Groupe symétrique

nombre complexe z admet un symétrique pour l’addition s’il existe un nombre complexe z’ tel que z + z’ = z’ + z = 0. Théorème 3 : 4/ Tout nombre complexe admet un symétrique unique pour l’addition qu’on appelle opposé. L’opposé de z  x  iy est noté  z et  z   x  i (  y )   x  iy . Définition 6 : 1/-  muni de l’addition, noté (, +), qui vérifie les propriétés 1/, 3/ et 4/ a une structure de groupe. 2/- (, +) qui vérifie aussi la propriété 2/ a une structure de groupe commutatif. 3 Définition

réciproque d’une partie 2.3. Injection, surjection, bijection . . . . . 2.4. Composition des applications . . . . . 2.5. Ensemble des applications de E vers F . . . . . 3. Structure de Groupe 3.1. Groupe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2. Sous-groupe . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3. Morphisme de groupe . . . . . . . . . . 4. Structure d’Anneau 4.1. Anneau . . . . . . . . 4.2. Sous-anneau . . . . . 4.3. Exemples d’anneaux 4.4. Arithmétique de Z . 11. Espaces Vectoriels 11.1. Structure

CHAPITRE III Arithmétique dans Z 3.1 Introduction à la théorie des groupes a) Généralités Dénition 3.1 i) Une loi de composition interne T sur un ensemble E est une application de E × E dans E . Pour tout (x, y) ∈ E × E , l'élément T (x, y) est noté xT y . ii) Une partie F de E est dite stable pour la loi T si : ∀x, y ∈ F, xT y ∈ F . iii) Une relation binaire R sur E est dite compatible avec la loi T si : ∀x, y, x , y ∈ E, on a (xRy et x Ry ) ⇒ (xT x )R(yT y ). Exemples 3.1 1) L'opération

l'application h ◦ g . (c) Trouver l'intervalle pour lequel l'application h ◦ g est bijective. (d) Montrer que (h ◦ g)−1 = g −1 ◦ h−1 Exercice 3. 1. Soit (G, .) un groupe non commutatif. Pour un α de G, on note l'application : fα : G −→ G x −→ fα (x) = αxα−1 On pose G = {fα α ∈ G}. (a) Montrer que G est un groupe pour la loi ◦ . (b) Montrer que l'application g : α −→ fα est un morphisme de G vers G . 2. On dénit deux lois + et × sur Z2 telles que : ∀(a1 ; b1 ), (a2 ; b2 ) ∈ Z2

major/minor tonality […] as an irrevocable law of nature». Babbitt : The function of Set Structure in the Twelve-Tone System, PhD 1946/1992 Xenakis : Musiques formelles, 1963 Vieru : Eléments d ’une théorie générale des La structure de modes,1967 groupe en musique Vers une approche algébrique en musique La relation de congruence mod 12 Camille Durutte: • Technie, ou lois générales du système harmonique (1855) • Résumé élémentaire de la Technie harmonique, et complément de cette Technie (1876)

Expression dans une base-forme matricielle . . . . . 3.1.2 Changement de base . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.1.3 Rang d’ une forme bilinéaire . . . . . . . . . . . . . 3.2 FORME QUADRATIQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2.1 Forme bilinéaire symétrique (f:b:s) . . . . . . . . . 3.2.2 Forme quadratique . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3 ORTHOGONALITE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3.1 Orthogonal d’ sous espace vectoriel . . . . . . . . un 1 TABLE DES MATIÈRES 3.3.2 3.3

rigides 11 z z y O p O y x M x F IG . 1.8 – Transformation rigide du solide S rep` re li´ au solide S en mouvement (voir figure 1.8). L’ensemble des transformations e e rigides : SE(3) = {(p, R)/p ∈ R3 , R ∈ SO(3)} = R3 × SO(3) est appel´ groupe sp´ cial euclidien. e e e Soient m = (mx my mz )T et m = (mx my mz )T les coordonn´ es d’un point M respectivement dans R et R . La transformation rigide r´ sultant de la translation p du e rep` re R puis de la rotation du rep` re obtenu vers R ,

Suites chapitre 7 : SUITES 1- INTRODUCTION Dans notre cadre u1, u2, ..., ui-1, ui, ui+1, ... un est une suite de termes où chaque terme est calculable. Les valeurs de tous les termes calculés ne sont pas conservées, mais seulement les valeurs de quelques termes; comme par exemple les valeurs du premier terme (u1), du terme courant (ui) et du terme précédent (ui-1) : on n'introduira pas l'équivalent d'une variable simple par terme, mais seulement une variable par terme nécessaire selon le problème

´ Cours de Mathematiques ´ Groupes, anneaux, corps, arithmetique Sommaire Groupes, anneaux, corps, arithm´tique e Sommaire I Lois de composition . . . . . . . . . . . . . . . . . . I.1 G´n´ralit´s . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e e e I.2 Partie stable pour une loi . . . . . . . . . . . . . . I.3 Homomorphismes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . I.4 Commutativit´ et associativit´ . . . . . . . . . . . e e I.5 Distributivit´ . . . . . . . . . . . . . . .

Définition On dit qu'une fonction est paire, si pour tout x de son domaine de définition, . Graphiquement, une fonction paire est symétrique par rapport à l'axe des ordonnées (symétrie axiale). Exemple: montrer que la fonction carré est paire. Définition On dit qu'une fonction est impaire, si pour tout x de son domaine de définition, . Graphiquement, une fonction impaire est symétrique par rapport à l’origine du repère (symétrie centrale). Exemple: la fonction inverse est impaire. Remarque: il existe des