Gravure

(humide et extrêmement grasse) puis à appliquer à l'aide d'une presse un papier sur cette pierre pour obtenir l'impression voulue. Cette technique s'est développée rapidement en Europe car elle était plus efficace que l'imprimerie typographique et la gravure de par le caractère plan des pierres. Les ateliers de lithographie parisiens furent donc très nombreux au XIXe siècle. Honoré Daumier fut l'un des artiste les plus fidèles à la lithographie ; en effet, sa rapidité lui permettait de convenir

Entre 1488 et 1491 il réalise les volets d’un retable pour la Confrérie Notre dame. Ses tableaux sont très marqués par les représentations du bien, du paradis, du mal, du vice et de la douleur. Son style est très gothique il représente beaucoup de gravure de bestiaires du Moyen Age. Il épouse vers 1478 une fille aristrocratique. Portrait réalisé par Jérôme Bosch L’œuvre s’appelle Crucifixion avec un donateur réalisé vers 1480-1485. Elle est actuellement exposée au musée des Beaux-arts de Bruxelles

1916, 1924, Eau-forte. Illustration du poème « Les mères » de Jacques Dupin : Les traites négrières, peinture a l'huile d'un anonyme, vers 1860. Illustration du poème « Melancholia » de Victor Hugo : Melencolia, Albrecht Dürer, 1514, gravure sur cuivre. Et le poème : Melancholia Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu’on voit cheminer seules ? Ils s’en vont travailler quinze heures

Confidences contenant le récit de Graziella (1849) Nouvelles Confidences contenant le poème des Visions (1851) Nouveau Voyage en Orient (1850) Mémoires inédits (1870) EXTRAITS D’OEUVRES L'abbaye d'Hautecombe sur le lac du Bourget d'après une gravure de 1860 Le lac (Méditation poétiques : 1820) Thème général : « Le Lac » fait partie des Méditations poétiques (1820) : Ce lac ravive les souvenirs heureux de Lamartine, avec Julie Charles, près du lac du Bourget à Aix les Bains. Le battement

Goethe et le dessin Longtemps, Goethe s'est efforcé de développer ce qu'il appelait son petit talent, et ce, essentiellement au cours de son Voyage en Italie, au contact de peintres expérimentés comme Tischbein. Il va se porter essentiellement sur la gravure de paysage, mais ne poussera que rarement jusqu'au portrait, n'allant jamais à se considérer comme talentueux. De son goût pour le dessin, il dit dans un petit texte édité en 1821 : J'ai pensé depuis longtemps que le dessin est souvent mentionné dans

études premières, les travaux et les faits essentiels d'une vie que jean cousin consacra toute entière au travail, sont tellement peu connus, qu'il n’est pas d artiste à qui l'on ait plus accordé de choses qui ne sont pas de lui. Toute peinture, toute gravure, sculpture ou verrière de son époque, et dont leurs auteurs sont restés ignorés, lui ont été attribués sans preuves, sans raisons suffisantes. Et il arrive maintenant, juste retour des choses d’ici-bas, que l’esprit de critique, ce trait vital du

de Michael Wolgemut avec qui il apprend à manier la plume et le pinceau, à copier et dessiner d'après nature, à réaliser des paysages à la gouache et à l'aquarelle et également à peindre à l'huile. Il se familiarise également avec la technique de gravure sur bois.Il est très influencé par Martin Schongauer. En 1491, il entreprend un voyage à Colmar pour rendre visite à l'artiste, mais celui-ci meurt le 2 février 1491 alors qu'Albrecht est encore en route. Il n'arrivera à Colmar qu'en 1492.Maison de

compagnie, il s’oriente vers des constructions influencées par les débuts du cubisme de Braque et de Picasso. En 1911, il épouse une Niçoise, Eugénie-Émilienne Brisson (1880-1962). Appelé par le grand couturier Paul Poiret qui a été impressionné par les gravures du Bestiaire, il se lance dans la création de motifs pour les tissus de mode et de décoration. Dufy voyage beaucoup. Il découvre l’Italie (Venise, Florence, Rome, Naples, la Sicile) puis le Maroc et l’Espagne. Il admire les tableaux de Titien au Musée

Ray et Paul Éluard ne sont pas les premiers artistes à unir le langage des mots à celui de l'image. L'histoire de l'art est riche de collaborations fructueuses. Au XIXe siècle, Gustave Doré a par exemple illustré les œuvres de nombreux écrivains. Ses gravures sont bien souvent associées, dans la mémoire des lecteurs, à Don Quichotte de Cervantès, aux Fables de La Fontaine ou encore aux Contes de Perrault. Seulement, l'originalité des Mains libres est d'inverser ce rapport trop souvent admis. Ce n'est

histoires avec une férocité où se mêlent humour et intention morale.Le procédé que Hogarth utilise est inédit: ses tableaux se présentent en séries, comme les chapitres d’une histoire qui serait peinte et non écrite; puis ils sont diffusés sur forme de gravures, pour la vente desquelles il insère des réclames dans les journaux. Il touche ainsi une très large clientèle, ce qui lui épargne de dépendre de commanditaires. L’actualité des sujets traités, quelquefois brûlants du point de vue social ( La Carrière