Grossièreté

protecteurs « ah je cede a la tentation »: elle sait par où le prendre « Bougre de merdre, merdre de bougre »: « bougre » = homosexuel passif (langue grossière) —> confirme grossièreté de paroles et de sentiments de père Ubu point commun des mots grossiers de la langue française: ils se rapportent au corps la grossièreté c’est l’obscénité, c’est mettre le corps en lumière c’est donc pour cela que Montaigne emploie le mot « cul », le corps doit être égal à l’esprit alors que le moyen âge voulait

l’audience. Au 17eme siècle la farce était un procédé théâtral associé au peuple et au petite gens car les pièces étaient souvent grossières. Les aspects de la farce qui sont présents dans la pièce « L’ecole des femmes » sont, tout d’abord, la grossièreté des gestes considérer comme grossiers au 17eme siècle, tel que jeter la pierre a quelqu’un, ce qu’Agnès fait a Chrysalde âpres qu’Arnolphe le lui ai ordonné. Une autre caractéristique de la farce présente dans ce texte est l’acrobatie verbale

valeur à quelque chose. Le contexte historique On peut considérer la préciosité comme un mode de vie ou comme une philosophie. La préciosité est une réaction à la cour d’Henry IV, où il y avait toutes sortes de grossièreté mais aussi une réaction contre le baroque. Cette grossièreté se manifestait aussi bien dans le langage que dans la tenue vestimentaire. C’est alors que la préciosité est apparue. On peut la présenter comme un mouvement culturel. Les gens adoptèrent alors une autre attitude vis-à-vis

vin, il règle ses comptes à la critique en les insultant de « tentupin », « merde pour lui ». Grossièreté : « vits d’âne » (= sexe de l’âne), « que le naul du bec vous trousque » Autodérision = « mon cerveau caséiforme » =  « forme de fromage). Conclusion : ce prologue est volontairement déconcertant pr le lecteur car il mél sérieux et fantaisie, complexité et simplicité, érudition et grossièreté. Ainsi prévenu, le lecteur doit se réjouir de sa lecture mais rester sur le qui-vive et guetter

Le ridicule des gestes et de la silhouette d'Ubu est d'autant plus marqué que cette silhouette est discordante par rapport au personnage. 2. La grossièreté du langage, des personnages. Jarry multiplie les termes qui appartiennent directement ou non au langage familier, voire au lexique des injures et des jurons, qui manifestent tous la grossièreté de son héros : «Merdre » ouvre et ferme la scène, d'abord dans la bouche d'Ubu puis dans celle de Mère Ubu à deux reprises. On en retrouve quatre occurrences

le plan dramatique, puisqu'elle comprend les principaux éléments d'une exposition. 1 Les réactions du lecteur Le caractère inattendu et provocateur du langage est sensible à travers la grossièreté, le mélange des registres, l'inappropriation du langage aux personnages. Le lecteur peut en être choqué. A La grossièreté : elle est sensible dans la reprise de certains termes, dérivés de mots vulgaires. Merdre ouvre et ferme la scène, d'abord dans la bouche d'Ubu puis dans celle de Mère Ubu à deux reprises

femme qui vont se travestir. Elles vont tenté de faire voter une loi a l'Ecclésia (assemblée) pour que les femmes puissent jouer un rôle politique. C'est la dernière pièce que Aristophane a écrite . Son style, un mélange de poésie, d'humour et de grossièreté est inédit et rend ses pièces très populaires. Aristophane y critique les institutions, la politique et y promulgue des valeurs telles que la paix ou la sagesse. Il est un des auteur les plus connu actuellement de la comédie grecque. La comédie

dans cette extrait plusieurs types de comiques. Le premier comique que l’on retrouve est le comique de mots, nous avons des jeux de mots : « Plus du vingt-sixième, un clystère carminatif, pour chasser les vents de Monsieur, trente sols. », des grossièretés : « Chienne, coquine !». Vient ensuite le comique de geste : « Il ne sonne plus, mais il crie ». Puis le comique de répétition : « Drelin, drelin, drelin », « Plus du vingt-… ».Cette scène a les codes d’une comédie et différents types de comiques

citadin. Le ridicule des gestes et de la silhouette d'Ubu est d'autant plus marqué que cette silhouette est discordante par rapport au personnage. 2. La grossièreté du langage, des personnages. Jarry multiplie les termes qui appartiennent directement ou non au langage familier, voire au lexique des injures et des jurons, qui manifestent tous la grossièreté de son héros : «Merdre » ouvre et ferme la scène, d'abord dans la bouche d'Ubu puis dans celle de Mère Ubu à deux reprises. On en retrouve quatre occurrences

appréciée. Mme Blanc : Comment pouvez-vous dire ça ? Cette pièce, si tant est qu’on puisse appeler cela une pièce, est d’une stupidité affligeante ! En plus de proposer une intrigue qui n'est pas des plus attractives, cet « auteur » multiplie les grossièretés afin de combler et de masquer un manque de talent évident ! Damian Wayne Il faut quand même savoir que ce livre est une caricature et qu'il n'y a pas que du mauvais. Selon moi l’auteur rend cette pièce tellement lourde, qu'on en rigole et tel