri François d'Aguesseau, le poète Jean-Baptiste Rousseau, le dramaturge Antoine Houdar de la Motte, Sainte-Aulaire, l’abbé Mably

Musique. Malgré le sort d’un très grand nombre d’opéras de ses contemporains, celui de Marais fut un succès. Fort de ce projet réussi, Marais produit alors un autre opéra, Ariane et Bacchus, en 1696, en engageant un poète inconnu, Saint-Jean. Cette fois, l’opéra reçut un accueil un peu plus tiède. Dix années passèrent avant que Marais ne présente une nouvelle œuvre, Alcyone, en 1706. En unissant ses forces à celles d’un auteur talentueux, Antoine Houdar de La Motte, l’opéra connut un énorme succès

et l'esprit critique, notamment avec les encyclopédistes tels que Diderot et D'Alembert. Si d'un côté Boileau, Racine, Bossuet, La Bruyère, La Fontaine, Dacier, Ménage et Huet n'apportent pas de nouvelles idées, de l'autre, Perrault, Fontenelle, La Motte, Terrasson, Saint-Èvremond, Quinault mettent en lumière des traits importants de la nouvelle littérature, veulent apporter des changements et s'opposent aux traditions. Les uns doivent donc défendre leur cause, car les autres la remettent en question

ème siècle Au début du 18 ème siècle , très peu d'auteurs réussissent à s'imposer dans le théâtre français , De plus ,l'influence des grands dramaturges prônent (Molière , Racine ) Elles sont prolongés par des metteur en scène comme Jean-François Regnard (Le joueur ou la Foire Saint Germain ) La tragédie est très présente , de par Antoine Houdar de la Motte (mise en scène de l'horreur ). De plus au début de ce siècle , deux Théâtres officiaux , l'Opéra et la Comédie Française . Mais en 1701

questions religieuses, en matière d'évangélisation. Elle est également appelée « parti des dévots » car elle était très attachée aux pratiques religieuses. Qui ? Le créateur : Henri de Lévis est né en 1596. il est 13e duc de Ventadour et grand vassal du roi, prince de Maubuisson, comte de la Voulte, seigneur de Cheylard et Vauvert, lieutenant général du roi Louis XIII en Languedoc, allié des Condé et, enfin, vice-roi de la Nouvelle-France de 1625 à 1631. C’est également le fondateur de