Grotesques

1593, mort en 1635, était le onzième enfant de Jean Callot, premier héraut d'armes de Lorraine. A huit ans, Jacques Callot dessinait et coloriait des armoiries sous les yeux de son père. A douze ans, cet enfant a déjà crayonné toutes les figures grotesques ou bouffonnes qu'il a vues à Nancy : soldats fanfarons, pèlerins, aïeux de Tartufe, montreurs d'ours, chanteurs, saltimbanques, bohémiens. Un beau jour, le désir de voir l'Italie, dont on lui parlait tant, le saisit au cœur; il part, avec ses douze

son roman, qui est à la fois un conte avec des personnages de géants, une parodie de l’épopée et du roman de chevalerie, Rabelais critique les théologiens de la Sorbonne. Nous allons montrer que le double grotesque du narrateur sert à condamner les ennemis des humanistes de la Sorbonne. Dans un premier temps nous

définition du "drame romantique" 1- Pour Victor Hugo, l'esthétique du sublime et du grotesque signifie que le drame romantique pour toucher les spectateurs ne doit pas séparer ces deux notions., comme la vie est diverse le drame doit être divers . Victor Hugo et les Romantiques veulent que les genres se mélangent sur la scène comme dans la vie réelle, le drame doit mêler la tragédie (le sublime) et la comédie (le grotesque) car séparer les genres se serait comme étudier tel ou tel aspect de l'homme et

l’esprit du garçon. Il est aussi dépeint comme l’opposé de ce qu’un réel chamane doit être, c’est-à-dire un homme pervers, immature et irresponsable.Déroulement du conte :Lorsque le conte commence, le chamane est déjà introduit comme un personnage grotesque, prenant chaque indication au pied de la lettre. Et cela commence avec sa famille qui possède des plantations de citrouille en faible quantité, lorsque on lui demande de convier des gens du village pour le repas, il lance alors à pleine voix : «

personnel de l'artiste », «qui se rapproche le plus de l'expression littéraire». Eaux fortes développe le thème des paysages pittoresques presque fantastiques (« Cauchemar », « Effet de nuit », « Grotesque »). Le poète montre son désir d’écrire la poésie de la ville moderne. La dernière eau-forte, « grotesques », a une tonalité maléfique. L’esthétique de la gravure suppose de substituer un trait blessant, à la limite de l’agressivité, à la douceur qui caractérise la première section. Les eaux fortes

ce système d’éducation. On étudiera d’abord le ton en apparence élogieux que le narrateur adopte en faisant le portrait de ces êtres cultivés, puis on s’attachera à analyser le ton ironique de l’extrait dans la description d’êtres ridicules, grotesques. Enfin, on reconnaitra le style de J. Valles: un écrivain engagé qui cherche à remettre en question des méthodes pédagogiques d’un autre temps. I: Jacques Vingtras semble admirer ses professeurs. D’abord, ceux-ci ont une culture importante

disfonctionnement de la société. La colère sauvage de Renouart peut se comprendre par le dérogement de Guillaume à une règle médiévale : adouber un bon chevalier. 2) Le grotesque et le merveilleux Cette altérité paraît inassimilable à la communauté, renvoie à un ailleurs : un monde fantastique. Renouart est porteur d’un merveilleux grotesque, gigantal, et incarne cette écriture du merveilleux. Il dérange l’ordre de la communauté donc force centrifuge du personnage, par rapport à l’effet qu’il a sur

en scène personnages peu crédibles qui ne sont pas des personnages agissants = caractériser par leurs facilités & echanges. * Actions dramatiques et dépourvu de sens, leurs dispute est stéréotypée ainsi que la réconciliation (absurde et grotesque). Car perte de sens. Ils deviennent des personnages symboliques de la condition humaine, pas de caractère propre. C) Un langage, un dialogue dénué d’intérêt. * Pas d’individualité, et le dialogue est vidé de son sens et tout intérêt, la

tragique »: – la poétique de Cyrano (la ballade) – son humour-ses plaisanteries – sa virtuosité – « la suprême politesse » – soufre par lequel on s'excuse d'être sublime – la mise en scène – le théâtre dans le théâtre – Cyrano sublime et grotesque, on peut voir un thème grave tourné à l'humour – leçon de poésie envers le vicomte + ton de mépris – exploit théâtrale et technique en même temps – Cyrano mène le jeu comme une mise en scène(il y a ne mise en abime: théâtre dans le théâtre), il

une allure de démonstration : connecteur logique (”par conséquent”)
 MAIS même cette apparence de logique, pourtant considérée comme un gage de certitude rassurant, devient absurde. • Illustre propos par gestes ridicules / caricaturaux = mime grotesque de la parole et permettent d’imaginer la mise en scène et la gesticulation qu’elle nécessite : « vous voyez », « regardez », il lève « très haut le cou et le menton », « sur la pointe des pieds »
 → dessine une sorte de volatile qui prend son envol