Grégoire XVI

Les premiers rois Mérovingiens Commentaire de texte : Lettre de Saint Remi à Clovis (vers 481 ou 486) Et le récit de Grégoire de Tours, Histoire des Francs (Livre II,87-88) « Adore ce que tu as brûlé, brûle ce que tu as adoré… » voilà tout l’enjeu de l’œuvre de Saint Remi qui avait pour but de convertir le roi païen franc Clovis et tout son peuple avec lui. La lutte contre le paganisme et l’arianisme trouve son répondant dans ce prêche prononcé par l’évêque Saint Remi lors du baptême

déchiffrer de longs et diffus commentaires, et celui qui consiste à faire un abrégé des ouvrages des saints Pères, en joignant le sens littéral au sens allégorique, et en distinguant l’un de l’autre. Je n’ignore pas que je devrai, comme l’a fait saint Grégoire de Nazianze, marcher dans une voie qui tienne le milieu entre la méthode de ces esprits peu élevés qui s’arrêtent uniquement à la lettre, et celle de ces génies subtils qui ne se plaisent que dans l’allégorie. La première de ces méthodes est vile

aussi appelée l’Église avec un « É » majuscule. La réforme grégorienne est une politique menée sous l'impulsion de la papauté. Commencée sous le pontificat du pape Léon IX, elle entend entreprendre le redressement de l'Église, mais c'est le pape Grégoire VII (1073-1085) qui a laissé son nom à la réforme. Elle comporte trois projets principaux : - Affirmation de l'indépendance du clergé : les laïcs ne peuvent plus intervenir dans les nominations, ce qui entraine des conflits entre le pape, les rois

spectaculaire. Le chantier d’Assise fut devenu le point de rassemblement des plus grands maitres d’Italie, prêts à prouver au monde leur talent : Giotto, Pietro Lorenzetti ou encore Simone Martini. La basilique Saint –François a été fondé en 1228 par Grégoire IX et achevée en 1270. Inspirée des modèles gothiques, elle introduisait en Italies une architecture neuve, d’un autre style qui s’imposait dans le reste de la Toscane. L’édifice se situe à l’extrémité de l’arête rocheuse du mont Subiaso comme une

les laïcs avec l'église et convertir les hérétiques. La papauté réait elle aussi à ces abus. Le pape Grégoire VII ( 1073 – 1085 ) pense que toutes les critiques que l'on peut faire à l'église sont dues à l'investiture laïque qui permet aux empereurs et aux rois de nommer les évêques et les abbés sous prétexte qu'ils sont aussi seigneurs féodaux. Avec sa réforme grégorienne, le pape Grégoire VII interdit cette méthode et s'oppose à l'empereur du Saint-Empire. Ses successeurs, poursuivent cette

le visage de la sainte ampoule, du saint chrême qui est un mélange d'huile d'olive et de résine aromatique. Une légende évoque que ce serait une colombe descendue du ciel, donc envoyée par Dieu, qui aurait apporté le saint chrême à Clovis. D'après Grégoire de Tours dans son ouvrage Histoire des Francs (livre II, chapitre XXXI) : « Le roi, après avoir confessé le Tout-Puissant, est baptisé au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit et oint du saint chrême au moyen du signe de la croix du Christ. ».

diplomatique. Tout d'abord, en rédigeant les Dictatus Papae - compilation canonique de 27 préceptes le pape Grégoire VII cherche à se concéder de plus amples pouvoirs politiques, doctrinaires et judiciaires.! En effet, c'est désormais le pape en personne et non les princes qui nomme et révoque les évêques. Dans le déni total de cet écrit, l'empereur du Saint-Empire Romain Germanique, Henri IV provoque Grégoire VII et continue à nommer les évêques. Ce dernier sera excommunier par le pape, le conflit s'atténuera

en canalisant la violence du monde féodal en interdisant les combats le jour du dimanche. La différence se fait sentir lors de la réforme Grégorienne ; cette réforme est importante pour comprendre le lien entre le pouvoir et l’église. En 1175, Grégoire VII écrit un texte qui s’appelle « dictatus papae » avec comme premier acte posé la primauté de la papoté romaine sur l’empereur. Le pacte est accepté par l’empereur germanique et a partir de ce moment les évêques sont élus par les curés et sont

s’intitule le Pacte d’Andelot et est extrait de l’Histoire des Francs (ou Dix Livres d'Histoire), l'œuvre majeure composée par Grégoire de Tours et qui a survécu à travers plusieurs manuscrits du Moyen Âge, dans des versions plus ou moins altérées par rapport à l'original. Elle comporte 10 livres, racontant l'histoire du monde, de la genèse à l'accession des Francs au pouvoir Grégoire de Tours (538 à 594 après Jésus Christ.), de son vrai nom Georgius Florentius Gregorius, naquit à Riom, près de Clermont

Neustrie, d'Austrasie ou de Bourgogne. L’histoire ne fait pas mention de l’institution de cet office, qui est aussi ancien que la monarchie ; il est vrai qu’il n’en est pas fait mention sous Clovis Ier, ni sous le règne de ses enfants ; mais quand Grégoire de Tours et Frédégaire en parlent sous le règne des petits-fils de ce prince, ils en parlent comme d’une dignité déjà établie. Ils n’étaient d’abord établis que pour un temps, puis à vie, et enfin ils devinrent héréditaires. Leur institution n’était