Guéhenno

au lecteur, par un usage trois fois répété du pronom personnel « vous ». Ces deux détails, en plus de l’analyse précédemment effectuée, permettent au lecteur de s’imprégner totalement du texte, « d’y vivre par procuration », comme le disait Jean Guéhenno. Cette description relève donc du concept rhétorique de l’enargia définie dans son sens littéraire par Aristote. Elle permet à l’auteur de rendre vivant le discours, « elle agit sur les émotions, et […] permet au discours de pénétrer l’âme, de dominer

banques. Ainsi, la crise a coûtait 1 milliard d'euros à la BNP Paribas, 2 milliards d'euros à la Société Générale et 3 milliards d'euro au Crédit Agricole. R.DELAPORTE, F.LECOCQ, L.MABIRE Apprenti en BTS Banque au CFA éducation nationale lycée Jean GUEHENNO de Flers (61)  

des observations, des méditations et des découvertes des hommes de tous les temps et de tous les lieux. Or pour bien bénéficier des livres il faut savoir garder une distance et ne pas trop s’impliquer. Gardons dans l’esprit ce qu’a dit Jean Guéhenno > : il nous permet dans l’espace de quelques minutes de s’échapper à notre réalité. Nous éprouvons tous ce besoin de s’éloigner de notre quotidien et de rêver d’une vie meilleure, mais ceci ne doit jamais être une obsession qui nous éloigne de notre

On considère souvent le livre comme un divertissement mais dans ses Carnets du vieil écrivain (Grasset, 1971), Jean Guéhenno écrit : « Un livre est un outil de liberté ». Un livre est-il vraiment toujours un outil de liberté ? Dans une première partie, nous montrerons comment un livre peut être ‘un outil de liberté’. Puis dans une deuxième, nous essaierons de voir s’il l’est vraiment toujours, dans toutes les situations. Et enfin dans une troisième partie, nous nous questionnerons sur d’autres

lecture peut aussi servir de thérapie, comme dans Rapport sur moi de BOUILLER dans lequel il explique que la lecture « légitimait » sa « présence sur Terre ». Dans Carnets du vieil écrivain, ouvrage écrit à la manière d’un journal dans lequel Jean GUEHENNO analyse les différentes attitudes des lecteurs, l’auteur rejoint l’idée que la lecture aide à se comprendre soi même : « La vraie lecture commence quand on ne lit plus seulement pour se distraire et se fuir, mais pour se trouver ». On peut

Sur le contexte idéologique : « Et pourtant, dès la parution du livre, le public ne s'y trompa pas. Il n'écouta pas, bien entendu, ce chroniqueur vichyste qui parlait de "veulerie", de "démission humaine", mais il ne pensa pas non plus, comme Jean Guéhenno, que la démonstration de l'absurde était inutile. Car L'Etranger, sans qu'une seule ligne du texte prît de précautions à cet égard, ne venait pas "suppléer à la révolte", mais au contraire la susciter et l'affermir. En pleine France vichyssoise,

grâce au détail de ce dernier, mais pour cela la personne concernée devra choisir le roman qui lui plait. On considère donc que la lecture permet au lecteur de s’évader la plus part du temps, ne pourrait t’on pas faire un lien avec la phrase de Jean Guéhénno : << Un livre est-il vraiment toujours un outil de liberté ? >>

| | |+ (Progiciels comptables + expert comptables) , - (Progiciels comptables – PGI) | NOM, Prénom du professeur : FLAMANT Marie Cachet de l’établissement : Lycée Jean GUEHENNO - FOUGERES Date : Signature du professeur : Conclusions rédigées de l’étude Pour commencer, on peut définir un progiciel comme un logiciel spécialisé et standardisé destiné à un usage professionnel. Un progiciel doit être composé des

INTRODUCTION : Lire est un moment de détente, aussi bien pour les enfants que pour les plus grands. Les livres font place à l’imagination et aux aventures fabuleuses . En 1971, dans Ses carnets du vieil écrivain parus chez Grasset , Jean GUEHENNO écrivait : « un livre est un outil de liberté « . La question est de savoir comment un livre peut il se transformer en outil de liberté et l’est- il à chaque fois . Permet –il au lecteur de s’évader de son monde réel , d’oublier ses tracas le temps

détaché de toute obligation et que l’on peut agir sans contrainte ni retenu. Celle-ci peut également être transcrite comme un sentiment. La liberté d’expression, de penser, de choix… Mais le livre est-il un outil de liberté, comme le rédigea Jean Guéhenno dans ces carnets du vieil écrivain ? Telle est la question. D’une part, les romans sont les fruits d’une imagination, scellée sous forme de lettres, de lignes et de pages. Toutefois, ils sont également de temps à autre, le reflet de la vie de