Grandes vacances

moitié des petites et grandes vacances scolaires avec son autre parent. Toutefois, le père et la mère sont libres de prévoir une garde partagée élargie qui inclut, par exemple, un ou deux soirs supplémentaires dans la semaine dès lors qu'ils sont d'accord. Par le biais d'une convention écrite, au moment du divorce, les parents s'entendent tout d'abord sur le choix du système de garde. Ils soumettent ensuite cette convention au juge aux affaires familiales du tribunal de grande instance qui l'entérine

Je vis un nouveau SMS reçu, que je m'empressais de regarder. Encore lui. Mon ex petit ami qui s'amusait à me faire tourner, et tomber sans ses bras, inlassablement. Il m'envoyait des « je t'aime », tous les jours, depuis ce moment pendant les grandes vacances, où il m'avait plaqué. Ma mère me rappela à l'ordre : -Sébastien, c'est bientôt l'heure, tout est prêt ? -Oui maman ! Répondis-je, sur un ton lancinant. Je me levais du canapé, ouvris la porte fenêtre pour partir, et, saluant une dernière

venue dans ma chambre.Un jour lors des grandes vacances, en jouant avec des légos je trouvais se fameux petit torchon . Je le pris et le mis dans ma ville de légos et quand il tomba sur un personnage celui-ci se mis a parler du beau temps, me racontait sa journée.tellement surpris, au bout de quelques seconde je pris peur et mis se petit torchon dans une boite à biscuits sous mon lit. Arriva mes 10 ans , pour mon anniversaire j'avais reçu un grand lit et en l’installant à la place de l'autre

nature. Ayant perdu ses deux parents en bas-âge, elle vivait avec son grand-père dans une petite maison en bois, le long d’un lac appelé « Finebrise ». Ce lac se trouvait non loin d’un village nommé « Beau-jour » ; on y racontait que les personnes âgées, après avoir vécu leur jeunesse dans de grandes villes, venaient se reposer non loin des montagnes dans ce petit village. La légende qui existait toujours faisait de Georgio, le grand-père de Lili, le roi de ce village. Agé de quatre-vingt-onze ans,

Nouvelle fantastique : Le miroir 15 ans après la mort « accidentelle » de mon père, je suis retournée, accompagnée d’un détective, sur les lieux de l’accident, la maison de mes grands parents, décédés depuis de nombreuses années. Leur maison était immense, chaque année nous nous y retrouvions tous pour passer l’été. Elle était isolée de la ville, entourée de prairies et longeant une rivière, où tous les petits enfants se retrouvaient pour jouer. Leur mort fut subite et la demeure laissée

ferry boat est à quai, immobile, il semble nous attendre. Nous embarquons, une gaieté m'envahit durant cette petite ballade en mer, tout paraît calme et détendu. Comme je l'aime cette mer Méditerranée.... Elle me rappelle mes vacances d'été! Oh! qu'il est beau et grand
ce paysage bleu et blanc. Je m'en irai courir dans le paradis blanc, comme dans mes rêves d'enfants, retrouver les baleines et les poissons d'argent ? Arrivés sur l'autre rive, nous commençons à monter en direction de Notre

médecin, un interne, deux kinésithérapeute, deux ergothérapeutes, une orthophoniste, trois infirmières, cinq aides-soignantes et trois ASH. Madame P. est hémiplégique gauche à la suite d'un AVC intervenue durant ses vacances d'été en Espagne. C'est une femme âgée de 67 ans avec des cheveux blonds mi-longs, des yeux bleus, de corpulence normale. Madame P. m'apparaît comme une personne coquette et féminine. Je vais décrire la situation qui m' a émue Lorsque je suis entrée

surmonter Tout paraissait si parfait en cette matinée. Les grandes vacances débutaient, le temps était clair et pas le moindre nuage ne se distinguait à l’horizon. Profitant du temps radieux et de la faible fréquentation du parc, David, un jeune étudiant de vingt ans, faisait son jogging avec ses écouteurs sur les oreilles. A un rythme assez soutenu, il longeait les arbres, dévalait le sentier de la forêt, effectuait deux tours du grand lac et pour finir, montait la côte des Aslantes, réputée pour

Sujet d'imagination Cette année-là, je passais les vacances d'été chez mes cousins, à Forbach, en Moselle. Mon oncle et ma tante habitaient un petit immeuble de trois étages à la périphérie de la ville. Après, c'étaient de vastes prairies, et plus loin, derrière la colline, la voie ferrée. Au milieu de ces étendues se dressait une maison à étages abandonnée, ouverte aux quatre vents. Elle faisait la joie des enfants du quartier qui en avaient fait un de leurs terrains de jeux favoris malgré les

lui a caché tout cela afin qu’il ne renonce pas à son amitié « rêvée » et qui en fait n’a rien à voir avec la réalité. Conrad reproche à Hans sa grande exigence en amitié et n’a jamais supporté de le blesser en lui révélant tout cela. Cette histoire altéra leur amitié et rien ne fut plus comme avant. Hans sorti brutalement de l’enfance. Après les vacances d’été, le nazisme s’est répandu et les juifs sont montrés du doigt même au lycée. Conrad ne parle plus à Hans. Certains enfants portent une croix