Gravure sur bois

c'est une gravure sur bois datant de 1546, une œuvre de propagande visant à dénoncer les abus de la religion catholique face à la pratique du culte par les protestants. Elle dénonce donc les pratiques, les sacrements et appuie sur le fait que le catholicisme soit une religion inspirée du Diable et que le clergé se trouve corrompu. Cette gravure est un allégorie, elle est la représentation d'une idée (ici la Réforme Protestante) par un moyen artistique. L'image qui est ici sous forme de gravure, fait

pose decilatement sur une pile les feuilles imprimées qui une fois coupées et assemblées constitueront le livre Cette gravure du 16ème siècle représente un atelier d’imprimerie. C’est sur cette image que nous allons nous appuyer lors de cet exposé. Avant d’étudier cette gravure nous allons d’abord faire une courte biographie de Gutenberg puis en nous appuyant sur la gravure, nous allons étudier la technique de la typographie enfin nous citerons les progrès qu’a apporté l’imprimerie au monde

le groupe Die Brücke (Le Pont). Ils ne se réclament d'aucune influence, même si Kirchner découvre le concept de « dessin rapide » chez d'autres peintres contemporains. Il s'intéresse à la gravure sur bois et son style évolue vers la simplification des traits, rendant visible le travail du bois sur la gravure finale. La réouverture du musée ethnographique de Dresde en 1912 occasionne une nouvelle source d'inspiration, basée sur l'art primitif. En 1911, Ernst Kirchner s'installe à Berlin mais il

dernières n’ont pas marché, j’ai alors procédé à une dépose partiel à la néoprène, le frisage central en noyant ou se trouve la gravure, j’ai retiré le placage avec du tulle, un tissu spéciale et de la colle à la néoprène. Puis, j’ai mis le placage comportant la gravure sur une calle tendu, j’ai pu alors réaliser les greffes du dessus en essayant de trouver la même patine du bois d’origine. J’ai retiré toutes les restaurations antérieures des greffes de placages, puisque les placages n’étaient pas de

réplique en décochant deux flèches, l'une à Apollon, aussitôt saisi d'un amour irrésistible pour la nymphe Daphné (Daphné est la première passion du dieu !;) la seconde flèche, celle qui fait fuir l'amour, atteint Daphné, laquelle désormais vit dans les bois, telle Diane, souhaitant sauvegarder sa virginité, en dépit des souhaits de son père Pénée. (1, 452-489) Le dieu éperdument épris poursuit la nymphe qui toujours le fuit. Il se montre tour à tour pressant, prévenant, enjoué, suppliant, lui

de peindre et de créer des gravures sur bois, il produit cependant un certain nombre de gravures sur cuivre, de petits formats et de sujets courants – la Vierge à l’arbre, une Vierge au croissant et un Joueur de cornemuse, un Couple de paysans dansant , enfin un saint Paul et un saint Thomas… Trois grandes gravures sont à noter, par leur taille (25 x 19 cm environ) et leur exécution méticuleuse, d’une iconographie complexe et chargée de sens. Elles constituent les gravures les plus célèbres de l’artiste

bataille fut représentée en gravure dans un exemplaire de la Mer des Histoires, imprimé vers 1503 par Antoine Vérard, éditeur et libraire parisien. Cela nous amène à nous demander, comment la contextualisation de la bataille a-t-elle été reproduite dans cette représentation? Nous verrons dans un premier temps la composition de cette gravure et dans un second temps la signification et l'importance des symboles présents. * * * La gravure de la bataille de Fornoue

Dürer était un peintre, graveur et mathématicien allemand. Il a apprit le métier d'orfèvre dans l'atelier de son père. À 15 ans, il étudie la peinture dans l'atelier du peintre Michaël Wolgemut ; c'est dans cet atelier qu'il réalisa ses premiers bois. À 18 ans il participa à la réalisation des Comédies de Térence du Chevalier de la Tour et de La Nef des fous. B/ Ses voyages Son premier voyage en Italie en 1494 avec Willibald Pirckheimer est un séjour déterminant pour Albrecht Dürer. Il y

A 13 ans, il révèle un certain talent pour la peinture. Et à 16 ans, David obtient une bourse qui lui permet de quitter la Pologne pour Berlin, où il y expose ses première gravures sur bois. En 1923, il arrive à Paris. Il se marie en 1930 et a un fils. Le 20 février 1943, il est arrête par la police française et déporté à Auschwitz le 2 mars. Il est sélectionné

second est une gravure sur bois colorée au pochoir, réalisée par Cranach Le Jeune vers 1545 et qui se trouve maintenant au Kupferstichkabinett de Berlin. Le troisième est une gravure satyrique qui représente 5 personnes avec des têtes d’animaux qui sont le Pape Léon X et des théologiens allemands. Enfin, le dernier est une gravure sur bois composée de deux illustrations différentes. Sur la première on voit un moine et sur la seconde il y a un portrait de Luther. Ces quatre gravures ont été produites