Grève de la faim

300 milles en 1932 et plus de 500 milles en 1935. L’indice de production baisse (1929->100 ; 1932->70 ; 1935->80). La République est en crise : le nombre de chômeurs augmente (50 milles en 1931 ; 400 milles en 1935) et des manifestations contre la faim se multiplient. Question P 168 : 3) a- Ce document est un article de journal provenant du populaire (journal SFIO). b-Ils ont tenté de renverser la République. c-Stupide, energument, perturbateurs… 4) Ils défilent pour les obsèques

régionales, on enregistre des retards importants sur les Teoz et des liaisons de TGV sont annulées. Les passagers sont des centaines à attendre, ils ont faim, ils sont pressés, ils sont fatigués. On les fait attendre, on ne sait pas jusqu’à quand le problème persistera. Face à un blocage sans précédent du ciel français et la grève de TGV, il va falloir s’abstenir de faire des longues distances et retourner à la charrette. Ce n’est pas gagné pour les vacances de pâques. Cristina Agrazal.

conjonction de coordination « mais » marque l’opposition entre l’intérieur chaud et l’extérieur glacial. Plus encore, ceux sont les deux mondes ouvriers et bourgeois qui s’opposent à travers ce contraste, comme l’illustre l’emploie du terme « meurt-de-faim » qui entre en contradiction avec l’évocation des plats servis durant le diner. Le narrateur met donc en avant une dissension entre les deux classes sociales afin de mettre en avant une critique de la bourgeoisie. II. Critique de la bourgeoisie

pousse 2,5 millions d'Irlandais à migrer. Pendant le voyage, les conditions sont très difficiles: 1/6 migrant meurt pendant le voyage ou à l'arrivée. Les épidémies font des ravages pendant la traversée, sur des organismes déjà affaiblis par la faim A l'arrivée, les conditions sont aussi difficiles: Les migrants sont d'abord cantonné à Ellis Island ou l'on procède à un contrôle d'identité et de bonne santé. Leur installation se fait souvent dans de mauvaises conditions. Ils vont vivre dans

dégoûté de la politique. Il habita à New York de 1981 à 1993, où il commença à se démarquer en tant qu’artiste et réalisa beacoup de photographies. Il a également pris une part active à la Chinese United Overseas Artists Association et fit une grève de faim de 8 jours avec le collectif Solidarity for China. A partir de 1993, il revient à Pékin et depuis produit un travail malicieux, destructeur et profond, se consacrant à la culture classique chinoise et à l'environnement populaire occidental, il

refus40. Plus aucun média ne l'invite, et plus tard, le présentateur du journal télévisé de la chaîne, Patrick Poivre d'Arvor, reconnaîtra effectivement qu'on lui donne pour consigne de ne pas parler de Coluche. Ce dernier annonce en mars une grève de la faim pour protester contre cette censure officieuse. L'Élysée envoie une circulaire aux maires pour les dissuader de lui donner leurs signatures. Une cellule spéciale lui est consacrée au ministère de l'Intérieur. Un groupe autonome de la police (le

noir : le noir peut d’abord être celui de la nuit, « la nuit sans étoiles, d’une obscurité et d’une épaisseur d’encre. » (II, 1) dans laquelle marche Etienne au début du roman. Le noir représente alors l’errance, et se trouve associé aux thèmes de la faim, du froid et de la souffrance. C’est le Voreux qui est associé à la couleur noire. Zola ainsi que Claude Berri souligne ainsi son aspect sinistre de bête noire, inquiétante et dangereuse (I, 1). Le noir, c’est évidemment la couleur du charbon, l’élément

la fin de la grève. - la mère : appelée la Maheude ( que l'on peut définir comme le féminin de « Maheu ») , sans vrai prénom énoncé dans le roman. Plus jeune que son mari, elle a 39 ans. Principalement, c'est la gestionnaire de la famille: elle s'occupe des comptes. Pour elle, un enfant égal une paye. Malgré un profil de femme travailleuse (mère au foyer ) et déterminée, elle est aussi protectrice et maternelle. Elle a eu 7 enfants avec Maheu, son mari. Au fur et à mesure que la grève se prolonge

Charlot, le prolétaire est encore un homme qui a faim : les représentations de la faim sont toujours épiques chez Charlot : grosseur démesurée des sandwichs, fleuves de lait, fruits qu’on jette négligemment à peine mordus ; par dérision, la machine à manger (d’essence patronale) ne fournit que des aliments parcellés et visiblement fades. Englué dans sa famine, l’homme Charlot se situe toujours juste au-dessous de la prise de conscience politique : la grève est pour lui une catastrophe parce qu’elle menace

élections, et ce de plus en plus dans les dernières années (doc.3). Certaines de ses manifestations sont légales (signer une pétition, manifester, faire grève) ou violentes, donc ilégales (dégradation de bâtiments, séquestration, affrontements physiques). Si la participation non conventionnelle se manifeste parfois par l’action individuelle (grève de la faim), ce sont très généralement des actions collectives (de mobilisation de groupes d’individus), souvent directes (sans la médiation de représentants)